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MARCHE PRODUITS LOCAUX/REGIONAUX

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Comment améliorer la notoriété d'une entreprise? - Création & reprise d'entreprise en Guyane. Les fruits et légumes vendus en grande surface ne séduisent pas les Français. Depuis 2010, l’association de consommateurs CLCV organise tous les ans des dégustations et des relevés de fruits d’été : abricots, pêches jaunes et blanches, melons (de 2010 à 2013), fraises et tomates (2014 et 2015).

Les fruits et légumes vendus en grande surface ne séduisent pas les Français

RTL vous révèle ce jeudi la 7ème étude de satisfaction l'association sur la qualité des fruits d'été achetés en grandes surfaces, en particulier les tomates et les pêches blanches. Et les résultats sont sévères ! Concernant les tomates, les résultats sont plus que décevants ! Seulement 32% des consommateurs estiment que leur qualité est satisfaisante, soit une baisse de 6% depuis l'an dernier. Le prix moyen constaté est de 2,3 euros le kilo. Pas de rapport entre le prix et la qualité S’agissant des pêches blanches, dont le prix moyen est de 3 euros le kilo, le résultat est certes meilleur : 51 % des panélistes sont satisfaits, mais, avec 28 % de répondants qui les qualifient de “ni bonnes, ni mauvaises”, des progrès importants restent à faire sur la qualité. Lire la suite. Ce que pensent les Français des produits locaux - Produits locaux. On y apprend ainsi que 1 Français sur 2 dit ne plus vraiment savoir de quoi se composent les produits alimentaires qu’il consomme (50% disent « très souvent » ou « souvent »).

Ce que pensent les Français des produits locaux - Produits locaux

Pas moins de 47% des consommateurs ont aussi le sentiment qu’il est difficile de se procurer des produits alimentaires sur lesquels ils se sentent entièrement rassurés.Seulement 2 Français sur 10 n’ont eu que rarement ou jamais ce sentiment (19%). Enfin, plus d’un tiers des consommateurs avoue aller plus qu’avant chercher des informations sur Internet sur des produits alimentaires avant de les acheter (39%). Preuve de leur inquiétude : près de 8 Français sur 10 disent chercher plus qu’il y a 5 ans à connaître l’origine d’un produit alimentaire avant de l’acheter (77%). L’avenir des produits régionaux, du « made in France » et des circuits courts dans l’alimentaire. Une étude pour: • Connaître les mutations de la demande consommateurs et les formes innovantes de circuits courts • Disposer des chiffres clés et des perspectives pour les produits régionaux et les circuits courts • Décrypter les best practices au niveau des circuits courts et des stratégies « locales » des acteurs à partir de business cases • Identifier les pistes de développement à saisir pour les IAA (groupes privés, coopératives, PME), les exploitants agricoles et les distributeurs Face à une consommation de crise économique et sanitaire, circuits courts et produits locaux ou « made in France » sont de nouveaux repères pour le consommateur Le local est une valeur refuge renforcée dans un contexte économique déprimé et de crises sanitaires (horsegate).

L’avenir des produits régionaux, du « made in France » et des circuits courts dans l’alimentaire

Le consommateur penche pour une consommation alimentaire plus sûre, plus citoyenne (soutien de l’économie locale et protection de l’environnement). Circuits courts : « 2,8 milliards d'euros de vente à l'horizon de 2015 » (Etude Xerfi) D'après le cabinet d'étude Xerfi, les ventes de produits alimentaires à la ferme, sur les marchés, en Amap ou encore chez des détaillants, représenteraient « environ 1,5 % de la consommation alimentaire des ménages en France, soit un chiffre d'affaires estimé à 2,5 milliards d'euros en 2010 ».

Circuits courts : « 2,8 milliards d'euros de vente à l'horizon de 2015 » (Etude Xerfi)

Elles devraient encore progresser pour atteindre « 2,8 milliards d'euros à l'horizon de 2015 », pronostiquent les experts de Xerfi. Et après ? « La persistance d'un contexte économique dégradé et la difficulté à élargir la cible de clientèle freineraleur développement. » De manière générale et quel que soit le type de vente pratiqué (directe, en grande surface, sous marques...), Xerfi parit sur un essoufflement de la croissance du marché des produits régionaux « d'ici à 2025 ». Du côté des industriels et des distributeurs, le marché du bio aurait de son côté « doublé de taille en cinq anspour générer 3,65 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2011 ». Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Images Site Web pour cette image cc2015_marche_map_conso.png agencebio.org Recherche par imageImages similaires.

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UNIFERME (SAINT ANDEOL LE CHATEAU) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 314464249. Les Français fans de produits du terroir. Les Français sont de plus en plus friands de produits du terroir, perçus comme un gage de qualité et de savoir-faire, une tendance qui profite aux agriculteurs et dynamise les économies locales, selon une étude du cabinet Xerfi.

Les Français fans de produits du terroir

"C'est une tendance de fond qui ne cesse d'augmenter, même si le critère prix reste le plus important pour les Français, note Isabelle Senand, directrice de cette étude présentée au Salon de l'Agriculture.Le consommateur est en mal d'authenticité, la tendance du retour aux racines est forte comme le montre le développement des AMAP (associations qui facilitent l'achat direct au producteur)", estime-t-elle, "même si elles restent marginales avec un chiffre d'affaires de moins de 100 millions d'euros pour environ 200.000 consommateurs".

Si, selon l'étude, les exploitants agricoles devraient bénéficier de cette manne, l'industrie agroalimentaire, constituée pour l'essentiel de PME, est trop morcelée pour profiter pleinement de la tendance. Vente directe : la carte de France des Drives fermiers - Entraid. Accueil.