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Management collaboratif

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Méthode agile. Blog sur la facilitation. Introduction à la sociocratie. Trois leviers pour une culture de la relation en entreprise : de l’implicite à l’explicite. La relation : une affaire qui se partage à deux On attend beaucoup des managers aujourd’hui : qu’ils soulèvent l’enthousiasme et fassent passer les pilules amères auprès de leurs collaborateurs, obtiennent les résultats attendus et préservent la paix sociale, rassurent les collaborateurs et les bousculent à relever les défis… Les référentiels de compétences nous les décrivent comme des communicants et des animateurs d’équipe idéaux !

Trois leviers pour une culture de la relation en entreprise : de l’implicite à l’explicite

Pour les collaborateurs, le manager idéal, "celui qui permet de relever les défis", est un manager qui crée du lien avec son équipe (Étude BPI "Le manager idéal", janvier 2011 : 75% des 6800 actifs interrogés souligne le rôle clé du manager de proximité). D’ailleurs, les managers l’ont compris (enquête sur la communication managériale Inergie-AFCI de juin 2011 : 73% se disent impliqués dans leur rôle de communicant, soit + 22% - enquête 2008). Des pratiques professionnelles de la relation explicites. Réseaux et management. L'entreprise est-elle par nature non démocratique ? par Thibaud Briere - Chronique Management. Social learning. S’il est un concept de formation qui va prendre une importance forte dans les années à venir, c’est bien le Social Learning.

social learning

Il se pourrait même qu’il devienne un standard en termes de stratégies pédagogiques, surtout dans le cadre des formations à distance et de la gestion des connaissances dans les entreprises. Il se trouve associé à la fois aux nouvelles technologies du Web 2.0, au e-learning ainsi qu’à des méthodes collaboratives et actives. Un concept pas si récent. En réalité, le social learning repose sur des théories élaborées au siècle dernier, notamment le socioconstructivisme, développée par Vigotsky. Pour mémoire, ce concept qui fait suite aux travaux de Piaget développe l’idée qu’une connaissance se co-construit dans un processus actif et collaboratif. Entreprise 2.0 : A bout de souffle ? « InfGov's Blog. Au delà de la provocation et d’un soupçon d’ironie, il faut reconnaître que depuis les premières fois où Andrew Mac Afee a parlé de concept entreprise 2.0, beaucoup de billets ont été écrits, beaucoup de discours ont été prononcés, beaucoup de conférences ont été organisées et que malgré cette agitation, on a l’impression que rien (ou si peu) ne bouge !

Entreprise 2.0 : A bout de souffle ? « InfGov's Blog

La prochaine conférence de Santa Clara sera probablement l’occasion de faire le point, mais ce concept n’est-il pas à bout de souffle ? Il est intéressant de lire sur le blog de Mac Afee, un billet publié en septembre dans lequel il mentionnait nombre d’autres billets relatifs à l’état d’avancement de l’entreprise 2.0, aux difficultés rencontrées, peut-être en écho à celui de Laurie Buczek ! L’entreprise a fortement évolué dans ses structures, ses méthodes et ses outils, mais il est une caractéristique qui reste : l’utilisation de mesures pour mieux contrôler et anticiper.

Alors, à bout de souffle l’entreprise 2.0 ? Like this: Approche collaborative: quand les employés sont plus que des bras. Les raisons pour lesquelles une entreprise peut devoir s'adapter sont nombreuses.

Approche collaborative: quand les employés sont plus que des bras

85% des entreprises auront un espace collaboratif d’ici 2 ans. Le curator : chainon manquant des dispositifs entreprise 2.0. La hiérarchie horizontale, changement majeur dans les organisations. Click here for english version of this post 14 Octobre 2011 Nos organisations sont structurées par des hiérarchies verticales et, pendant des décennies, des chercheurs en organisations et des consultants ont travaillé sur la façon de structurer ces verticalités, notamment sur la dimension majeure de la verticalité, le premier silo sur lequel appuyer les structures (produits, pays, fonctions….

La hiérarchie horizontale, changement majeur dans les organisations

Vous vous souvenez de ces débats ?). Puis, une fois la dimension majeure définie, le débat continuait sur la façon de traiter la seconde dimension la plus importante (les matrices… vous vous souvenez ?) Le mal-être au travail n’est pas seulement subjectif - Actualité RH. Bertrand Duperrin, rubrique E2.0. Résumé : l’heure est venue pour l’entreprise de ne pas cantonner les activités dites « sociales » à tout ce qui est hors du flux de travail et en dehors des mécanismes structurants de l’entreprise.

Bertrand Duperrin, rubrique E2.0

Les logiques sociales sont au contraire à même d’améliorer significativement cette partie de l’entreprise, dans une logique de flexibilité et d’amélioration continue à condition de faire fî de certains intégrismes déplacés. D’ailleurs si ça n’est pas la seule voie pour que le social améliore significativement les choses dans l’entreprise, c’est la seule option pour que ces améliorations touchent le cœur de l’opérationnel de manière mesurable, tangible et irréfutable.

Cela fait très longtemps que je voulais vous parler d’un concept que j’évoque de plus en en plus fréquemment : le Social BPM. Et quoi de mieux comme introduction que de profiter de l’occasion pour vous parler de Social BPM: Work, Planning and Collaboration Under the Impact of Social Technology. Des employés et des clients : vers un changement de paradigme. E2.0 evangelists : the Revolutionaries and the Evolutionaries « This is a question I love to ask in the Enterprise 2.0 interviews : Broadly speaking, one can say that there are 2 types of Enterprise 2.0 activists.

E2.0 evangelists : the Revolutionaries and the Evolutionaries «

The revolutionaries and evolutionaries. The formers believe that collaborative platforms are disruptive technology that will deeply change the organisations. The latter think this is an incremental evolution that will just fill up some communication holes that are not covered in organisation 1.0. Where would you stand ? Andrew McAfee talks about new way of doing business in his Enterprise 2.0 book, of disruptive technologies in his PARC talk but still reckons that this is not such a big deal. On one hand going towards the revolution paradigm risks scaring executives out of it.

First approach is more of an Executive show-stopper while the second is more of a knowledge worker tue-l’amour (desire killer) and adoption obstacle. L’Entreprise 2.0 expliquée à nos managers en 10 principes « Heav. (English version available there) Un des malentendus les plus fréquents lorsque l’on parle de l’Entreprise 2.0 à nos managers, c’est leur propension à réduire cette conception à une seule panoplie d’outils collaboratifs, ouaibdeuzéro (guillemets avec les doigts).

L’Entreprise 2.0 expliquée à nos managers en 10 principes « Heav

Nous pouvons en sourire, mais si nous obtenons ce genre de réponse c’est probablement parce que nous manquons de pédagogie. Ainsi dans la présentation Entreprise 2.0 slidesharée je me suis rendu compte que je ne consacrais qu’un seul slide à ces changements sous-jacents. Le “reverse management” est essentiel dans l’entreprise 2.0 par Bertrand Duperrin. Résumé : pas d’entreprise 2.0 sans un manager 2.0 avec un nouveau positionnement, de nouvelles pratiques et une nouvelle manière de contribuer à la réussite collective.

Le “reverse management” est essentiel dans l’entreprise 2.0 par Bertrand Duperrin

Mais faire porter tout le poids et la responsabilité du changement sur le manager est une erreur. Il aura besoin de salariés 2.0. En contrepartie de l’autonomie acquise celui-ci aura de nouvelles responsabilités dans le pilotage de la relation managériale et devra apprendre à manager son manager. Mais veut-il de cette responsabilité ? THINK: A Forum on the Future of Leadership.