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(57) Impossible initiative parlementaire pour abroger l’odieux MES ! L'Assemblée nationale valide le Mécanisme européen de stabilité. Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Partager Les députés ont ratifié, mardi 21 février, la création du Mécanisme européen de stabilité (MES) par 256 voix pour, 44 contre et 131 abstentions. En vertu d'un traité signé le 30 janvier, ce dispositif est destiné à devenir le pare-feu permanent de la zone euro contre les crises de la dette souveraine. Il disposera d'une capacité de prêt de 500 milliards d'euros pour les pays en difficulté. Cet instrument doit prendre le relais de l'actuel Fonds européen de stabilité financière (FESF) et doit entrer en activité début juillet, après ratification par les Etats membres de la zone euro.

. • Au PS, l'abstention comme consigne Les députés socialistes se sont abstenus lors de ce vote. "Notre abstention est dynamique, offensive. Dans la foulée de cette annonce, François Fillon avait demandé aux députés PS de "se ressaisir" . • Chez Europe Ecologie, "pas du quitus au couple Merkozy" • Pour le Front de gauche, le PS doit aller plus loin. Mécanisme européen de stabilité : l'UMP critique la décision du PS de s'abstenir. Le PS refuse le "piège" du Mécanisme européen de stabilité. Le PS se divise sur le «MES» à l’Assemblée - Page 3. Mécanisme européen de stabilité : le "ni-ni" du PS - Tous en campagne - Le rendez-vous de 7h40. C'est toujours la même histoire, pour le PS, celle du ni ni.

Ni oui, puisque le mécanisme de stabilité est lié au futur traité européen, qui impose aux Etats membres la fameuse règle d'or, et l'austérité budgétaire ; ni non, car il est impossible de refuser un dispositif de soutien aux pays en crise. "Ni l'austérité, ni le refus de la solidarité", explique le porte-parole du PS Benoît Hamon. Seule solution, l'abstention ? Sauf qu'une partie de l'aile gauche du PS veut voter contre le mécanisme de stabilité, et que Jean-Luc Mélenchon souffle sur les braises. Le Front de gauche rappelle d'ailleurs que le PS n'en est pas à sa première abstention.En février 2008, les parlementaires socialistes ont refusé de voter contre le traité de Lisbonne, négocié par Nicolas Sarkozy pour sortir de l'impasse institutionnelle provoquée par le non au référendum de 2005.

Parmi les "ouistes" convaincus de l'époque, Daniel Cohn-Bendit. Chut ! La France va ratifier le nouveau traité européen. L’Assemblée nationale doit examiner un projet de loi ratifiant le nouveau traité européen. Première étape le 21 février avec l’examen du Mécanisme européen de stabilité. Un déni de démocratie pour le Parti de gauche. Quelques lignes explosives ont été glissées dans le programme de la conférence des présidents de groupes politiques à l’Assemblée nationale : 21 février, à 15 heures : Sous réserve de son dépôt, projet de loi autorisant la ratification du traité modifiant l’article 136 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne en ce qui concerne un mécanisme de stabilité pour les États membres dont la monnaie est l’euro Sous réserve de son dépôt, discussion du projet de loi autorisant la ratification du traité instituant le mécanisme européen de stabilité (ces 2 textes faisant l’objet d’une discussion générale commune ) De quoi s’agit-il ?