Plan du cours. OTC - La puissance des États-Unis aujourd’hui - 4/4 Clio Lycée. Ce cours fait directement suite au travail initié dans l’Axe 2 que vous pourrez trouver ici Axe 2 – Formes indirectes de la puissance : une approche géopolitique – 3/4 Conformément à l’esprit de la mise en place du programme, cet OTC s’inscrit dans la droite ligne des axes précédents avec pour mission de valider les acquis et de pousser la réflexion des élèves sur un angle d’attaque bien précis, ici les USA.
Par ailleurs le cours étant construit comme un ensemble, la dimension du Soft Power ayant été largement exploitée en amont, elle sera ici volontairement laissée de côté. Mes choix sont tout à fait critiquables cela va de soit et cette proposition, comme toutes les autres, n’est absolument pas un modèle. Les paradoxes de la puissance californienne. Aux États-Unis, la Californie n’est pas un État banal, tout au contraire, comme l’expriment Walker et Suresh (2013) : « La Californie est un monde à part, une région en soi, un État dans l’État, un territoire doté d’un caractère propre » [1] (p. 9) ; en outre, comme ces fins connaisseurs de la Californie le soulignent également, la Californie est, d’abord, un mythe.
Aux États-Unis, la Californie est un État dont le poids va croissant. Différentes facettes de l’avènement de la Californie comme État « central » aux États-Unis peuvent être mises en avant, à partir de quelques éléments factuels. Les Etats-Unis leaders du pétrole : les conséquences [Alexandre Mirlicourtois] What is Brain Drain? Les migrations vers les Etats-Unis stagnent. Dans un mois auront lieu les élections présidentielles au pays de l’oncle Sam.
Entre l’ex-first lady et le magnat mégalomane Donald Trump les Américains doivent faire leur choix. Un des critères décisifs, comme en Europe avec la montée des populismes, sera la question migratoire. La position du millionnaire de 70 ans originaire du Queens est claire : les immigrés ne sont pas les bienvenus dans le pays surtout s’ils sont originaires du Mexique. Une ineptie humaine, politique et économique. Donald Trump : perturbateur mondial - Le Dessous des cartes. Le Dessous Des Cartes USA : Émergence d'une puissance internationale. Robert Strausz-Hupé – Le nouvel ordre mondial et l’empire américain – Miscellanées. L’ordre mondial qui se profile sera-t-il celui de l’empire universel américain ?
Il doit en être ainsi, dans la mesure où il portera le sceau de l’esprit américain. L’ordre à venir marquera la dernière phase d’une transition historique et en finira avec la période révolutionnaire de ce siècle.La mission du peuple américain consiste à enterrer les États-nations, guider leurs peuples endeuillés vers des unions plus larges, et intimider par sa puissance les velléités de sabotage du nouvel ordre mondial qui n’ont rien d’autre à offrir à l’humanité que de l’idéologie putréfiée et de la force brute…Pour la cinquantaine d’années à venir le futur appartient à l’Amérique. L’empire américain et l’humanité ne seront pas opposés, mais simplement deux noms pour un même ordre universel sous le signe de la paix et du bonheur. Novus orbis terranum (Nouvel ordre mondial). « The Balance of Tomorrow » – Robert Strausz-Hupé, Orbis, 1957.
Cas 2 – D.Trump. D'Obama à Trump: les Etats-Unis dans le monde. L’armée américaine se prépare à l’arrivée de cyborgs dans ses rangs. Accueil Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités Cordon neuronal, oreilles et yeux bioniques, muscles pilotés par fibres optiques… Un rapport commandité par le ministère de la Défense américaine évalue les possibilités futures des combattants cyborgs.
Le soldat bionique, aux capacités décuplées, n’est pas seulement un bon sujet pour Hollywood. Le Pentagone aussi s’y intéresse vivement. C’est pourquoi il a demandé à ses chercheurs d’analyser les possibilités et les conséquences d’une telle technologie. Le cas d’usage le plus révolutionnaire, mais aussi le plus hypothétique, serait celui du cordon neuronal, c’est-à-dire une connexion directe avec le cerveau pour réaliser des transferts des données haut débit dans les deux sens. Communication « de cerveau à cerveau » Sur le champ de bataille, une telle interface permettrait aux soldats de mieux piloter les systèmes d’armement, qui deviennent de plus en plus complexes à manipuler.
Comment l’armée américaine prévoit la guerre du futur. « Jusqu’à il y a peu, cet homme n’existait pas », déclare, manière de plaisanter, Nick Thomson, le rédacteur en chef du magazine Wired, en désignant l’homme assis en face de lui.
Cet homme, c’est William Roper. Il dirige le Strategic Capabilities Office (SCO – « Bureau des capacités stratégiques »), une section du ministère de la défense américain chargée d’imaginer et d’anticiper les conflits armés du futur, de « faire le lien entre la science et le champ de bataille ». L’existence même de ce département était, encore récemment, classifiée. William Roper prévient : ses équipes se concentrent sur le futur proche. « Je suis incapable de voir à vingt ou trente ans », lance-t-il.
Le jeu vidéo invité sur le champ de bataille M. Géopolitique du spatial, de la Guerre froide au New Space : quoi de neuf ?