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Construction d'une ville. Partir dans tous les sens. Ecrire sur le champ. Déjouer. Distance et temps. Mes poétiques. Une litterature de passages. Alice-chute. Tatouage invisible. Le monde n’est plus lisible, il est navigable.

Tatouage invisible

Plus précisément, les instruments de navigation dans l’image se font de plus en plus passer pour des instruments de déambulation dans le réel. Et sans faire trop d’efforts, sans faire trop attention, on finirait par s’en contenter. Alors, quoi écrire, si c’est ça? J’ai appris très récemment, lors des sondes de la Chartreuse de Villeneuve les Avignon, qu’il existait une technique de tatouage invisible des images : codage permettant qu’une information insue soit transportée en même temps que ce qui est visible. Généralement cette technique est utilisée comme signature, à des fins de copyright, mais ce serait faire injustice à la très vieille tradition de cryptographie d’en limiter ainsi les potentialités. Passoire. Au pied des murs sans porte. Place nette. Vendredi 28 mai 5 28 /05 /Mai 18:57 Il y aurait bien, parfois, dans l'idée d'écrire, une tentation de ménagère : faire disparaître la crasse du monde.

place nette

Eponges. Morts aux frontières ‹ Owni. L'ecriture liquide? Post-mémoires - Face. Construction d'une ville. Ravaudeuse. Elle est surprise.

Ravaudeuse

De ces surprises dont on se doute bien qu’elles vont arriver.Elle voudrait se cacher, s’échapper. Elle a par réflexe ce mouvement panique de cacher son visage dans ses mains, comme si ça pouvait suffire à neutraliser ce qui l’a débusquée. Les enfants font cela, elle le fait comme les enfants, elle le fait sans y croire. Mathilde Roux - Collages. Mathilde Roux Collages | rdv | vidéos | vus par | contact | rss Mouvements Le point Espaces confondus De A à A (correspondance) Routes Territoires Être là - 24 villes.

Mathilde Roux - Collages

Carnets japonais. Le blog de François Matton. Enfiler les perles. Dimanche 11 avril 7 11 /04 /Avr 21:09 Il suffit de deux pour faire une série.

Enfiler les perles

Pour qu'apparaisse la possibilité du nombreux, de la continuité. Deux billets faits au hasard, sans projet, et déjà l'envie de les apparier et de les poursuivre. Peut-être est-ce la forme du blog qui veut ça, sa linéarité, la faculté laissée de gérer des catégories. Journal, etc. Fuirestunepulsion.net | journal | guillaume vissac | liens Articles de cette rubrique Livres Projets Web - Spip | PhpNet | Contact | Retour au sommaire | Soutenir l'auteur | Follow Hide.

Journal, etc.

Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve. Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve 09 mai 2011 22:00:00 Nouvelle version : avec la voix de l'auteure qui vient parfois chuchoter dans les rêves...

Saphir Antalgos, travaux de terrassement du rêve

Le rêve et la vie quotidienne. Le rêve qui se glisse à cause de la ville, à cause des enfants, à cause des métiers, des noms, des visgaes croisés dans le jour. La science des lichens. Cécile Portier. Lignes de désir. Les lignes de désir sont des passages coupant à travers parcs et espaces verts, visibles sous forme de pistes de terre mal dégrossies ou chemins de chèvres marqués dans le paysage à mesure d’un piétinement journalier. Tracées par chacun dans une volonté d’arriver plus vite à destination, ou simplement par curiosité, ces lignes matérialisent la force de transformation et de liberté que peut prendre chaque individu sur l’espace urbain.

Les lignes de désir est un projet de fiction, un récit à lecture aléatoire, un entrelacs d’histoires, de promenades sonores et musicales, cartographie poétique de flâneries anciennes, déambulations quotidiennes ou voyages exploratoires, récits de dérives aux creux desquels se dessinent les lignes de désir. Quelques extraits du texte publiés sur Liminaire et d’autres sites : Le dormeur de ville : Liminaire Le soleil est haut dans le ciel, c’est un beau jour d’été. Suivre sa ligne (de conduite) : Liminaire À l’ombre : Liminaire Le train-train quotidien : Liminaire. Eric Sérandour. Prendre un chemin pour se perdre, de Pierre Ménard. Pour ces vases communicants de juin, fierté d’accueillir dans cette nouvelle cabane Pierre Ménard et son texte, qui entre tant en résonnance avec mes projets d’écriture… Et pendant ce temps, je m’en vais faire un tour sur son site si riche, Liminaire… D’habitude on utilise les guides urbains sur mobile pour savoir où l’on est et où l’on va, mais rarement pour se perdre.

Prendre un chemin pour se perdre, de Pierre Ménard

Serendipitor nous surprend en nous égarant volontairement, en permettant notamment d’entrer en contact avec ceux que l’on croise dans l’espace public. C’est en effet avec cette idée que Mark Shepard, de l’université de Buffalo, a mis au point cette application qui combine indication d’itinéraire, intégrant Google Maps, avec un système de recommandations actualisées en temps réel. Ce qui permet de découvrir des lieux inédits, en effectuant un trajet entre un point A et un point B. Comment cela fonctionne ? J’ai voulu tester l’application en me promenant à Melun où je travaille. Je ferme les yeux. La ville est sous mes pas. Le dernier des mahigan : le dénombrement. Petitbain.net.

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