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Actualité articles 1 : Les trous noirs

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Introduction à la théorie des trous noirs/Caractéristiques et singularités d'un trou noir. Une page de Wikiversité. Début de la boite de navigation du chapitre fin de la boite de navigation du chapitre En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Introduction à la théorie des trous noirs : Caractéristiques et singularités d'un trou noirIntroduction à la théorie des trous noirs/Caractéristiques et singularités d'un trou noir », n'a pu être restituée correctement ci-dessus. Le rayon de Schwarzschild[modifier | modifier le wikicode] En 1916, Karl Schwarzschild découvre une théorie qui permet l'existence de singularités sphériques et immobiles en prenant le cas théorique d'une masse infinie effondrée en un point. Plus simplement, pour devenir un trou noir, un corps de masse M doit subir un effondrement gravitationnel en se contractant sous l’effet de son propre poids, jusqu’à ce qu’il atteigne un rayon appelé le rayon de Schwarzschild.

Où : L’horizon et la singularité[modifier | modifier le wikicode] Le terme singularité signifie quelque chose d’unique. Trous noirs - généralités. Suivant: Comment traquer les trous monter: compil précédent: compil Le monde est tout ce qui est le cas. Premier aphorisme du Tractatus Logico-Philosophique, Ludwig Wittgenstein La relativité générale et la théorie quantique des champs ne se rencontrent pas souvent en un même lieu à un même instant. Seuls l'Univers primordial et les trous noirs de faibles masses viennent à l'esprit. Je ne sais pas si les trous noirs primordiaux existent. Les pages qui suivent présentent quelques aspects de physique des trous noirs primordiaux. Entropie des trous noirs. Page(s) en rapport avec ce sujet : Néanmoins Hawking a peu après démontré par un calcul de théorie quantique des champs que le résultat sur l'entropie des trous noirs est énormément plus qu'une... (source : ilephysique)L'entropie des trous noirs est une grandeur paradoxale : comment comprendre que les .....

Alors que classiquement rien ne peut s'échapper d'un trou noir, ... (source : lpsc.in2p3) Pour consulter un article plus général, voir : Trou noir. L'entropie des trous noirs est une notion issue de l'étude des trous noirs dans le cadre de la relativité générale et de la théorie quantique des champs, en relation avec la thermodynamique. Contexte historique Le concept d'entropie des trous noirs est né suite à un article de Stephen Hawking qui s'interrogeait sur des aspects énergétiques liés à la collision de deux trous noirs. Peu après, le physicien Jacob Bekenstein étudia la variation des paramètres décrivant un trou noir lors de l'absorption par ce dernier d'une particule élémentaire.

Évaporation des trous noirs. Page(s) en rapport avec ce sujet : terme un trou noir, il doit répondre à des critères de masse précis, .... d'évaporation des trous noirs est tout de même passablement lent et le trou noir... (source : astrospatiale.free)Ainsi, le Trou noir est un «objet» stellaire qui reste toujours en mouvement d'expansion, et ne peut en aucun cas diminuer ni de volume, ni de masse, ... (source : july.fixedreference)Lorsque on a fait deux ans de physique (et toujours), on sait que le trou noir attire tout grâce à son immense masse. Le trou noir au CERN va être créé (et oui, ... Le rayonnement de Hawking est le phénomène selon lequel un observateur regardant un trou noir peut détecter un infime rayonnement de corps noir émanant de la surface de ce dernier. Il existe un analogue cinématique au phénomène de rayonnement de Hawking, l'effet Unruh, du nom du physicien canadien William Unruh, qui l'a prédit en 1976.

Le rayonnement de Hawking Formules et ordres de grandeur La quantité dU = TdS + On a donc or . Un trou noir supermassif. Avec la découverte des galaxies actives et des quasars, un défi était posé aux astrophysiciens. Il leur fallait, pour comprendre les différents types de galaxies actives, imaginer une source d’énergie capable de fournir la puissance d’un millier de galaxies tout en étant localisée dans un espace à peine plus grand que le système solaire. Les trous noirs supermassifs Deux idées furent avancées mais rapidement rejetées : les collisions entre galaxies, qui n’auraient pas produit suffisamment d’énergie, et les explosions en chaîne de supernovae, qui auraient dû se produire en quantités inimaginables.

Ce fut finalement le Britannique Donald Lynden-Bell qui proposa en 1968 l’idée à la base de l’explication moderne. D’après lui, la source d’énergie des galaxies actives devait être un trou noir supermassif, une version gigantesque des trous noirs résultant de la mort d’une étoile massive. L’origine des trous noirs supermassifs Le disque d’accrétion autour du trou noir. L'étrange trou noir intermédiaire HLX-1 ? Un ancien noyau de galaxie naine dit Hubble. Hubble vient d’apporter une lumière supplémentaire sur la nature du premier trou noir de masse intermédiaire dont l’existence a été établie en 2009. Les astrophysiciens ont détecté un amas de jeunes étoiles bleues en orbite autour de HLX-1. Ils pensent maintenant qu’il s’agit de restes du noyau d’une galaxie naine mise en pièces et avalée par la galaxie ESO 243-49. Découvrez notre dossier sur les trous noirs Pendant longtemps, on a cherché à mettre en évidence l’existence de trous noirs de masse intermédiaire.

Bien que l’on ait soupçonné l’existence de ces trous noirs de masse moyenne dans des amas globulaires , ce n’est qu’en 2009 que l’on a découvert le premier trou noir de masse intermédiaire dont l’existence semblait bien établie. Baptisé HLX-1 ( Hyper-Luminous X-ray source 1 en anglais), ce trou noir d’environ 20.000 masses solaires est en orbite à l’extérieur de la galaxie ESO 243-49, située à 290 millions d’ années-lumière de la Voie lactée . Les restes d'un repas galactique. L’énigme de la formation des trous noirs géants est virtuellement résolue. REGARDEZ - Le trou noir de notre galaxie dévorerait des astéroïdes. Depuis plusieurs années, les scientifiques s'interrogent sur des flashs de rayons X très régulièrement observés près du trou noir supermassif Sagittarius A, au centre de notre galaxie, la Voie lactée.

Des événements qui surviennent quasi quotidiennement. Une équipe d'astrophysiciens de l'Université britannique de Leicester, dirigée par Kastytis Zubovas, pensent avoir trouvé la clef de ce mystère grâce aux images livrées par le télescope Chandra, ou tout au moins un scénario plausible. D'après les résultats de leurs travaux publiés dans la lettre mensuelle de la Royal Astronomical Society, ces émissions pourraient être le résultat de la pulvérisation d'astéroïdes aspirés par les forces de marée du trou noir.

Les scientifiques excluent en effet que ceux-ci aient pu se former dans l'environnement du trou noir encombré par de la matière en orbite. D'après les calculs de l'équipe de Kastytis Zubovas, l'environnement proche de Sagittarius A pourrait être rempli de ces astéroïdes. Des astronomes observent en temps réel le 'déjeuner' d’un trou noir su. Des astronomes américains ont observé en temps réel le moment où un trou noir massif avale une étoile qui s’était fortement rapprochée de lui. Il s’agit d’un phénomène exceptionnel qui se produit en moyenne tous les 10.000 ans dans une galaxie donnée. "Les trous noirs sont un peu comme les requins, on considère à tort que ce sont de perpétuelles machines à tuer.

En réalité, ils restent calmes durant la majeure partie de leur vie. Mais occasionnellement, une étoile s'aventure trop près, et c'est là que la frénésie carnassière se déclenche", explique Ryan Chornock, du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, co-auteur de l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. On pense que l'ensemble des galaxies de l’univers abritent ces trous noirs supermassifs dont la masse se situe entre un million et un milliard de fois celle de notre Soleil. Certains peuvent être détectés grâce au rayonnement intense qu'ils émettent lorsqu'ils aspirent des gaz qui se trouvent proche. Le grand trou noir se réveille ! Sciences - Santé La nouvelle ne devait être annoncée qu’en janvier dans "Nature", mais elle excite tant les astrophysiciens qu’elle a déjà fuité : un nuage de gaz et poussières, lourd comme trois fois la Terre, approche du trou noir central de notre galaxie et devrait y être aspiré de manière catastrophique à partir de 2013.

Les astrophysiciens s’attendent à un "feu d’artifice" dont on verra les éclats. C’est d’autant plus excitant que ce trou noir avait fait le vide autour de lui depuis longtemps et n’était donc, par définition, plus visible par les rayonnements émis par les matières absorbées. Stefan Gillessen et Reinhard Genzel du Max Planck Institute avec le Very Large Telescope européen au Chili dans l’Atacama, ont mené de patientes études de notre Voie lactée.

Au centre de celle-ci, à 27 000 années-lumière de la Terre, il y a un gigantesque trou noir, "Sagittaire A*", pesant 4 millions de fois la masse du soleil. Mais qu’est-ce qu’un trou noir ? Découverte des plus gros trous noirs jamais observés. Des trous noirs pourraient être à l'origine des galaxies | Sciences. Les scientifiques ont formulé cette hypothèse après avoir observé un quasar «nu», c'est à dire dépourvu de galaxie hôte, le HE0450-2958, situé à 5 milliards d'années-lumière de la Terre. En utilisant une caméra dans l'infra-rouge moyen du Très grand télescope (VLT) de l'Observatoire européen austral (ESO) au Chili, David Elbaz, du Laboratoire d'astrophysique des interactions multi-échelles et ses collègues ont constaté que «la galaxie la plus proche du quasar produisait des étoiles à un rythme effréné». Les astrophysiciens ont en outre mis en évidence un «pont de matière» entre le quasar et sa galaxie compagnon.

«La matière semble s'écouler depuis le trou noir vers cette dernière à très grande vitesse», selon un communiqué de l'Institut de recherche sur les lois fondamentales de l'univers (CEA-Irfu). «L'injection à très grande énergie de cette matière dans la galaxie suggère que c'est le quasar lui-même qui provoque cette flambée de formation d'étoiles», poursuivent les chercheurs. Un trou noir géant a été surpris en train d'engloutir une étoile. Un flux de rayons gamma captés par le satellite Swift a trahi le repas de l'ogre du cosmos, un trou noir aussi massif qu'un million de soleils, comme celui situé au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée. La plupart des galaxies abritent en leur centre un trou noir qui peut avoir la masse de millions, voire de milliards d'étoiles semblables au Soleil.

Ces trous noirs supermassifs peuvent piéger dans leur champ de gravité des étoiles qui sont détruites par des effets de marée. La partie de l'étoile la plus proche du trou noir est soumise à une force de gravité plus grande que sa face plus éloignée. L'étoile est étirée et finit par se disloquer. Les débris tournent autour du trou noir Les débris ne tombent pas directement dans le trou noir.

Avant d'être engloutis, ils spiralent à grande vitesse autour de ce glouton, émettant un puissant rayonnement. Les signaux captés à partir du 25 mars par le satellite Swift avaient mis en alerte les astronomes. Le plus grand trou noir jamais observé: un monstre qui pèse 21 milliards de soleil. "Plus noirs qu'une panthère dans une nuit sans lune", c'est l'image utilisée par le journaliste du magazine américain Time pour introduire les trous noirs alors qu'il rapporte la découverte des deux plus grands jamais observés.

Des astronomes ont en effet trouvé dans une lointaine galaxie, à 330 millions d'années-lumière (1 année lumière=9460 milliards de kilomètres...), un trou noir colossal pesant l'équivalant de 21 milliards de soleil! Pour rappel, un trou noir est un objet cosmique qui aspire tout ce qui passe près de lui. Sa force de gravitation est telle que même un rayon de lumière qui passe dans le coin est attiré. Imaginez, c'est un peu comme si vous allumiez une lampe de poche et que la lumière n'était pas projetée devant vous mais était avalée vers le sol et le centre de la Terre. La théorie d'Einstein sur la relativité générale prédisait que les trous noirs puissent exister mais le physicien lui-même doutait de leur existence réelle. Comment calculer la taille d'un trou noir.