background preloader

Actualité articles - nébuleuses

Facebook Twitter

La nature des nébuleuses. L’observation des nébuleuses Grâce aux progrès constants dans les moyens d’observation du ciel, les astronomes du XVIIIe siècle se rendirent compte qu’il existait de nombreux objets diffus qu’ils baptisèrent du nom de nébuleuse. A cette époque, l’astronome français Charles Messier établit une liste d’une centaine de ces objets. Il leur donna les noms bien connus de nos jour comme par exemple M31 pour la galaxie d’Andromède. Au XIXe siècle, William Herschel et son fils établirent une liste de plus de 5000 objets qui devint plus tard le fameux Nouveau Catalogue Général, dans lequel la même galaxie d’Andromède se nomme NGC 224. Nous savons de nos jours que ces nébuleuses ne sont pas toutes des objets de même nature. En 1845, Lord Rosse commença l’étude de ces nébuleuses à l’aide du télescope de 1,80 mètre qu’il venait juste d’achever en Irlande. Le grand débat entre Harlow Shapley et Heber Curtis Curtis s’appuyait en particulier sur l’observation d’explosions de supernovae dans ces galaxies.

Nébuleuse planétaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À 650 al, la nébuleuse Hélix (NGC 7293) est une des nébuleuse planétaire les plus proches de la Terre. En astronomie, une nébuleuse planétaire est un objet astronomique qui ressemble à un disque d'aspect nébuleux lorsqu'il est observé à basse résolution. En raison de cet aspect, semblable à celui des planètes, l'adjectif « planétaire » lui a été attaché, et il a été depuis maintenu pour conserver l'uniformité historique.

À partir d'observations plus détaillées (en particulier spectroscopiques), on sait maintenant que les nébuleuses planétaires n'ont en fait aucun rapport avec les planètes. Il s'agit d'une nébuleuse en émission, constituée d'une coquille de gaz en expansion, éjecté d'une étoile en fin de vie, en transition de l'état de géante rouge à l'état de naine blanche pendant la branche asymptotique des géantes. Ce sont des objets qui évoluent assez rapidement ; on en connaît environ 1 500 dans notre Galaxie. Rémanent de supernova. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On appelle rémanent de supernova la matière éjectée lors de l'explosion d'une étoile en supernova.

Il existe deux voies possibles qui aboutissent à la création d'un rémanent : Une étoile massive cessant de générer de l'énergie par l'intermédiaire de la fusion de son cœur, et finissant par s'effondrer sous l'effet de sa propre gravité. On parle de supernova à effondrement de cœur, au centre duquel se trouve un résidu compact (étoile à neutrons ou trou noir). Alors que l'étoile massive fait plus de 8 masses solaires, le résidu compact fait de l'ordre de 1,5 masse solaire.une naine blanche ayant accumulé assez de matière provenant d'une étoile voisine ou entrant en collision avec celle-ci pour atteindre la masse critique qui engendre une explosion thermonucléaire. On parle de supernova thermonucléaire. Dans le cas où il y a accrétion de matière et non collision, l'étoile compagnon peut éventuellement survivre à l'explosion.

Donne directement. Une nébuleuse planétaire verte se cache dans l'amas NGC 1846. Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences La scène se passe à 160.000 années-lumière de chez nous, dans la constellation australe de la Dorade. C'est là qu'on observe le Grand Nuage de Magellan qui, comme son cadet le Petit Nuage de Magellan , est en réalité une petite galaxie . Les deux ont été découvertes par le navigateur Ferdinand Magellan au XVIe siècle lors de son tour du monde. Cette région céleste est très prisée des astronomes, surtout depuis le 24 février 1987, date de la découverte de SN 1987a , la première supernova visible à l'œil nu 383 ans après celle observée en 1604 par Johannes Kepler.

Comme c'est le cas pour toutes les galaxies , le Grand Nuage de Magellan est entouré d'un halo dans lequel on observe des amas globulaires , concentrations de centaines de milliers d' étoiles généralement âgées, principalement des géantes rouges . Le Grand Nuage de Magellan. © R. Au demeurant rien ne distingue NGC 1846 des autres amas globulaires. Ce sujet vous a intéressé ? Un astronome amateur découvre une nébuleuse en forme de "ballon de foot" L'agonie d'une étoile en fin de vie a engendré dans l'espace une étonnante nébuleuse, une bulle de gaz qui a pris la forme d'un ballon de foot. Observée par un astronome amateur, cette découverte pourrait offrir aux scientifiques un nouvel éclairage sur la formation des nébuleuses planétaires, ainsi baptisées car les astronomes les ont longtemps confondues avec des planètes.

En janvier dernier, Matthias Kronberger, un membre du club d'astronomie Deep Sky Hunters, a observé une nébuleuse planétaire en forme de ballon de foot. Une découverte confirmée lundi à l'International Union symposium qui s'est tenu à Puerto de la Cruz en Espagne, rapporte le National Geographic. Les nébuleuses planétaires, composées de nuages de gaz ionisé et d'hélium, sont engendrées par des étoiles en fin de vie. Avez-vous déjà partagé cet article? A quoi ressemble le son d’une nébuleuse ou du Soleil ? (Vidéo) A quoi ressemble le bruit des éléments qui composent le cosmos ? Bien sûr, les ondes sonores ne peuvent pas voyager à travers le vide de l’espace, mais les ondes électromagnétiques, oui.

Ces ondes électromagnétiques peuvent être enregistrées par des dispositifs appelés spectrographes sur les plus puissants télescopes du monde. L’astronome Paul Francis, de l’université National australienne, a utilisé certains de ces enregistrements et les transforme en son en réduisant la fréquence de 1,75 billion de fois pour les rendre audibles, car les fréquences d’origine sont trop élevées pour être entendues par l’oreille humaine. Selon lui : Cela nous permet d’écouter de nombreuses parties de l’univers pour la première fois, nous pouvons entendre le chant d’une comète, le carillon d’étoiles en train de naître ou mourir, le chœur d’un quasar mangeant le cœur d’une galaxie, et bien plus encore. Ci-dessous, l’enregistrement d’une nébuleuse par Paul Francis. Un petit bonus : La vie de notre Soleil. L'alignement de nébuleuses qui intrigue les astronomes. PAPILLONS. Des papillons dans l’espace !

Voilà comment apparaissent, vues avec nos télescopes, certaines nébuleuses planétaires, dites bipolaires. Ces objets qui n’ont rien à voir avec des planètes, sont constitués d'une coquille de gaz en expansion, éjectée par une étoile de taille similaire au Soleil, en fin de vie. De surprenantes similitudes entre nébuleuses Au centre de notre galaxie, la Voie lactée, des astronomes utilisant le New Technology Telescope de l'ESO ainsi que le télescope spatial Hubble ont examiné plus d’une centaine de nébuleuses planétaires et découvert qu’elles ont mystérieusement tendance à constituer des alignements.

Un résultat surprenant au vu de leurs passés respectifs et de leurs propriétés distinctes. Cette photo acquise au moyen de télescopes de l'ESO montre quatre nébuleuses planétaires bipolaires. Une anomalie au cœur de la galaxie ? Des Nébuleuses Planétaires Etrangement Alignées. Des astronomes anglais viennent de trouver quelque chose d'étonnant. De nombreuses nébuleuses planétaires situées au cœur de notre galaxie montrent un alignement identique, elles sont alignées le long du plan galactique. Il s'agit d'un certain type de nébuleuses planétaires, celles qu'on appelle des nébuleuses planétaires bipolaires.

Les nébuleuses planétaires peuvent être classifiées selon trois familles : les polaires (les nébuleuses planétaires en forme de boule ou de coquille), les biploaires (qui montrent des formes de double lobe ou d'ailes de papillon) et enfin les non-polaires, qui se trouvent sans forme bien définie. Une nébuleuse planétaire n'a de planète que le nom qui leur fut donné il y a quelques siècles. Il s'agit en fait d'enveloppes de gaz expulsées par une étoile de faible masse en fin de vie. Les nébuleuses planétaires bipolaires produisent de particulièrement belles formes. Tout le bulbe central est en rotation autour du centre galactique.