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MyScienceWork

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MyScienceWork, un réseau social pour la Science. MyScienceWork. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

MyScienceWork

MyScienceWork est un réseau social scientifique professionnel[1] spécialisé dans le libre accès[2]. Il permet aux scientifiques, ingénieurs, étudiants d’élaborer gratuitement leur propre fiche individuelle professionnelle[3], profil, CV, liste de publications. Ce moteur de recherche et plateforme de communication pour scientifiques propose des groupes de travail, des pages congrès, des évènements, des actualités mais aussi des offres d’emploi scientifiques mises gratuitement à la disposition de chaque utilisateur. Création[modifier | modifier le code] MyScienceWork a été créé en août 2010[4], par Virginie Simon[5],[6], chercheuse en nanotechnologies contre le cancer, et Tristan Davaille[7], ingénieur financier. MyScienceWork et le libre accès[modifier | modifier le code] MyScienceWork soutient la diffusion des textes scientifiques en « open access » ou « libre accès ».

Un site de vulgarisation scientifique[modifier | modifier le code] La publication scientifique révolutionnée. Court-circuitagedes canaux traditionnels.

La publication scientifique révolutionnée

MyScienceWork, une start-up qui offre toute la science en libre accès. MyScienceWork est une jeune start-up créée en 2010 par Virginie Simon et Tristan Davaille. Le but affiché de la société est, tout bonnement, de révolutionner le monde de la publication scientifique en offrant, dans la mesure du possible, les écrits scientifiques en libre accès. «L’idée m’est venue, explique Virginie Simon, à l’époque où je travaillais sur ma thèse. Comment accéder aux informations, obtenir des échos d’autres scientifiques, échanger des idées?» Pour fonder une entreprise, un doctorat en nanotechnologies ne suffit pas. La tendance à l’open access (libre accès) connaît un véritable essor, «les Etats commencent à légiférer sur le sujet, les universités créent des bases de données, l’Union européenne s’y intéresse aussi», poursuit-elle.

Contenu exclusif Vous possédez déjà un compte Cleeng? Bonne nouvelle! S'enregistrer et lire gratuitement Lire gratuitement Abonnement. My Science Work - Interview de Virginie Simon. Ingénieure diplômée de l’UTC Compiègne, Virginie se dirigeait vers une carrière de chercheur en biotechnologies.

My Science Work - Interview de Virginie Simon

Après un premier stage dans un grand groupe pharmaceutique où elle regrette l’hyperspécialisation de son activité, elle choisit pour stage de fin d’études une petite start’up qui développe des nanotechnologies contre le cancer. Expérience concluante qu’elle y fera sa thèse en convention CIFRE, qu’elle a soutenu en décembre 2009. Aujourd’hui, elle est à la tête d’une jeune entreprise incubée chez Paris Pionnières, qui propose aux chercheurs et aux ingénieurs un réseau social professionnel innovant qui facilite l’interdisciplinarité et la diffusion de la connaissance scientifique.

L’entrepreneuriat, est-ce un hasard ? Pas vraiment. Lors de mes stages j’ai pu constater que, plus la structure dans laquelle on évolue est grande, plus les tâches de chacun sont spécialisées. En quoi votre situation d’étudiante a-t-elle été un moteur pour la création de votre entreprise ? MyScienceWork : un nouveau réseau pour les chercheurs. Actu | Recherche Céline Manceau | Publié le , mis à jour le Virginie Simon est une jeune créatrice d’entreprise dont les enseignants-chercheurs pourraient prochainement entendre parler.

MyScienceWork : un nouveau réseau pour les chercheurs

Cette spécialiste des nanotechnologies, qui a également étudié la philosophie, s’est lancé un défi : créer un nouveau réseau social entre chercheurs. « J’ai voulu mettre au point l’outil qui m’a manqué pendant ma thèse », explique-t-elle. Elle a donc imaginé un site Internet, entièrement gratuit, sur lequel les chercheurs pourraient non seulement communiquer entre eux, mais également déposer du contenu (articles, thèses, publications…), le tout, adossé à un moteur de recherche relié à plusieurs bases de données.

En quête de partenaires « Le site sera ouvert début 2011, explique Virginie, mais je suis en mesure de présenter une première version aux universités et aux entreprises ».