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Liens de la semaine (27 aout)

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Information venue du Web, check! Crédit: DR Comment être sûr qu’un témoignage, publié sur un réseau social, est authentique? Comment s’assurer qu’une image n’est pas un photomontage ou un vieux cliché ressorti des limbes? En glanant, sur le Web , des éléments pour couvrir l’actualité en temps réel, les journalistes doivent repérer les «fakes», ces faux (messages, photos, vidéos, comptes) qui cohabitent, en ligne, avec de vraies infos.

Sans précaution ni vérification, c’est la faute de carre. Aussitôt relayée – et moquée – à son tour. L’enjeu, pour un journaliste, c’est de vérifier que, par exemple, le tweet publié par un étudiant annonçant l’arrestation de Dominique Strauss-Khan, en mai 2011, ou la photo de l’avion sur l’Hudson diffusée sur Twitter par un citoyen américain, en janvier 2009, correspondent à la réalité. «Il n’y a pas de recette miracle, la vérification des contenus trouvés en ligne passe par un travail d’enquête journalistique», m’explique Julien Pain, responsable du site Les Observateurs pour France 24. Print vs. Online: How the print edition of the New York Times trumps the online version. - By Jack Shafer.

A little over five years ago, I announced that I was canceling my subscription to the New York Times. My cancellation wasn't in protest of Times coverage of the Middle East, ethnic minorities, religion, sex, or any of the other thousand hot-button issues that cause readers to kill their subscriptions. I was getting rid of my newsprint New York Times because the dandy redesign of NYTimes.com had made it a superior vessel for conveying the news. Another argument in favor of the online Times was that it was free and the print product was costing me $621.40 a year. But mostly I found the new design more conducive to the way I live and work. I remain a big fan of NYTimes.com and especially of the Times Reader, the Adobe AIR application for Mac, Windows, and Linux that allows you to read the paper offline after you've synched it to your computer.

But no. As consumers of news continue to shift from newspapers to computers, reader engagement with the news will change, conclude the authors. Les kiosques numériques en chiffres. Relay.com, Lekiosque.fr, ePresse Premium…Les kiosques numériques se développent de plus en plus en France et leurs ventes connaissent un véritable envol. Le point sur les derniers chiffres du secteur. Lekiosque.fr a vu le jour en 2008. Il propose près de 550 titres, disponibles depuis PC et Mac et une formule unique à 9,99 euros qui donne accès à dix journaux. L’application est également disponible sur iPad depuis janvier dernier et revendique déjà 130 000 téléchargements.

Ce véritable kiosque numérique en 3D, se targue en outre d’une augmentation de 50% de son chiffre d’affaires chaque mois. Créé il y a également trois ans par le groupe Lagardère, Relay.com propose pour sa part une offre de 450 titres et a lancé il y a un an une application iPad. L’essor des ventes de titres sous format numérique est largement porté par la vente des tablettes tactiles.

Avec Usbek & Rica, le "mook" s'impose comme nouveau format. Couverture de Usbek & Rica. Un trimestriel, vendu en librairies et Relay, environ 200 pages abondamment illustrées pour 15 euros... La formule vous dit quelque chose ? Après XXI , le magazine-livre (magazine-book, ou « mook », une expression venue du Japon) Usbek & Rica débarque dans les rayons avec comme guides les deux personnages des « Lettres persanes » de Montesquieu.

Entre actu, uchronie et utopie, le mélange fonctionne plutôt bien. Il y avait des mooks pour les fans de jeux vidéos . Ou XXI, pour les amateurs de grands reportages et de récits au long cours. Ou encore le mook d’Autrement , une maison d’édition qui semble avoir introduit le terme en France. En remontant plus loin, on peut aussi citer Granta , fondé en 1889 à Cambridge et ressuscité depuis 1979 sous une forme plus ludique. A l’instar de XXI, certains de ces mooks se taillent désormais un beau succès en librairie, grandes surfaces culturelles et autres kiosques de gares. Voilà, notamment, pour le présent. Le Multicanal, l’avenir de la presse. Internet, l’incontournable… Focus sur le marché de la presse gratuite… Que ce soit un magazine d’annonces immobilières, automobiles ou rencontres, tous ont connu un véritable bouleversement avec l’arrivée d’internet.

Aujourd’hui lorsque quelqu’un fait une recherche, il souhaite une information en temps réel et internet répond parfaitement à ce besoin, cette immédiateté n’existant pas avec le papier. De plus, l’ information obtenue est actualisée et récente. Plus besoin d’attendre pour consulter les annonces et obtenir l’information recherchée. Mais alors pourquoi ne pas seulement éditer un format web ? Le papier et le web indissociable… ? Beaucoup de grands acteurs sont actuellement en souffrance extrême, et quelques uns malheureusement ne survivent pas. Deux causes majeures à ces échecs : la première est que ces incontournables de la presse papier ont pris le virage technologique beaucoup trop tard.

N’y aurait-il pas également un problème de business model ? Les éditeurs en ligne vont enfin avoir un statut. Commençons avec cette vidéo, «le premier film d'action tourné dans un pays communiste»: Maintenant au lieu de rapporter n'importe quoi de vos vacances, revenez avec un film que vous aurez fait!!! Mardi 21: Proctologie Une autre utilisation des vidéos, le devoir de mémoire. Ça marcherait avec tout le monde, pas seulement avec les candidats aux élections. Mercredi 22: Oulala, je vais encore me faire insulter Encore une autre façon de se servir de la vidéo sur Internet même si là - hmm - c'est casse-gueule. On parle d'extrémisme, de violence mais bon, nous on est neutre, hein.

A vous de vous faire une idée. Jeudi 23: Stratégie amoureuse? Vendredi 24: Compliqué le droit... Remettons le sujet dans son contexte: dans le cadre des Etats Généraux de la Presse voulus en début d'année par Nicolas Sarkozy, a été mis au grand jour l'existence de deux mondes parallèles comme au temps de l'apartheid: les journalistes «papier» et les parias du web, aussi appelés les «forçats de l'info». publicité. La nuit oubliée - 17 octobre 1961. 11 Journalism Jobs You May Hold in the Future. Print media is on its way out. Long-form stories aren’t being read. We’ve all heard these laments, but don’t fret yourself too crazy. If you look, you’ll find plenty of signs that this field won’t go away. Journalism isn’t dying; it’s evolving. To survive, we’re all going to have to get more creative and adapt as new technologies and methodologies appear.

The traditional titles–reporter, copy editor, photographer, page designer–may fade away or take on new meanings yet journalism won’t altogether become extinct, even despite corruption and the frustration felt by overworked, underpaid journalists. Journo jobs still exist… A story in The Atlantic by James Fallows says this at the beginning of an article about the future of journalism: Guess what? And an essay from Paul Ford in New York Magazine argues that we still require stories to rise out of the constant flow of information. Some newer titles in journalism include social media strategist, multimedia reporter and blogger. L'évolution de l'industrie du disque en un graphique animé.

L'industrie du disque est-elle en crise profonde, ou au coeur d'un énième cycle de renouvellement ? Voici un graphique qui illustre parfaitement le phénomène cyclique de l'industrie musicale, réalisé par Digital Music News. On y voit l'évolution des ventes depuis 1980, avec la répartition au fil du temps de l'importance des différents supports, du disque vinyle jusqu'au MP3. Comme un poumon, la taille du camembert qui représente le volume global des ventes tend lui aussi à diminuer puis à augmenter, selon des cycles plus longs. Or la question aujourd'hui est de savoir si l'industrie musicale se trouve en période d'inspiration, et si elle s'apprête une nouvelle fois à regonfler ses poumons grâce à la musique en ligne.

Ou si l'industrie est en fin de vie et peine à retrouver son oxygène. Ce que le déclin des contributions sur Facebook nous dit de l’avenir de l’info. Vous avez peut-être manqué la publication au mois d'août de l'étude GlobalWebIndex : un passionnant ensemble de chiffres et d'analyses qui recense les usages web et mobile dans le monde. Cette année, le rapport (dont vous pouvez consulter et télécharger une synthèse ici) annonce un déclin massif des contributions sur Facebook. Allant même jusqu'à oser émettre un doute sur l'avenir supposé glorieux du réseau social.

Que disent les chiffres relevés par GlobalWebIndex auprès de plus de 100.000 utilisateurs dans le monde ? Q ue toutes les formes de contributions sur Facebook sont en baisse depuis 2009. Surtout l'envoi de messages et l'installation d'applications (en chute libre). L'étude note cependant que Facebook n'est pas en déclin. En France, par contre, les chiffres sont bien plus marqués: +34% chez les 16-24 ans , + 11% chez les 35-34 ans, +85% chez les 35-44 ans, +40% chez les 45-54, et +101% chez les plus âgés (55-64 ans) ! Sur quelles plateformes les contenus seront-ils consommés ?

Comment être journaliste… comme il y a 20 ans ? Ce matin, voici une petite troupe d’étudiants en journalisme de l’Université Atlantic en Floride qui a remonté le temps et tenté de recréer une édition spéciale du journal de l’Atlantic Sun… mais sans l’aide de l’ordinateur ! Ils ont dont écrit leurs articles sur des machines à écrire, ils ont édité et copié manuellement leurs papiers puis développent et impriment leurs propres photos à la main… comme il y a 20 ans ! Un sacré défi donc mais bien plus que ça car à l’heure de l’informatique, les technologies prennent hélas souvent le pas sur le fond. Ces jeunes journalistes ont donc dû remettre la main sur de vieux matériels pour lire certaines bandes magnétiques, certains rubans pour machine à écrire, etc.

Enfin, tout ceci questionne nos métiers et le métier de journaliste. Dans 20 ou 30 ans, arrivera-t-on à lire nos fichiers inDesign, nos disques durs, nos clefs USB? Source. Eric Scherer prône un journalisme réinventé et augmenté. Après la fin de la télévision prédite par Jean-Louis Missika et la fin des journaux annoncée par Bernard Poulet, voici logiquement venue la fin des journalistes. Dans un essai percutant et extralucide, A-t-on encore besoin des journalistes ?

Manifeste pour un journalisme augmenté, Eric Scherer pose un diagnostic éclairant sur la profession journalistique, confrontée à la plus grande révolution de son histoire. Aujourd’hui directeur de la prospective et de la stratégie numérique du groupe France Télévisions, l’auteur analyse les effets présents et à venir de la révolution de l’information sur les pratiques des journalistes. Pour lui, la crise à laquelle les journalistes sont confrontés depuis moins de dix ans est "un changement d’époque aussi monumental que l’arrivée du télégraphe au XIXe siècle", une sorte de séisme poussé par trois forces : la numérisation, la mobilité et la personnalisation de l’information. Démocratisation de l’écriture publique "L’abondance remplace la rareté.

" Battle for Libya - Photographs. Prison Valley" : entretien avec David Dufresne (Le Blog documentaire) - une vidéo Cinéma.