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Légendes urbaines

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Cerveau droit, cerveau gauche : le mythe. C'est plus qu'un mythe qui s'est développé autour de l'asymétrie du cerveau.

Cerveau droit, cerveau gauche : le mythe

C'est une véritable croyance. L'hémisphère gauche du cerveau est supposé être le siège de la logique froide, du verbal, côté dominant, tandis que l'hémisphère droit est sensé être le côté de l'imagination, des émotions, de la conscience de l'espace mais côté refoul. L'idée que le cerveau gauche est celui de la raison et le cerveau droit celui du désir, des passions et des affects. Deux personnalités dans une tête en quelque sorte, tel le Yin et le Yang, le héros et le méchant. Pour la plupart des neuroscientifiques, ces notions sont considérées comme au mieux simplistes, au pire stupides.

Les personnes à l'origine du test au scanner, les neurologues cliniques Gereon Fink de l'Université de Düsseldorf en Allemagne, et John Marshall de l'Hôpital Radcliffe d'Oxford, persistaient dans l'idée selon laquelle la différence entre les deux hémisphères du cerveau se trouvait dans leur mode de fonctionnement. Info. Le mythe de la pièce de monnaie qui tombe d’un édifice est couramment évoqué dans les visites guidées de certaines structures reconnues pour leurs hauteurs.

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Dans un monde "idéal" sans friction, une pièce qui tomberait d’une certaine hauteur verrait sa vitesse augmenter en suivant la formule suivante : Vf=vi+at Où "a" est l’accélération sur la terre (9,8 m/s2), "t "le temps de chute, "vi" la vitesse initiale et "vf" la vitesse au moment de l’impact avec le sol. Imaginons la chute d’une plume et d’une pomme. En théorie, la masse n’affecte pas la vitesse finale, ni le temps de chute. Dans les années 1920, l’armée américaine a établi que l’énergie requise pour engendrer une blessure mortelle chez un humain est de 81,348 joules.

Un objet tombant pendant un certain temps atteint une vitesse maximale appelée vitesse terminale. Des militaires américains se sont penchés sur la question des munitions tirées dans les airs qui retombaient vers le sol. Info. CLASSIFICATION : Physique ORIGINE : Inférence basée sur l’observation de l’accumulation de la neige et de la glace en hiver.

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Extension au fait que toutes les glaces, en fondant, augmentent le niveau de l’eau. MOTS CLÉS : Icebergs; glaces terrestres; dilatation DESCRIPTION : Le choix de mon mythe n’est pas fortuit. Je pense qu’il vient à point nommé à un moment où le débat environnemental fait rage un peu partout dans le monde et en particulier, dans le monde industrialisé : la fonte des icebergs provoquée par le réchauffement de la planète augmenterait le niveau des eaux.

Tout d’abord, Il faut distinguer glaces de mers et glaces continentales. On entend souvent dire que la montée des eaux provenant de la fonte des icebergs et des glaces des pôles est due au réchauffement de la planète lui même provoqué par l’effet de serre. Thouin, M. (2001). Info. TITRE : Les poils repoussent plus rapidement et de façon plus drue après le rasage CLASSIFICATION : Biologie/corps humain ORIGINE : Cette croyance est, de façon probable, apparue lors de la simple observation des poils après le rasage.

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En les observant de plus près, les femmes ont pu constater que leurs poils repoussaient avec une pigmentation plus foncée et qu’au toucher, ils étaient moins doux. Elles ont donc fait un lien direct entre le rasage et la réapparition des poils indésirables. On ne peut pas associer la création de ce mythe à une date précise, mais dès 1928, des études ont commencé à démontrer que le rasage n’était pas relié à la croissance des poils. « L’effet de mémoire » : le vrai et le faux : Batterie Lithium-ion et ordinateur portable (1ère partie) Il existe aussi une autre idée reçue qui consiste à dire que le fait de recharger alors que la batterie n’est que partiellement déchargée, endommage les accus.

« L’effet de mémoire » : le vrai et le faux : Batterie Lithium-ion et ordinateur portable (1ère partie)

Cette idée reçue est liée au phénomène appelé « effet de mémoire ». Il y a quelques années, les fabricants de batteries Ni/Cd et Ni/Mh se sont brandi réciproquement le spectre de l’effet de mémoire afin de faire de la mauvaise publicité l’un à l’autre. Cela a surtout provoqué une confusion massive du public. Il est donc important de remettre les choses au clair très brièvement. Un faux problème L’« effet de mémoire » est un phénomène qui caractérise une batterie qui refuse de délivrer toute l’énergie qu’elle a en magasin, car elle a été rechargée avant d’être totalement épuisée et a mémorisé le seuil atteint au moment de la recharge comme seuil d’épuisement. Ce phénomène a été initialement découvert par la NASA. Médecine et Santé.