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#OpPayback / Avenge Assange

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Amnesty International souligne l’importance d’Internet et de Wikileaks. Dans son rapport annuel qui vient de paraître, l’ONG insiste sur le rôle déterminant qu’ont joué Wikileaks et les nouvelles technologies d’information et de communication dans les révolutions du monde arabe, et particulièrement en Tunisie. Le rôle de Wikileaks en Tunisie Les médias français ont souvent affirmé que la fuite des câbles diplomatiques confidentiels n’avait que peu d’importance. On se souvient très bien des « on n’apprend rien », répétés à longueur d’antenne par les éditorialistes français. Pourtant, ces fuites ont bel et bien démontré aux Tunisiens que tous les gouvernements connaissaient leur situation, et ne faisaient rien. Un véritable silence complice. Mais l’ONG souligne très bien que plusieurs documents Wikileaks auraient permis « de mieux comprendre la source de la colère de la rue ». Le rapport d’Amnesty International donne deux exemples.

Informer et combattre la censure Un enjeu, le contrôle d’Internet Le rôle de Wikileaks en Tunisie Informer et combattre la censure. WikiLeaks : des hackers partisans du site fondé par Julian Assange prêts à lancer une cyberguerre. Les partisans de WikiLeaks sont sur le pied de guerre. Et ils sont prêts à tout pour défendre le site fondée par Julian Assange. Tous ceux qui s'en prennent au site spécialisé dans la divulgation de documents secrets risque ainsi de faire l'objet d'attaques informatiques, a averti ce jeudi le porte-parole anonyme d'un groupe de "hackers" qui se présente comme un ingénieur.

Visa et Mastercard ont fait l'objet des premières représailles après avoir décidé d'interrompre leur contrat avec WikiLeaks, coupant ainsi les vivres du site. Et ce jeudi, le porte-parole d'un groupe de "hackers" baptisés Anonymous a averti sur les ondes de la BBC que le site de paiements en ligne PayPal et d'autres adversaires présumés de WikiLeaks seraient probablement eux aussi attaqués. "Je vois ça comme une guerre en train de naître, mais pas une guerre conventionnelle. Sur un forum où les militants coordonnent leurs attaques, les discussions sont brèves et sans détour. La cyberactivité n'est pas à sens unique. "Operation Payback" : Anonymous, les pirates qui vengent Julian Assange et Wikileaks! - Cinquiemevitesse sur LePost.fr (16:32) Dans un de mes derniers articles, j'avais expliqué que le site Wikileaks avait été piraté dès les premières diffusions de documents confidentiels sur Internet.

Puis on a appris que Julian Assange était coupable de "Sexe par surprise". Cette semaine, nouveau rebondissement dans cette affaire qui nous promettait une sorte de tsunami diplomatique. Des pirates informatiques, qui se font appeler "Anonymous" (voir leur site Anon Ops et ici la version québecoise) ont pris la défense de Wikileaks en menant des attaques informatiques, comme l'explique leur communiqué. Leurs cibles : les sites des sociétés considérées hostiles à Wikileaks. IIs ont ainsi attaqué les sites de : - la banque suisse PostFinancebancaires, qui "a gelé un compte bancaire de Julian Assange", précise 01net. - Visa, PayPal et Mastercard qui ont suspendu les moyens de paiement à Wikileaks.

Ces sites, ils les considèrent comme leurs "jouets", comme l'indique ce message publié sur Twitter par l'organisation la nuit dernière : «Les Anonymous vont s'en prendre à tous ceux qui ont entravé l'activité de WikiLeaks» Il faut défendre WikiLeaks (et c’est urgent) | Nouvelle formule.

La moutarde a commencé à me piquer la narine lundi dernier, au brossage, quand Hubert Védrine, ex-conseiller mitterrandien reconverti dans la sagesse diplomatique, a dézingué WikiLeaks à grands coups de bazooka, parlant au micro matutinal de Patrick Cohen d’entreprise totalitaire et de fanatisme. Vous me direz, il faisait son boulot, l’ex-ministre des Ambassadeurs, défendre l’intimité de ses confrères, leur droit inaliénable à touiller leur petite soupe dans leur petit coin, bien à l’abri des curiosités et des questions indiscrètes; vous ne m’empêcherez pas de trouver des points communs entre ses excès et ceux d’autres personnalités du camp d’en face – Védrine est socialiste – qui, en leur temps, parlaient délicatement et pour les mêmes raisons, à propos des révélations de Médiapart sur l’affaire Woerth-Bettencourt, de « trotsko-fachisme » et de pratiques staliniennes.

Qu’il soit ou non journaliste – c’est un autre sujet – Julian Assange, le patron de WikiLeaks, résiste. Le site de MasterCard victime d’une attaque DDoS. Par Emilien Ercolani, le 29 juin 2011 10:55 Un hacktivist, épaulé par plusieurs complices, a réussi à saturer le site de MasterCard pendant quelques minutes grâce à une attaque DDoS. C’est sur Twitter que « ibombhacktivist » a affirmé qu’il était l’auteur de l’attaque contre le site de MasterCard.

Il a expliqué son geste comme une vengeance plusieurs mois après l’affaire WikiLeaks. Effectivement, MasterCard s’était attiré les foudres d’une bonne partie des hacktivists de la planète après avoir refusé de traiter les opérations de dons et de paiements destinés au site de Julian Assange, après que ce dernier ait publié tous les documents que l’on connaît aujourd’hui. « WikiLeaks est un sujet qui génère des émotions fortes et ce, que vous soyez en, faveur de l’organisation ou opposé », explique l’analyste Graham Cluley, rappelant que dans tous les cas, « les attaques DDoS sont illégales ». A message to PayPal, its customers, and our friends. WikiLeaks' Brilliant MasterCard Commercial Parody.