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L'existence. De l'existence. Des deux mots existence et essence, le mot essence a été utilisé en premier pour parler de l'être. N.B. Intérêt philosophique pour l'existence, récent... La pensée de l'essence d'une chose permet de déduire ses propriétés. Ex. De l'essence du cercle, je peux déduire qu'il est rond, propriété sans laquelle il ne serait pas un cercle. Par contre, la pensée ne peut affirmer la nécessité de l'existence d'une chose : ce n'est pas parce que je pense à une chose avec ses propriétés ("attributs"ou"prédicats") que cette chose existe. Ex. Pour la pensée, l'essence d'une chose est nécessaire, mais l'existence de cette chose ne saurait être que possible.Aussi aucune existence ne saurait être démontrée, elle peut qu'être montrée !

Elle est ainsi appelée par Kant, parce qu'elle prétend prouver que Dieu est (existe) en partant de ce que l'on pense qu'il est (par essence), nécessairement. Critique de la preuve ontologique. De la critique de Kant, on peut tirer trois conséquences : ÊTRE, philosophie. La « question sur l'être » traverse l'histoire de la philosophie. Pour certains, elle serait le motif même de cette histoire, les différences entre les philosophies découlant, au plus profond, de la diversité des réponses à la question sur l'être.

Dans ces termes, l'histoire de la philosophie se confondrait avec l'histoire du sens de l'être ou, plus fortement encore, avec les modalités de la « dispensation » de l'être (Hegel, Heidegger). Cependant, une autre approche cherche plutôt à élucider le sens de l'être et de l'existence. On dira alors que le travail du philosophe consiste à passer d'un usage général et relativement imprécis, voire tautologique (Parménide), du concept d'être à la détermination des « acceptions » de l'être (Aristote) et des conditions de la prédication de l'existence (Kant, Frege) . « Il soupçonna que l'eau était le principe des choses, que le monde était animé et rempli de démons. Face à ce texte, cet autre : « Nous nommons le temps quand nous disons : chaque […]

ÊTRE, philosophie, Être, étant, néant. ÊTRE, philosophie, L'existence n'est pas un prédicat. Existence-entre-phenomenologie-et-ontologie. Identité personnelle, désir et conscience de soi. Identité personnelle, désir et conscience de soi La notion d'identité personnelle est ambiguë: elle peut signifier : 1) Que le sujet reste ce qu'il est intérieurement, par delà tous les changements qui l'affectent extérieurement; changements provoqués par les images de soi, les rôles temporaires négatifs que la société l'oblige à jouer. Selon la première signification, les changements qui affectent le sujet dans sa personnalité: les évènements qui font rupture, heureux ou malheureux, qui marquent à jamais, c'est à dire change le sujet dans son désir d'être et d'agir sont déniés: il verra les autres, le monde et lui-même différemment et devra se reconstruire une identité, mais il refuse d'assumer cette transformation, cette évolution, au nom de son identité profonde ; pour la mettre sur le compte du monde extérieur.

Avoir ou être? Passages choisis 810821 par Erich Fromm Éditions Robert Laffont © 1978 Différence entre avoir et être Illustration à partir d'un texte poétique Origine des termes Concepts philosophiques d'être Lire, étudier Avoir ou être l'autorité La foi en dieu Aimer Achat-consommation (la voiture) Tabous, liberté et puissance Nominalisme Héros de l'être et êtres craintifs de l'avoir Avoir l'être aimé Plaisir d'avoir vs joie d'être Passé et avenir vs ici et maintenant La carte de notre monde Avoir et être - Marx Différence entre avoir et être p. 33 Le choix entre avoir et être, en tant que notions contraires, ne frappe pas le sens commun.

Pourtant, les grands maîtres de la Vie ont fait de l'alternative « avoir ou être » le thème central de leurs systèmes respectifs. Pendant des années, j'ai été profondément impressionné par cette distinction et je cherchais sa base empirique dans l'étude concrète des individus et des groupes par la méthode psychanalytique. Illustration à partir d'un texte poétique p. 34 Près de la haie! ESSENCE ET SUBSTANCE (I) L’être et les êtres Définir la métaphysique comme « la science de l’être » [1] c’est la réduire à l’ontologie alors qu’elle doit considérer ce qui est « au-delà de l’être » comme nous le verrons au chapitre suivant.

Dans ce chapitre nous étudions l’Etre en tant que « cause » ou « principe » des êtres ; c’est, si l’on veut, « l’Etre suprême » ou « Etre pur » envisagé comme « Dieu créateur des autres êtres ». L’Etre devra dans cette perspective être envisagé comme le Principe de la manifestation universelle. Tout ce qui se manifeste, de quelque façon que ce soit, devra être rapporté à l’Etre ; ce qui ne se manifeste pas, parce que non susceptible de manifestation, ainsi que la manifestation universelle à l’état principiel, devra être rapporté à ce qui se trouve au-delà de l’Etre. L’Etre lui-même est non manifesté, car un Principe est d’un autre ordre que ce qu’il manifeste. Il se connaît lui-même par lui-même, et se connaissant lui-même il manifeste les possibilités qui sont en lui [2]. Ll'existence et le temps. Existence et temps. Un livre de Wikilivres. Le mot "existence" désigne le fait d'être, par exemple le fait d'être d'une manière absolue, le fait d'être donné pour la perception, ou encore pour la conscience.

"Existence" s'oppose à la fois à l'essence (le ce que c'est), et au néant qui est sa négation. Le problème métaphysique de l'existence[modifier | modifier le wikicode] Tous les êtres existent, et c'est une évidence de dire que la pensée (et même l'imaginaire) et l'action supposent l'existence. Être et pensée sont identiques ;l'existence est immédiatement connue. La connaissance de ce qu'est l'existence est ainsi issue originellement de l'existence même. Si l'existence est connu par un moi, l'existence des choses peut-elle en être déduite ?

Ces questions entraînent des distinctions : L'origine métaphysique de l'existence[modifier | modifier le wikicode] De ce point de vue essentialiste, il découle plusieurs conséquences importantes : La notion de Dieu est une idée, non un concept. Sagesse et mort. De l'existence et du temps. Pour traduire philosophiquement cette relation de soi à soi, constitutive de l'existence humaine, Sartre déclare qu'en l'homme " l'existence précède l'essence ". Précisons d'abord ce que recouvre chacune de ces deux notions. « Le mot existence implique une très ancienne contrepartie que dit un autre mot le mot essence. En réalité, c'est même plutôt le mot essence qui est premier.

Essentia, c'est la transposition directe sur le plan nominal du verbe esse : être. Les Latins, quand il leur arrivait de philosopher, c'est-à-dire de méditer sur ce qui est, parlaient nous le savons par Sénèque, d'essence plutôt que d'existence. En latin, le mot existentia est un vocable très tardif. Non pas sans doute le verbe existere ! Mais il ne signifie pas du tout exister. " L'existentialisme athée, que je représente, est plus cohérent. Dire qu'en l'homme, l'existence précède l'essence, c'est dire également que l'homme est responsable de ses choix.