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Novembre 2010 part 2

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France : Karachi : les documents qui exonèrent Sarkozy. Plusieurs documents révèlent les réticences du ministère du Budget devant la vente de sous-marins au Pakistan à l'origine des soupçons de corruption. Alors que l'enquête sur l'affaire Karachi pourrait s'étendre à d'autres contrats internationaux, plusieurs documents en possession des juges tiennent aujourd'hui Nicolas Sarkozy à l'écart du cœur névralgique du dossier. Plusieurs pièces montrent que, en 1994, le ministère du Budget, alors dirigé par l'actuel chef de l'État, s'est déclaré hostile à la vente des sous-marins Agosta au Pakistan -cette vente sur laquelle serait venu se greffer in extremis un système de rétrocommissions possiblement destiné, ont déclaré plusieurs témoins, à alimenter les circuits d'Édouard Balladur.

Le compte rendu d'une réunion ministérielle tenue le 29 juin 1994, classé secret défense, témoigne de cette position. » Le compte rendu de la réunion ministérielle (en pdf) » DOSSIER SPECIAL - De l'attentat à l'affaire. «Le Figaro» en eaux troubles. Après le bombardement en Une d'un procès-verbal tronqué en plein incendie Bettencourt, Le Figaro, quotidien dont la direction a toujours su montrer sa vigoureuse indépendance à l'égard du pouvoir en place,récidive. Mais cette fois-ci dans l'affaire Karachi. Le journal de l'avionneur Serge Dassault, par ailleurs sénateur UMP, annonce ce mercredi 1er décembre avoir mis la main sur de précieux documents "secret défense" qui sont censés exonérer Nicolas Sarkozy dans une vente d'armes franco-pakistanaise au cœur du volet politico-financier de l'affaire.

Le titre est sans ambiguïté: «A Bercy, Sarkozy s'est opposé aux contrats avec Karachi». Admirable, mais inexact. Que dit vraiment ce document, qui est un compte-rendu d'une réunion interministérielle de juin 1994? Que le ministère du budget, dirigé entre 1993 et 1995 par M. Mais il y a mieux. Deux personnes signent cette garantie: le ministre de la défense et celui du budget. C'est là que l'affaire se complique pour le président. Voici la note: Karachi : Van Ruymbeke veut étendre son enquête au contrat "Sawari II" - Politique.

Karachi : nouvelle audition pour Villepin - Politique Economique - Actualité Challenges.fr. Karachigate : les auditions comparées de Balladur et de Villepin. Tous les deux ont été premiers ministres. L'un a témoigné devant une mission parlementaire, l'autre devant un juge. Leurs deux auditions ont été enfin publiées. Il nous manque quelques écoutes, et le dossier sera presque complet. Balladur et Villepin se sont partiellement expliqués. Partiellement, car les sous-entendus et les amnésies restent nombreux. Le procès Clearstream tient-il en otage la vérité de l'affaire Karachi ? Balladur a tout oublié Edouard Balladur a failli être président. Dans son audition, conservée au secret jusqu'alors, Balladur s'explique beaucoup, dément tout autant et livre peu. 1. 2. 3. 4. Villepin a failli tout balancer Dominique de Villepin est lui plus prolixe. 1. 2. 3. 4. Mais qui donc était écouté ?

Devant le juge, Dominique Villepin ne voulait pas laisser croire que Jacques Chirac et lui-même orchestraient un cabinet noir chargé d'écoutes, enquêtes et vengeance. Villepin se protège. Les écoutes de Chirac Ces écoutes suscitent le trouble. (*) article payant. Quand Balladur nous bourre le mou… Le cahier secret de Gérard Ménayas, ex patron de la DCNI. Par les temps qui courent, quand la meute médiatique s’agite autour du dossier Karachi, il est rare et passionnant de rencontrer un des acteurs clés de ce dossier pour le moins explosif. Jusqu’à l’hiver 2008, date à laquelle il fut viré sans ménagement, Gérard-Philippe Menayas fut le directeur financier de la Direction des constructions navales internationales (DCNI), la tête de pont des Constructions navales pour les gros contrats internationaux : les frégates vendues à Taïwan en 1991 et 1992 ou les sous-marins achetés par le Pakistan en 1994-95 – deux usines à gaz qui permirent de fabriquer du cash très, très noir.

Gérard-Philippe Menayas Dessin de Pavel "Sept ans c’est long" Un Boivin bavard Au sein des Constructions navales, Gérard-Philippe Menayas était l’interface entre le patron de la DCNI, Dominique Castellan, et deux officines luxembourgeoises, Heine et Eurolux, chargées de distribuer la manne des commissions et rétrocommissions. Mémoire qui flanche Document. [video] - [@si : investiguer sur Karachi] Édouard Balladur: "Le financement en espèces n’a nullement été inventé par moi" (document) Exclusif JDD Edouard Balladur, lors de son audition à l'Assemblée nationale, le 28 avril dernier. (Reuters) "Sur les causes de l’attentat qui a coûté la vie à onze de nos compatriotes, je ne suis pas en mesure d’éclairer la mission autrement que par les questions que je me pose […]. Quant à l’hypothèse avancée par quelques-uns, tenant au fait que des commissions qui auraient été promises à l’occasion de la signature, en 1994, du contrat prévoyant la fourniture de trois sous-marins au Pakistan n’auraient pas été intégralement versées à leurs bénéficiaires en raison de leur annulation par le gouvernement français en 1996, elle laisse perplexe : en 1996, si j’en crois ce qu’écrit la presse, la quasi-totalité de ces commissions aurait déjà été versée, ce qui limitait le préjudice subi par leurs bénéficiaires ; de surcroît, on a du mal à s’expliquer qu’un motif de cet ordre puisse entraîner, six ans après, en 2002, et par mesure de rétorsion, l’assassinat de onze Français.

Affaire Karachi. Balladur : «Je n'ai jamais été informé» Après les déclarations de l'ancien ministre de la Défense, Charles Millon, l'audition par le juge Van Ruymbeke de l'ex-Premier ministre Dominique de Villepin, c'est un autre poids lourd de la politique qui fait son entrée dans ce qu'on nomme désormais le « Karachigate ». L'ancien Premier ministre Édouard Balladur revient sur le devant de la scène médiatique à l'aune d'un document qui retrace son intervention, le 28 avril dernier, lors de son audition devant les membres de la mission parlementaire qui enquête sur l'attentat de Karachi (Pakistan) qui avait fait 15 morts dont onze ingénieurs français en mai 2002. M. Balladur affirme n'avoir « jamais été informé de l'octroi de commissions » au moment de la signature en 1994 du contrat intitulé « Agosta » qui prévoyait la fourniture de trois sous-marins au Pakistan.

Des intermédiaires libanais. Attentat de Karachi : "Villepin sait, mais ne veut pas donner de noms" - LePost.fr. Karachi: Villepin silencieux, mais pas muet. Dominique de Villepin a fait part hier au juge Renaud Van Ruymbeke de ses «convictions très fortes» d'un financement illicite de «partis proches» d'Edouard Balladur, a rapporté l'avocat de victimes de l'attentat de Karachi, Me Olivier Morice. L'ex-Premier ministre a été entendu comme témoin pendant plus de quatre heures au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris, audition à laquelle assistait Me Morice.

M. de Villepin a indiqué à la presse qu'il avait assuré au juge, chargé du volet financier de l'affaire Karachi, qu'il ne pouvait y avoir, selon lui, de «lien entre l'attentat de Karachi et l'arrêt du versement des commissions» décidé par Jacques Chirac en 1995 sur des contrats d'armements. Il n'a en revanche pas réitéré devant la presse ses propos tenus vendredi évoquant de «très forts soupçons» de corruption (rétrocommissions) de décideurs français en marge de deux contrats d'armement. Affaire Karachi : "aucun lien" entre l'arrêt des commissions et l'attentat.

Karachi: Les raisons du silence de Villepin. Affaire Karachi: publiez les débats du Conseil Constitutionnel ! Flickr - Erasoft24 - cc Du même auteur La démocratie française a été bafouée. Honte et indignation. Mais rétrospectives. Pas de quoi fouetter un chat ! C'est si ancien, cela date du mois d'octobre 1995. En 1995, en France, on était où, dans quoi ? Ce qui s'est passé n'est pas rien. KarachiGate Clash : Cazeneuve (PS) Vs Fromion (UMP) chez Paul Amar - FullHdReady sur LePost.fr. Salut les Terriens ! Karachi Gate I. Front de Libération de la Parole d’Alain Juppé Des citoyens de tous horizons politiques soutiennent Alain Juppé dans son combat contre la Grande Muette et mettront en oeuvre tous les moyens, dans le respect de la non violence, afin de permettre au « meilleur d’entre nous » , de conserver sa « liberté de parole ».

Lorsqu’il a été empêché d’être maire de Bordeaux par des juges, empêché d’être député par les électeurs de la 2ème circonscription de la Gironde et empêché d’être ministre de l’environnement par son échec aux législatives et par François Fillon, il a toujours su conserver sa liberté de parole. En 2008, celui qui est aujourd’hui ministre de la défense déclarait, à propos du retour annoncé de la France dans le commandement intégré de l’OTAN : « Je me demande si l’on est pas en train de faire un marché de dupes en rentrant sans condition ». En mars 2009 : « Quel intérêt de sauter le pas ?

Soutenez le, adhérez au Front de Libération de la Parole d’Alain Juppé. Karachi Gate II. Karachi : Donnedieu de Vabres mis en cause. Karachi : "Sarkozy est forcément impliqué" 10 questions sur l'affaire Karachi. Un attentat terroriste, deux enquêtes judiciaires, deux Présidents et deux Premiers ministres cités, des intermédiaires et des structures financières opaques... L’affaire Karachi est devenue une affaire d’Etat au fil de quinze ans de non-dits. Pour mieux la comprendre, Slate répond à dix grandes questions du dossier. Si, après la lecture de cet article, vous avez encore des interrogations sur l’état actuel de l’affaire, envoyez-les nous à infos[at]slate.fr et nous essayerons d’y répondre. publicité Sommaire: 1.

Le 21 septembre 1994, le ministre de la Défense d’Edouard Balladur, François Léotard, et son homologue pakistanais signent un contrat pour la vente de trois sous-marins de type Agosta 90-B à propulsion classique pour la somme de 5,41 milliards de francs (826 millions d'euros). Les gouvernements français et pakistanais ne sont pas seuls dans la transaction. Retour au sommaire 2. 3. 4. Un nouveau juge antiterroriste, Marc Trévidic, reprend après lui le dossier Karachi. 5. 7. 8. 9. Les 2 affaires Karachi. Cafouillage pour des Mirage, actualité Politique : Le Point. Karachi : révélations sur l’homme clé des commissions. Les ramifications suisses de l’affaire Karachi. L'émouvant témoignage d'une fille de victime. Comment avez-vous vécu les jours, les semaines et les années qui ont suivi le décès de votre père dans l’attentat de Karachi ? - Dans les jours qui ont suivi l’attentat, nous étions dans un premier temps abasourdies et complètement désemparées.

Tout le “scénario” mis en place autour du drame ajoutait une dimension surréaliste à notre douleur. Je me souviens m’être dit qu’il devait y avoir une erreur, que ce ne pouvait être lui, qu’il reviendrait forcément. Cet espoir totalement irrationnel nous a longtemps poursuivis ; sans doute, le fait de ne pas avoir pu voir les dépouilles de nos proches a entretenu cette sensation. L’idée d’écrire un livre vous est venue à quelle époque, et quelles en sont les raisons fondamentales ? - Je pense que Sandrine et moi-même avions à la fois l’envie et le besoin de raconter notre histoire, nous avons donc attendu de “ressentir” les choses, d’être intimement persuadées que le moment était venu. Comment envisagez-vous l’avenir du dossier ? Karachi: «On ne saura jamais» [revue de presse] - [81] - [jeudi 25 novembre 2010] Autre article : Le Monde.fr "...Contrairement à ce que croyaient nombre de gens sur ces bases, reprises dans certains articles de presse, Nicolas Sarkozy n'a jamais été officiellement ni directeur ni trésorier de la campagne d'Edouard Balladur.

Son titre officiel, qu'on retrouve dans les archives de la presse de l'époque, dont Le Monde, était bel et bien celui de porte-parole (voir par exemple cet article des Echos du 28 mars 1995). Le directeur de la campagne d'Edouard Balladur était Nicolas Bazire, son autre homme de confiance, qui gérait son cabinet à Matignon, finalement préféré à Nicolas Sarkozy. Quant au trésorier de la campagne, il s'est exprimé sur le site Mediapart : il s'agit de René Galy-Dejean, longtemps député et maire du 15ème arrondissement à Paris. Nicolas Sarkozy était-il pour autant privé de toute influence, comme il a tenté de l'expliquer aux journalistes, vendredi 19 novembre ? France Inter Ecoutez le témoignage de Mustapha Laraich. (4’15) LePost.fr 24/11/2010 M. Affaire Karachi. DCN aurait été alertée du risque d'attentat - France.

Karachi : un député prêt à remettre à la justice les PV de la mission parlementaire. VGE sur Karachi: " Il existe une liste de rétrocommissions" - pierre-alain sur LePost.fr. Karachigate : le vieux fusil a un coup. Soutenez moi un peu (oups) [dons] Voila un appel à don, j’en fait régulièrement. Vu que je ne re-trouve pas de travail, que les promesses de contrat des uns sont du vent et ne parlons pas des arnaques sur projets.. Et oui voila.. Ce n’est pas lié à l’actualité judiciaire du moment avec la plainte pour injure publique par M.Le Pen, même si celle-ci peut éventuellement me créer un peu quelques soucis.

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La mission parlementaire avait achevé ses travaux en mai 2010. Après avoir demandé plusieurs fois la réouverture de cette mission, le chef de file des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault, a écrit lundi à Bernard Accoyer pour solliciter l’ouverture d’une nouvelle mission d’information au vu de «nouveaux éléments». Autres articles : Mediapart, Fabrice Arfi, Fabrice Lhomme Liberation, David Dufresne "Libération publie l'enregistrement sonore intégral du point presse off du président où, pour dénoncer la supposée absurdité des soupçons qui le frappent, il a évoqué la pédophilie imaginaire d'un journaliste. Rue 89, Pascal Riché Lait d'beu Autre article : A l'etranger : Affaire Karachi: publiez les débats du Conseil Constitutionnel ! Karachi : En 1995, Sarkozy, influent porte-parole de Balladur.

Karachigate, le Luxembourg va-t-il nous déclarer la guerre ? Militaires du Luxembourg "Je ne suis pas du tout agressif, d'abord je ne vous en veux pas, non, mais attend, vous me trouvez fâché. D'abord le pauvre, il est pas pédophile. Non, je ne le pense pas (rires), mais… C'est pas un fait. En plus je le connais, je l'apprécie, j'ai aucun contentieux.

Il me dit : "Il semble que vous ayez donné votre autorisation à la constitution de deux sociétés luxembourgeoises. " Cet extrait de la transcription du verbatim "off" de Sarkozy est très révélateur. Il y a des documents citant Nicolas Sarkozy, ce sont les rapports de la police du Luxembourg de janvier 2010. Voici le premier : Il est précisé "Nicolas Sarkozy donne également sont accord depuis le Ministère des Finances. " Pour ce qui concerne la question du montage financier, les conclusions de la police du Luxembourg sont aussi explicites (Verbatim : "Alors on me dit : il y a eu des commissions. Une bonne guerre contre le Luxembourg serait un bon moyen d'oublier cette affaire du Karachigate. Karachi: Sarkozy en première ligne. Et les comptes de campagne d'Edouard Balladur furent validés... Karachi : 8 millions pour l’intermédiaire occulte. Contrats de Karachi : où est passé l'argent ?