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Juridique environnement

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Loi littoral

OMI: Conventions. ​IntroductionThe industrial revolution of the eighteenth and nineteenth centuries and the upsurge in international commerce which followed resulted in the adoption of a number of international treaties related to shipping, including safety.

OMI: Conventions

The subjects covered included tonnage measurement, the prevention of collisions, signalling and others. By the end of the nineteenth century suggestions had even been made for the creation of a permanent international maritime body to deal with these and future measures. The plan was not put into effect, but international co-operation continued in the twentieth century, with the adoption of still more internationally-developed treaties.

(more) IMO was made responsible for ensuring that the majority of these conventions were kept up to date. Adopting a conventionThis is the part of the process with which IMO as an Organization is most closely involved. Accepting a convention does not merely involve the deposit of a formal instrument. TIDM: Textes de base. LittorDoc2. Le Domaine Public Maritime (DPM) Dès 1681, une ordonnance de Colbert définit le Domaine public maritime (ci-après DPM) comme "tout ce que la mer couvre et découvre et jusqu'où le grand flot de mars peut étendre sur les grèves" et déclare que ces espaces ne peuvent faire l'objet d'une appropriation privée.

LittorDoc2

Il concerne tout ce qui est (ou a été) couvert par la mer calme pendant les plus hautes marées possibles (coefficient 120). Il est par définition inaliénable et imprescriptible (l'État n'a pas le droit de le vendre, ni de le céder, ni de le laisser usurper) et il n'a cessé de l'être que pendant une courte période de la Révolution Française. De nos jours, sur les littoraux métropolitains, on entend par DPM : Cette ordonnance fonde encore aujourd'hui la protection du domaine public maritime naturel depuis l'arrêt Kreitmann (12 novembre 1973).

Une singularité des littoraux des départements d'outre-mer : la réserve domaniale des cinquante pas géométriques Réalisation : Judith Klein. Energies renouvelables : attention aux mauvaises surprises en cas de démarchage à domicile ! / Protection économique des consommateurs / Protection des populations, ... / Les actions de l'Etat / Accueil - Portail de l'Etat dans le Val de Marne. Que vous vouliez faire un geste pour la planète, économiser sur votre facture énergétique voire même gagner de l’argent en revendant votre propre énergie à EDF, les solutions ne manquent pas !

Energies renouvelables : attention aux mauvaises surprises en cas de démarchage à domicile ! / Protection économique des consommateurs / Protection des populations, ... / Les actions de l'Etat / Accueil - Portail de l'Etat dans le Val de Marne

Ainsi, en fonction de votre besoin initial et surtout de votre budget, vous pourrez aussi bien faire l’acquisition, pour quelques centaines d’euros, d’un chauffe-eau solaire individuel, qu’investir dans une pompe à chaleur alimentée par un capteur photovoltaïque, autrement appelée « panneaux solaires ». Environnement urbanisme. ÉCOCIDE. Revue Juridique de l'Environnement. Centre International de Droit Comparé de l'Environnement - C.I.D.C.E. « L'Etat ne doit pas confisquer le préjudice écologique ! »2013. La récente proposition de loi adoptée par le Sénat le 16 mai dernier visant à inscrire la notion de « dommages causés à l’environnement » dans le Code civil devrait réjouir tous les défenseurs de l’environnement.

« L'Etat ne doit pas confisquer le préjudice écologique ! »2013

Il devrait s’agir d’une forme de consécration destinée à assurer la pérennité d’une notion qui avait été dégagée par la jurisprudence. Malheureusement, il s’agit en réalité d’une régression sous forme de confiscation au profit de l’Etat de la réparation d’un préjudice qui doit appartenir à tout le monde et non à une seule personne morale de droit public, la plus éminente certes, mais sans doute celle aussi qui est la première à en légaliser les atteintes. Expliquons-nous brièvement sur ce dernier point. L’Etat est entrepreneur, transporteur, principal promoteur des centrales nucléaires ou des OGM, amoureux hésitant des gaz de schiste. Serait-il le mieux placé, dans ces conditions, pour assurer une réparation.

A quoi sert ce texte ? Tel n’est pas le cas. L’émergence des services environnementaux dans le droit international de l’environnement : une terminologie confuse. Antona, M. et M. Bonin, 2010, Généalogie scientifique et mise en politique des SE (services écosystémiques et services environnementaux). Document de travail n° 2010-1, Programme Serena. Aznar, O., E. Valette, et al., 2010, Emergence de la notion de services environnemental en France , Programme SERENA, Document de travail n° 2010-02. Ballar, G., 2007, The payement for environmental services in Costa Rica, Revista de ciencas juridicas, n° 114, p. 13-30. Beurier, J-P. et A. Bonnal, P., 2010, La brève incursion de la multifonctionnalité dans le champ politique , Programme SERENA, Document de travail, n° 2010-07. Bonnin, M. , A. Bonnin, M. et E. Costanza, R., R. Rapport général sur l’influence des conventions internationales sur le droit interne de l’environnement - AHJUCAF - Cours judiciaires suprêmes francophones.

Monsieur Michel PRIEUR Professeur émérite à l’Université de Limoges, président du Centre International de Droit comparé de l’environnement, vice-président de la Commission de droit de l’environnement à l’Union mondiale de la Nature.

Rapport général sur l’influence des conventions internationales sur le droit interne de l’environnement - AHJUCAF - Cours judiciaires suprêmes francophones

L’application du droit international de l’environnement : le défi du XXIème siècle ! Ce dossier présente une réflexion sur certaines conditions d'application et d'effectivité du droit international de l'environnement.

L’application du droit international de l’environnement : le défi du XXIème siècle !

Cette amorce d’analyse a été menée par Mounir EL AJJOURI, juriste et doctorant en droit international de l'environnement . La sauvegarde de l’environnement peut être entendue dans une perspective la dépassant, en considérant l’adaptation du droit aux évolutions politiques, économiques et sociales. Alors, que vous soyez acteur dans les démarches de management environnemental pour votre entreprise ou simple citoyen curieux d’appréhender les mécanismes juridiques internationaux relatifs à l'environnement, vous trouverez ici une base de réflexion sur les enjeux et les difficultés d'une application concrète... Du Grenelle à la Conférence environnementale : à la recherche d'un nouveau souffle. 1.

Du Grenelle à la Conférence environnementale : à la recherche d'un nouveau souffle

Le décret relatif à la RSE : un cas d'école en matière de non respect des objectifs initiaux de la loi par le décret d'application La Commission européenne a annoncé dans une communication du 25 octobre 2011 la nouvelle stratégie de l'Union Européenne en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSE). La RSE y est définie comme « la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu'elles exercent sur la société ». Pour s'acquitter de cette responsabilité, la Commission indique que les entreprises doivent engager « en collaboration étroite avec leurs parties prenantes, un processus destiné à intégrer les préoccupations en matière sociale, environnementale, éthique, de droits de l'homme et de consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base ». Cette définition correspond à la vision de la RSE défendue par la France depuis la loi Nouvelles Régulations Économiques (NRE) du 15 mai 2001.

C) Le décret du 24 avril 2012 2. 3. La possibilité de transaction pénale élargie à l'ensemble des infractions environnementales. Auparavant réservée au droit de l'eau et au droit forestier, la transaction pénale peut désormais être mise en œuvre pour tous les délits et contraventions de 5e classe environnementaux.

La possibilité de transaction pénale élargie à l'ensemble des infractions environnementales

La transaction pénale, procédure alternative aux poursuites, a été élargie à l'ensemble des infractions environnementales par un décret du 24 mars 2014 pris en application de l'ordonnance du 11 janvier 2012. Cette procédure permet à une autorité administrative "de transiger avec les personnes physiques et les personnes morales sur la poursuite des infractions qu'elles ont pu commettre".