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Jon Kalman Stefansson

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Jón Kalman Stefánsson : Biographie et Bibliographie - Wikipedia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jón Kalman Stefánsson : Biographie et Bibliographie - Wikipedia

Jón Kalman Stefánsson Jón Kalman Stefánsson (né le 17 décembre 1963 à Reykjavik) est un auteur islandais. Il grandit à Reykjavík et à Keflavík. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir fini ses études au collège en 1982, il travailla en Islande de l'ouest (par exemple dans les secteurs de la pêche et de la maçonnerie). Œuvres[modifier | modifier le code] Il a publié neuf romans jusqu'à aujourd'hui : Recueils publiés en Islande[modifier | modifier le code] Sumarið bakvið Brekkuna (1997, L'Été derrière la montagne)Birtan á fjöllunum (1999, La Lumière sur les montagnes)Ýmislegt um risafurur og tímann (2001, Diverses choses à propos des séquoias et du temps)Snarkið í stjörnunum (2003, Le Crépitement des étoiles) Œuvres publiées en français[modifier | modifier le code] Entre ciel et terre, La tristesse des anges et Le cœur des hommes constituent une trilogie d'une force et d'un réalisme poignants. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Jón Kalman Stefánsson : Biographie ; 19 vidéos et Interview ; 6 Livres ( Résumés et Critiques) Comédie du Livre 2014 - Grand entretien littéraire avec Jón Kalman Stefánsson. Ásta – Jón Kalman Stefánsson – Moka – Au milieu des livres. C’était une douleur.

Ásta – Jón Kalman Stefánsson – Moka – Au milieu des livres

Ce ne cessera jamais d’être douloureux. Nous devons continuer à vivre en veillant à pratiquer des brèches dans le silence. Moi j’ai tout rangé. Voilà, j’ai tout. Tout. Helga et Sigvaldi s’aiment avec la passion des jeunes premiers. Et qu’il est délicieux d’avoir hâte de vivre! Enfance, adolescence, départs, secrets, fuites, expériences et désillusions. Nous ne nous sommes toutefois pas dit adieu. Ásta est le roman d’une famille islandaise qui se regarderait dans un miroir brisé tant la narration y est éclatée. Des baisers autrement plus grandioses et brûlants t’attendent là-bas. La lecture de ce roman est d’une densité folle et l’on saura lui pardonner quelques redondances ou longueurs. C’est une première entre Jón Kalman Stefánsson et moi (même si Jérôme m’a souvent encouragée à lire sa trilogie islandaise) et autant dire que cette plume fait une entrée plus que remarquée dans ma rentrée littéraire. Comment te fuir autrement qu’en sombrant […]?

23€ / 496 pages. Jon Kalman Stefansson: «Dans l’écriture, l’inattendu survient chaque jour» Cela frappe d’emblée: Jon Kalman Stefansson exprime les vérités les plus abstraites avec une simplicité désarmante.

Jon Kalman Stefansson: «Dans l’écriture, l’inattendu survient chaque jour»

On savait déjà que cet art de la formule était au cœur de ses fictions où, égrenées dans les pages de ses romans, elles éclatent comme des évidences, explicitent ici une scène, éclairent là un trait de caractère. Force est de constater que la conversation de l’écrivain islandais est, en cela, très proche de sa prose. La discussion est à peine entamée que déjà la frontière entre la langue de l’homme et celle de ses livres se brouille. Un exemple? «Personne n’organise sa pensée de manière linéaire. Ni linéarité ni même rationalité dans l’univers sensuel de Stefansson. Richesse des sentiments L’écrivain, né à Reykjavik en 1963, a ainsi pris le parti de raconter la grande histoire des affects en s’armant de ses simples mots.

Sans titre. C’est un écrivain islandais qui dans sa dernière saga «D’ailleurs les poissons n’ont pas de pieds» et «À la mesure de l'univers» (Ed.

sans titre

Gallimard) nous fait découvrir un pays à mille lieux du cliché qu’on en véhicule. Comme si l’industrie du tourisme n’en faisait briller qu’une facette : sa chanteuse Björk, ses nuits blanches, ses volcans, ses petits chevaux à longues mèches, son équipe de foot tatouée, ses loisirs high tech et sa démocratie paritaire. Jón Kalman Stefansson, 53 ans, nous raconte l’histoire de cette île très isolée, au climat hostile, longtemps rongée par la misère. Dans ses deux romans, l’auteur fouille avec réalisme le quotidien des familles islandaises entre 1940 et 2010. Dans un pays plongé neuf mois de l’année dans la nuit glaciale et la neige dense, les hommes partent pêcher des semaines entières.

Interview à l’occasion d’un de ses passages à Paris. En vous lisant, on pourrait croire que vous habitez dans la tête d’une femme !