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Janv-Feb-March 2o13

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Cannabidiol Oil. Cannabis: le Canada, bastion du prohibitionnisme. Midi pile dans le centre-ville de Montréal. Le quartier regorge d’employés, touristes et étudiants cherchant de quoi remplir leur pause déjeuner. Un imposant 4x4 enjambe le trottoir. S'immobilise. La vitre descend sur un visage presque poupin aux yeux encore collés de sommeil. On songe à un jeune prodige du football américain ou à un lycéen nanti qui se rendrait en cours à contrecœur, et avec la voiture de papa. Mais non, Simon[1] commence sa journée, et il n’est pas levé depuis si longtemps, voilà tout. publicité «Bonjour.

A peine le temps de boucler sa ceinture que le véhicule se mêle à l'épaisse circulation de la mi-journée, direction Place des Arts, à deux pas de là, dans l’hyper-centre montréalais. La suite ressemble à un rituel parfaitement huilé: apercevant le 4x4, le client s’approche et prend place sur le siège passager. Deux minutes plus tard et trois coins de rue plus loin. «Pizzas» Simon a 22 ans. La plupart du temps, la livraison est assurée en moins de 45 minutes. Laxisme? Yes We Cannabis: The Legalization Movement Plots Its Next 4 Years - Matt Taylor. In November, two states decisively legalized marijuana. Campaigners think the U.S. is ready to follow them, and they're planning how to change laws in the rest of the country.

Nick Adams/Reuters Last November, with voters in Colorado and Washington state leading the way, ballot initiatives legalizing, taxing, and regulating recreational marijuana use passed for the first time ever. In Colorado, legalization actually outperformed President Obama. An Oregon effort would almost certainly have prevailed, too, if proponents there hadn't overreached with toxic legislative language that scared off donors and earned ridicule from local media. Now marijuana reform is popping up in state legislatures across the country. Once the pet project of a few fringe figures, it has attracted a new generation of politicians from both parties with credible national aspirations. But for the first time in decades, legalization advocates see a light at the end of the tunnel again. Montel Williams: We Need Medical Marijuana Now. Entre quinze et vingt Cannabis social clubs déclarés aux préfectures. PARIS (AFP) - Entre 15 et 20 Cannabis social clubs (CSC), groupements de personnes qui cultivent du cannabis et se partagent leur production sans en faire commerce, se sont officiellement déclarés lundi dans plusieurs préfectures, a annoncé mardi le porte-parole du mouvement.

Ces Cannabis social clubs, qui prônent la dépénalisation du cannabis et l'autoproduction, ont été déclarés comme des associations à but non lucratif (loi 1901) par leurs membres, afin de tenter de faire reconnaître légalement leur activité. "Nous n'avons pas encore eu toutes les remontées, mais entre 15 et 20 Cannabis social clubs ont été déclarés en préfectures", a déclaré Dominique Broc à l'AFP, notamment en Loire-Atlantique, Vendée, Creuse, Charente-Maritime, Indre-et-Loire ou en Haute-Vienne.

D'autres devraient suivre dans les jours qui viennent, a-t-il assuré, estimant que plus de 400 Cannabis social clubs existent de fait en France. Les Cannabis social clubs sont légalement reconnus en Espagne et en Belgique. La ruée sur l’or vert | Dans le laboratoire des Rocheuses. Passé la porte blindée, c’est un univers parallèle. Les plants de marijuana vous arrivent à l’épaule. Les lampes au sodium à haute pression qui remplacent le soleil douze heures par jour donnent à l’endroit un halo irréel (le reste du temps, la plante a le droit de se reposer).

Les fleurs sont énormes, soignées, pulpeuses. "Une photo" ? Propose Andy Williams, le propriétaire des lieux, pas mécontent de l’effet. Photo, assurément, quoiqu’on ne sache pas de quoi il faut s’étonner le plus : poser au milieu d’une plantation de drogue ou être entouré de l’équivalent de 100 000 dollars dans des pots de fleurs.

Andy Williams, 44 ans, n’a rien d’un dealer. Andy Williams ne fume toujours pas – "ça ne me réussit pas", s’excuse-t-il – mais il s‘y connaît côté business. Cinquante caméras balaient les locaux de Medicine Man. "Le régime de lutte contre la drogue est une création américaine" A moins que Washington ne s’en mêle. Mais le gouvernement fédéral va être forcé de se prononcer. Cannabis : un myopathe se voit refuser le droit de fumer. Dominique Loumachi avait demandé à la justice l'autorisation de consommer du cannabis pour soulager les souffrances engendrées par sa myopathie. Mais le tribunal correctionnel de Belfort a rejeté sa demande, et l'a même condamné pour "usage et détention" de cannabis.

La peine de 300€ d'amende avec sursis est assortie de cinq ans de mise à l'épreuve, conformément aux réquisitions du parquet. Car le malade ne se contentait pas de consommer. La police avait saisi quelques plants de cannabis que l'homme de 40 ans cultivait chez sa sœur, à Belfort, pour sa consommation personnelle. L’article 122-7 du code pénal permet d’enfreindre la loi, en cas de nécessité.

L'usage thérapeutique du cannabis médical est un thème de débat récurrent en France. Lu sur Le Parisien.fr.