background preloader

RESEAUX SOCIAUX

Facebook Twitter

Réseaux sociaux : collectivités, mieux vaut en être l'initiateur ! « Aujourd’hui, toutes les collectivités ont intérêt à avoir un compte Facebook », estime Franck Confino, expert en réseaux sociaux et en communication des collectivités locales. Voilà qui est dit ! Pourtant, on a toujours mille et une bonnes raisons pour ne pas franchir le cap ! Aux collectivités qui pensent que le débat va dégénérer, que c’est un effet de mode, que c’est chronophage, que cela ne concerne pas toute la population, qui craignent de ne pas avoir la maîtrise de leur e-reputation etc. écoutez plutôt ce conseil de Franck Confino : « Si vous ne vous lancez pas dans les réseaux sociaux, ils vous rattraperont d’une façon ou d’une autre.

Donc mieux vaut en être l’initiateur ! » 1 collectivité sur 2 sur les réseaux – Sachant que seule 1 collectivité sur 2 a intégré les médias sociaux dans sa stratégie de communication internet, il y a du pain sur la toile. Le community manager – Une fois établie, la stratégie va certainement prévoir de recruter le fameux « community manager ». Planète-Attitude - Le 1er réseau social nature et environnement francophone. Vers un fichier de reconnaissance faciale pour identifier les suspects. Le délicat équilibre entre la sécurité pour tous et la liberté de chacun va une nouvelle fois être mis à rude épreuve.

Alors que le nombre de fichiers policiers a d'ores et déjà augmenté de 169 % depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère de l'intérieur, en 2002, la Place Beauvau a un nouveau projet dans les cartons. Il s'agira d'un fichier de reconnaissance faciale relié aux caméras de police. Le programme est, selon Le Figaro, "déjà en préparation" et "devrait émerger dans quelques mois".

Prévue pour fonctionner avec les caméras de vidéosurveillance, cette base de données vient compléter un dispositif biométrique composé de deux fichiers de prélèvement : le fichier automatisé des empreintes digitales (FAED), créé en 1987, et le fichier national d'analyse des empreintes génétiques (FNAEG), mis en place en 1998. Ce troisième fichier constituera un stock national de photographies qui sera exploité lors des enquêtes menées par la police judiciaire. La France prétend défendre les libertés sur Internet, mais... Google+ veut interdire les pseudonymes. Bonnes pratiques des points d'accès Wi-Fi et Smartphones | Actu du 29/07.

Géolocalisation et collecte d'informations issues des points d'accès Wi-Fi : le pas en avant de Microsoft. Facebook et Blackberry tout contre les émeutiers. Déterminé à punir tous les casseurs du Royaume-Uni, le gouvernement britannique pourrait profiter de l'aubaine pour imposer des mesures particulièrement coercitives vis-à-vis des télécommunications.

Mardi 16 août, deux jeunes Anglais de 20 et 22 ans ont été condamnés à quatre ans de prison. Leur crime ? Avoir appelé à l’émeute sur Facebook en créant des événements dédiés – comme d’autres l’ont fait avant eux en Tunisie ou en Libye (à la grande satisfaction des dirigeants britanniques). Coincés par une police locale qui a renforcé sa présence sur le site de Mark Zuckerberg, les deux proto-coupables (ils ont été condamnés sur la base de leurs intentions) peuvent compter sur le soutien de plusieurs ONG et avocats, qui dénoncent des “sanctions disproportionnées”. En France, il y a quelques mois, les magistrats se renvoyaient la balle pour déterminer la responsabilité pénale des fameux apéros Facebook. Le Royaume-Uni, lui, a tranché. Cameron veut couper les réseaux sociaux. Vie privée : la justice espagnole marque un point contre Google. Le marquage des photos sur Facebook déclenche une polémique.

Facebook révise ses paramètres sur la vie privée. L'Allemagne prend la tête à Facebook. Le commissaire de l’Autorité chargée de veiller au respect des libertés informatiques du land de Hambourg a vivement critiqué la fonction de reconnaissance faciale de Facebook. Dans un communiqué publié le 2 août, Johannes Caspar reproche au réseau social aux 750 millions d'inscrits de ne pas respecter la législation allemande et européenne.

En cause : la collecte de données biométriques sur ses utilisateurs sans demander leur consentement explicite au préalable, qui ne respecterait pas le droit à la vie privée. Mis à disposition sur le marché américain en décembre dernier, la reconnaissance faciale est déployée en Allemagne depuis le mois de juin. Grâce à la technologie biométrique, elle permet de reconnaître automatiquement le visage des membres de Facebook. Les noms de ces derniers sont ensuite suggérés pour identifier les nouvelles photos chargées sur le réseau social. Cette querelle n'est pas la première entre Facebook et le land de Hambourg. Lire les réactions à cet article. Facebook viole la loi sur la vie privée, selon la CNIL allemande.

Le bouton « j’aime » de Facebook bientôt interdit dans l’Union Européenne ? Les lois relatives à la vie privée des individus sont très strictes en Allemagne. A tel point qu'un Etat fédéral allemand interdit désormais le bouton "j'aime" de Facebook. Les sites qui ne retireront pas rapidement ces boutons risquent une amende de 50,000 euros. Mais ce sont aussi les lois européennes que Facebook violerait. C'est l'Etat du Schleswig-Holstein dans le nord de l'Allemagne qui pointe du doigt l'utilisation qui serait faite des "j'aime" par Facebook. Les informations collectées sont envoyées aux Etats-Unis où Facebook les utilise pour créer un profil de chaque individu en fonction des "j'aime" qu'il a effectués. Cet Etat allemand a ainsi ordonné à tous les administrateurs de sites gouvernementaux de retirer les boutons "J'aime" et de fermer les pages "fans" sur Facebook.

L'Etat fédéral va même plus loin en précisant que Facebook viole non seulement les lois allemandes mais aussi les lois européennes relatives à la vie privée. [abc12] La reconnaissance faciale sur le réseau social facebook se heurte au d. La question de la reconnaissance faciale proposée sur le réseau social Facebook a déjà fait couler beaucoup d'encre des deux côtés de l'océan atlantique, mais elle revient ces jours sur le devant de la scène pour des raisons différentes. Depuis fin 2010, le réseau social Facebook propose une fonction de reconnaissance faciale. L’utilisateur se voit ainsi proposer de marquer (tag) ses amis qui figurent dans les photos qu’il a téléchargé. Les photos avec des visages similaires sont regroupées et les noms des amis qui auraient été marqués précédemment sont suggérés.

La reconnaissance faciale est plutôt efficace et permet à Facebook d’augmenter très rapidement le nombre de personnes identifiées. Le principal reproche qui est fait à Facebook est que cette fonction a été ajouté de manière assez discrète et surtout par défaut (modèle opt-out). A noter que les logiciels de photo Picasa (Google) et iPhoto (Apple) offrent des fonctions similaires de reconnaissance. En Europe Aux USA. Google Plus, la dictature des vrais noms. En obligeant les membres de son réseau social à utiliser leurs vrais noms, Google a commis une grave erreur, analysée ici par danah boyd. Les liens de cet article sont en anglais. Tout le monde parle des“nymwars” [(contraction des termes anglais Anonym et Wars (guerres)], suite à la décision de Google Plus d’appliquer sa politique qui n’autorise que les comptes utilisant le “vrai nom” de leurs utilisateurs. Au départ, Google Plus a été pris d’une frénésie de suppression, éliminant les comptes qui enfreignaient la règle.

Quand la communauté a fait part de son indignation, les dirigeants de Google Plus ont essayé d’apaiser leur colère en détaillant leur “nouveau” mécanisme “amélioré” pour appliquer la règle des “vrais noms” (en évitant de supprimer des comptes). Cela n’a fait qu’intensifier la discussion autour de la valeur du pseudonymat. Des dizaines d’articles de blogs défendant le pseudonymat sont apparus, chacun détaillant ses arguments. Vous noterez qu’une thématique se dégage… L'anonymat en ligne doit disparaître, selon une responsable Facebook. Les pseudonymes finiront-ils par disparaître, remplacés par l'identité réelle des internautes ? Avec l'émergence des réseaux sociaux, en particulier Facebook, le patronyme est de plus en plus visible sur la toile. Forcément très utilisé sur la plate-forme conçue par Mark Zuckerberg, le couple nom/prénom se fait aussi de plus en plus présent ailleurs.

Et pour cause, un nombre croissant de sites et de services intègre des modules de discussion issus de Facebook. Facebook, fort de ses 750 millions de membres, cherche-t-il à tuer le pseudonyme ? Officiellement, non. Mais au sein du réseau social, certains sont favorables à une disparition de l'anonymat sur Internet. L'anonymat doit disparaître Pour la jeune femme de 29 ans, le constat est aussi simple qu'évident. "Je pense que l'anonymat sur Internet doit disparaître. Des commentaires avec la véritable identité Les propos de Randi Zuckerberg ne sont en réalité pas surprenants. Eric Schmidt de Google a le même avis Le cas Google + Le gouvernement interpellé sur son rôle dans la surveillance du net en Libye. Culturopoing sur réseaux sociaux et 2.0.