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Métaphysique (Aristote) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Métaphysique est un ensemble de quatorze livres écrits par Aristote réunis uniquement après sa mort. Le titre Métaphysique n'est pas d'Aristote lui-même, mais a été donné par le bibliothécaire Andronicos de Rhodes, qui a rassemblé et organisé les livres.

Les traités qui forment la Métaphysique semblent avoir été publiés du vivant d'Aristote [1] Néanmoins, cette hypothèse est contredite par Asclépios de Tralles : Le présent ouvrage n'a pas l'unité des autres écrits d'Aristote, et manque d'ordre et d'enchaînement. Il laisse à désirer sous le rapport de la continuité du discours ; on y trouve des passages empruntés à des traités sur d'autres matières ; souvent la même chose y est redite plusieurs fois. Le texte ne fut donc publié qu'après la mort d'Eudème, et il est vraisemblable que ce dernier l'avait corrigé, peut-être avec l'aide de ses condisciples selon Alexandre d'Aphrodisie[2].

Les pythagoriciens se consacrèrent aux mathématiques. 1. ARISTOTE : de l'âme. Métaphysique (Aristote) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Métaphysique est un ensemble de quatorze livres écrits par Aristote réunis uniquement après sa mort. Le titre Métaphysique n'est pas d'Aristote lui-même, mais a été donné par le bibliothécaire Andronicos de Rhodes, qui a rassemblé et organisé les livres. Les traités qui forment la Métaphysique semblent avoir été publiés du vivant d'Aristote [1] Néanmoins, cette hypothèse est contredite par Asclépios de Tralles : Le présent ouvrage n'a pas l'unité des autres écrits d'Aristote, et manque d'ordre et d'enchaînement.

Il laisse à désirer sous le rapport de la continuité du discours ; on y trouve des passages empruntés à des traités sur d'autres matières ; souvent la même chose y est redite plusieurs fois. Le texte ne fut donc publié qu'après la mort d'Eudème, et il est vraisemblable que ce dernier l'avait corrigé, peut-être avec l'aide de ses condisciples selon Alexandre d'Aphrodisie[2]. Les pythagoriciens se consacrèrent aux mathématiques. 1. Consister. Heinrich von Kleist : Sur le théâtre de marionnettes - Michel Balat - Psychanalyse - Sémiotique - Eveil de coma. Heinrich von Kleist : Sur le théâtre de marionnettes Passant l’hiver de 1801 à M…, j’y rencontrai un soir, dans un jardin public, Monsieur C…, engagé depuis peu comme premier danseur à l’Opéra de la ville, ou il connaissait un vif succès auprès du public.

Je lui dis mon étonnement de l’avoir remarqué plusieurs fois déjà au théâtre de marionnettes dressé sur le marché pour divertir la foule par de petits drames burlesques entrecoupés de chants et de danses. Il m’assura que la pantomime de ces poupées lui donnait beaucoup de plaisir et déclara sans ambages qu’un danseur désireux de perfection pourrait apprendre d’elles toutes sortes de choses. Comme le propos me semblait, dans le ton, plus qu’une simple boutade, je m’assis près de lui pour mieux connaître les raisons sur lesquelles il pouvait bien fonder une affirmation aussi étrange.

Il me demanda si je n’avais pas en effet trouvé certains mouvements des poupées, surtout des plus petites, très gracieux dans la danse. Je ne pus le nier. Radio Livre : H.V.Kleist "Sur le théâtre de marionnettes" Heinrich von Kleist. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Heinrich von Kleist Œuvres principales Signature Heinrich von Kleist, de son nom complet Bernd Heinrich Wilhelm von Kleist, (Francfort-sur-l'Oder le – Berlin, Wannsee, le ) est un écrivain allemand, poète, dramaturge et essayiste.

Biographie[modifier | modifier le code] En 1799, il démissionne de l'armée et s'inscrit à l'université de Francfort: il y étudie les mathématiques et les sciences naturelles. Lettre de suicide de Kleist. À l'automne suivant, ses amis lui obtiennent une place d'apprenti à l'administration des Domaines à Kœnigsberg, où il arrive en , revoit ses premières compositions et écrit Michael Kohlhaas, la Marquise d'O et Amphitryon d'après Molière[1]. En , il demande un rallongement de six mois de ses études. En , voulant se rendre à Dresde, il est à nouveau soupçonné d'espionnage par l'état-major français à Berlin, qui lui a refusé un laissez-passer.

La tombe de Kleist avec un vers tiré de sa pièce Le Prince de Hombourg.