background preloader

Ressources

Facebook Twitter

Jp Vernant - archives TSR. Ménon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu se poursuit dans un troisième temps, avec l'examen de la question posée initialement par Ménon, celle de l'enseignement de la vertu. Personnages[modifier | modifier le code] Résumé[modifier | modifier le code] Qu'est-ce que la vertu ? Ménon affirme qu'il « existe une multitude [de] vertus » et qu'on est donc « pas embarrassé pour définir la vertu » (72a) .

Il semble pourtant que quel que soit le cas, il faut que l'individu bon soit juste et tempérant. Objets de discours et representations. Menon. Gorgones. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Gorgones (en grec ancien Γοργόνες / Gorgónes ou Γοργοῖ / Gorgoĩ), au singulier Gorgone ou Gorgo (Γοργώ / Gorgố) sont, dans la mythologie grecque, des créatures fantastiques malfaisantes et d'une telle laideur que quiconque ose regarder leur visage meurt pétrifié. Les Gorgones dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Plus tard, Euripide ne mentionna qu'une Gorgone, un monstre conçu par Gaïa (la Terre) pour aider ses fils, les Géants, dans leur bataille contre les dieux, et qui fut tué par Athéna. Gorgone est l'une des trois sœurs qui ont gagné la guerre contre les cyclopes.

Eschyle écrit qu'elles n'avaient qu'un seul œil et une seule dent à elles trois, comme leurs sœurs Grées. Selon certaines versions du mythe[réf. nécessaire], du sang pris sur le côté droit d'une Gorgone pouvait ramener un mort à la vie, tandis que celui pris sur son côté gauche devenait un poison fatal et instantané. Éris. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Éris (en grec ancien Ἔρις / Éris) est la déesse de la Discorde. Mythe[modifier | modifier le code] Selon Hésiode, elle est fille de Nyx (la Nuit) et donne naissance seule, comme sa mère, à de nombreux enfants, tous méchants et malfaisants : Ponos (la Peine), Léthé (l'Oubli), Limos (la Faim), Phonoi et Makhai (les Meurtres et les Combats), Dysnomie et Até (l'Anarchie et le Désastre), Algea (les Douleurs), Hysminai (les Mêlées), Androktasiai (les Tueries), Neikea (les Querelles), Amphilogiai (les Disputes), Pseudoi Logoi (les Mots Menteurs) et Horkos (le Serment) qui veille sans cesse sur les serments qu'il sanctionne, comme il punit sans pitié le parjure volontaire.

Dans l'Iliade, elle est la sœur d'Arès, dieu de la Guerre ; elle l'accompagne dans ses combats et tient en main l'emblème de la guerre. Homère la décrit ainsi (IV, 440-443) : Postérité[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] La Dialectique éristique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] « La dialectique éristique est l'art de la controverse. » Cet art repose sur la distinction entre la vérité objective d'une proposition et l'apparence de vérité que cette proposition peut prendre aux yeux des disputeurs et des auditeurs. La finalité de cet art est de fournir des moyens pour parvenir à cette dernière apparence, afin de convaincre les auditeurs que l'on a raison, même si l'on a objectivement tort.

Causes et fonctions de la dialectique[modifier | modifier le code] Si les hommes étaient honnêtes, il n'y aurait pas de dialectique. La malhonnêteté ;la vanité ;le fait de parler avant de réfléchir ;l'obstination dans l'erreur. Une autre cause est que l'expérience enseigne que lorsque nos arguments en faveur d'une thèse sont réfutés, il pourra toujours se trouver un nouvel argument qui nous donnera finalement raison. Donc, en résumé, il s'agit : Place de la vérité[modifier | modifier le code] 1. 2. Elpis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Elpis. Dans la mythologie grecque, Elpis (en grec ancien ἐλπίς / elpís) est la personnification de l'espoir. Elle est dépeinte comme une jeune femme portant généralement des fleurs ou une corne d'abondance dans ses mains. Dans Les Travaux et les jours d'Hésiode, Pandore laisse s'échapper tous les maux de la jarre d'où ils étaient enfermés; seule Elpis reste seule au fond, Pandore ayant replacé le couvercle par la volonté de Zeus[1].

Pour d'autres encore, le fait qu'Elpis reste enfermée dans la jarre signifie que la condition humaine est sans espoir, désespérée. On a suggéré qu'« elpis » ne devait pas être traduit par « espoir », mais par « attente », au sens d'attendre ce qui va advenir. Dans La Cuisine et le sacrifice en pays grec[8], Jean-Pierre Vernant livre une riche et complexe interprétation de Elpis: de son point de vue, elle n'est ni bonne, ni mauvaise, mais ambiguë : Son équivalent romain est Spes. Hestia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie romaine, elle correspond à Vesta[1]. Ses attributs sont le feu, le foyer (familial comme civique) et l’âne[2]. Étymologie[modifier | modifier le code] Son nom ionien est Ἱστίη / Histíê et son nom dorien Ἱστία / Histía. Mythe[modifier | modifier le code] Hestia n'est pas mentionnée par Homère[5].

Culte[modifier | modifier le code] Le nom « hestia » désigne le foyer, tout particulièrement celui de la maison[17] ; Hestia en est la personnification. Hestia veille également sur le foyer domestique, centre symbolique de la maison. Dans le culte, Hestia est liée à Apollon : elle veille sur le foyer de Delphes, l'un de ses principaux sanctuaires[31] et à Délos, sa statue est assise sur l'omphalos. Lieux principaux de culte et sanctuaires[modifier | modifier le code] Iconographie[modifier | modifier le code] Hestia est rarement représentée dans l'art grec[21]. Sources complémentaires[modifier | modifier le code] Entre Hermès et Hestia. Héraclite. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Héraclite d'Éphèse Philosophe grec Antiquité Héraclite, huile sur toile d’Hendrick ter Brugghen, 1628, Rijksmuseum (Amsterdam) Héraclite d'Éphèse (en grec ancien Ἡράκλειτος ὁ Ἐφέσιος / Hêrákleitos ho Ephésios) est un philosophe grec de la fin du VIe siècle av.

J. Biographie[modifier | modifier le code] La naissance d’Héraclite serait contemporaine de la mort d’Anaximandre[1]. Héraclite est issu d’une famille illustre et sacerdotale. . « Les Éphésiens méritent que tous ceux qui ont âge d'homme meurent, que les enfants perdent leur patrie, eux qui ont chassé Hermodore, le meilleur d’entre-eux, en disant : « Que parmi nous il n'y en ait pas de meilleur ; s'il y en a un, qu'il aille vivre ailleurs. » (Fragment 121, Diogène Laërce, IX, 2) » Lui-même semble avoir été persécuté pour athéisme (mais cette assertion est tardive et on la trouve chez des auteurs chrétiens, Justin de Naplouse et Athénagoras d'Athènes). Méprisant et irritable : Misanthrope : Héraclite. Hésiode. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Pseudo-Sénèque » : longtemps considéré comme un buste du philosophe stoïcien, ce portrait pourrait représenter un poète archaïque, peut-être Hésiode.

Copie romaine d'un original hellénistique, British Museum Œuvres principales Hésiode (en grec ancien Ἡσίοδος / Hêsíodos, en latin Hesiodus) est un poète grec du VIIIe siècle av. J. -C. Biographie[modifier | modifier le code] Les faits[modifier | modifier le code] Ascra était un endroit pauvre. Pour amener son frère à la sagesse, à une saine vie et à une bonne gestion de ses biens, Hésiode composa à son intention le poème Les Travaux et les jours, ouvrage dont la partie didactique est axée autour de deux vérités morales : le travail est la grande loi de l’humanité ; celui qui travaille peut vivre décemment.

Parallèlement à ses activités agraires, Hésiode était un aède, c’est-à-dire un barde composant ses poèmes pour un auditoire. Il mourut à Ascra. Œuvre[modifier | modifier le code] Éditions Études. Théogonie (Hésiode) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Grand récit de la succession des générations divines », selon l'expression de Nicole Loraux[réf. nécessaire], le poème conte la naissance de « la race sacrée des Immortels toujours vivants » (v. 105). Il s’ouvre par une longue invocation aux Muses : Hésiode narre d’abord les circonstances de sa vocation : les Muses l’ont visité alors qu’il faisait paître ses troupeaux sur les pentes du mont Hélicon.

Elles lui ont remis un rameau de laurier, et lui ont ordonné de chanter l’histoire des dieux immortels. Ce découpage des épisodes de la Théogonie suit globalement celui adopté par Paul Mazon dans la Notice de la Théogonie, dans son édition des œuvres d'Hésiode, dans la Collection des universités de France. Les théogonies d’Homère et Hésiode comportent cependant de nombreuses différences. Sur les autres projets Wikimedia : Théogonie, sur Wikisource. La Théogonie. Commençons (1) par invoquer les Muses de l'Hélicon (2), les Muses qui, habitant cette grande et céleste montagne, dansent d'un pas léger autour de la noire fontaine et de l'autel du puissant fils de Saturne, et baignant leurs membres délicats dans les ondes du Permesse, de l'Hippocrène et du divin Olmius, forment sur la plus haute cime de l'Hélicon des chœurs admirables et gracieux.

"Vils pasteurs, opprobre des campagnes, vous qui ne vivez que pour l'intempérance, nous savons inventer beaucoup de mensonges semblables à la vérité ; mais nous savons aussi dire ce qui est vrai, quand tel est notre désir. " Ainsi parlèrent les éloquentes filles du grand Jupiter, et elles me remirent pour sceptre un rameau de vert laurier superbe à cueillir ; puis, m'inspirant un divin langage pour me faire chanter le passé et l'avenir, elles m'ordonnèrent de célébrer l'origine des bienheureux Immortels et de les choisir toujours elles-mêmes pour objet de mes premiers et de mes derniers chants (9).

Elle dit. Théogonie d'Hésiode. Théogonie - audio. Donneur de voix : Stéphane Gambier | Durée : 1h 03min | Genre : Mythologie La Théogonie, poème composé par Hésiode au VIIIe siècle avant J. -C., est une des sources principales de la mythologie grecque. Il raconte l’histoire de l’origine des dieux. Ici, le poète est l’envoyé des Muses, qui lui ont ordonné de chanter la gloire des habitants de l’Olympe : voilà pourquoi le récit s’ouvre par une longue invocation aux Muses. Traduction : Anne Bignan (1795-1861). > Écouter un extrait : Première partie. > Télécharger ce livre audio en intégralité (archive Zip, 42Mo) > Télécharger ce livre audio par chapitres : Partie 1.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… »)Partie 2.mp3Partie 3.mp3Partie 4.mp3Partie 5.mp3 > Consulter la version texte de ce livre audio.

La théogonie. Commençons (1) par invoquer les Muses de l'Hélicon (2), les Muses qui, habitant cette grande et céleste montagne, dansent d'un pas léger autour de la noire fontaine et de l'autel du puissant fils de Saturne, et baignant leurs membres délicats dans les ondes du Permesse, de l'Hippocrène et du divin Olmius, forment sur la plus haute cime de l'Hélicon des choeurs admirables et gracieux. . (1) Guiet a regardé comme supposés les cent quinze premiers vers de la Théogonie. Heyne pense que le début n'est qu'un assemblage de plusieurs exordes distincts composés par divers chantres. Il remarque une poésie différente depuis le cinquième vers jusqu'au onzième, du onzième au vingt-quatrième, et de celui-ci au trente-cinquième. Un autre rhapsode, suivant lui, a intercalé l'exorde, placé entre ce dernier vers et le cinquantième. . (2) Jupiter était honoré sur l'Hélicon. . (4) Junon était appelée Argéiê parce que, suivant Strabon, on la croyait née à Argos.

Les travaux et les jours. Muses de la Piérie (1), ô vous dont les chants immortalisent ! Venez, célébrez votre père, de qui descendent à la fois tous les hommes obscurs ou fameux, le grand Jupiter, qui leur accorde à son gré la honte ou la gloire, les élève aisément ou aisément les renverse, affaiblit le puissant et fortifie le faible, corrige le méchant et humilie le superbe, Jupiter qui tonne dans les cieux et réside sur les plus hauts sommets de l'Olympe.

Dieu puissant qui entends et vois tout, écoute : dirige vers l'équité les jugements des mortels. Pour moi, puissé-je faire entendre à Persès le langage de la vérité ! On ne voit pas régner sur la terre une seule rivalité ; il en existe deux : l'une digne des éloges du sage, l'autre de son blâme ; toutes deux animées d'un esprit différent. Pandore Mariage d'Épiméthée et de Pandore Après avoir achevé cette attrayante et pernicieuse merveille, Jupiter ordonna à l'illustre meurtrier d'Argus, au rapide messager des dieux, de la conduire vers Épiméthée. L'âge d'or. Boulè. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les cités de la Grèce antique, la Boulè (en grec ancien Βουλή, aussi transcrit Boulê) est une assemblée restreinte de citoyens chargés des lois de la cité. Son nom a souvent été traduit par « Conseil » et, plus rarement, par « Sénat ». La Boulè d'Athènes : une institution évoluant[modifier | modifier le code] Création par Solon[modifier | modifier le code] Réforme de Clisthène[modifier | modifier le code] Le rôle de la Boulè était de recueillir les projets de lois des citoyens : chaque proposition de loi, ou probouleuma (en grec ancien, au singulier προβούλευμα) fait l'objet d'un rapport de la Boulè, afin d'établir l'ordre du jour des séances de l'ecclésia qu'elle convoquait.

Par le biais de l'alternance des prytanes, ce calendrier politique permet certes une circulation du pouvoir dans l'ensemble du corps civique mais surtout, assure la permanence de l'État. Révolution oligarchique des Quatre-Cents[modifier | modifier le code] Marcel Mauss. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mauss. Marcel Mauss Signature Marcel Mauss, né à Épinal le et mort à Paris le (à 77 ans), est généralement considéré comme le « père de l'anthropologie française[1] ». Biographie[modifier | modifier le code] Marcel Mauss naît en 1872 dans la ville d’Épinal. Son père Gerson, originaire du Bas-Rhin, a épousé quelques années auparavant Rosine Durkheim, la sœur aînée d’Émile Durkheim, qu’il a rejointe dans la ville lorraine pour y reprendre l’atelier textile de sa mère qui devient sous la houlette du jeune couple la Fabrique de Broderie à Main, Mauss-Durkheim[2].

En 1901, il rejoint l'équipe de L'Année Sociologique, revue biennale créée par Émile Durkheim. Pendant tout ce temps, Mauss fut un militant socialiste toujours fidèle à ses convictions. Travaux[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Recueils présentés et rééditions[modifier | modifier le code] Revue du MAUSS. Les techniques du corps. Gilbert Simondon. Temps et individuations technique, psychique etcollective dans l’oeuvre de Simondon. Politiques de l' individuation. Penser avec Simondon.

Sieyès. Qu'est-ce que le Tiers-Etat ? Tout.... Ernst Haeckel. Théorie de la récapitulation. La théorie de la récapitulation de Haeckel à Freud. Néoténie. Victor Hugo - la conscience. Caïn.