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Bernard Stiegler : l'open data est « un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet » RSLN : Que représente le développement de l’open data dans la grande aventure du numérique ? Bernard Stiegler : C’est l’aboutissement d’une rupture majeure déjà largement entamée, et qui n’a rien à voir avec les précédentes. Toutes les technologies monopolisées par l’industrie de la culture, au sens large du terme, pendant un siècle, sont en train de passer entre les mains des citoyens.

C’est un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet qui, comme technique de publication, c’est à dire de rendu public, est au fondement de la res publica, tout comme à ce qui s’est déroulé après Gutenberg et la Réforme, généralisant l’accès à l’écriture imprimée et au savoir. À présent, toutes les activités industrielles, culturelles et scientifiques laissent désormais une trace numérique que chacun peut exploiter grâce à des outils de plus en plus accessibles.

Il s’agit d’un enjeu plus que majeur : c’est un changement d’époque. Des idéologies différentes Bernard Stiegler : C’est vrai. Entretien avec Félix Guattari (1991) Débat : L'éducation, vingt ans après l'apparition du World Wide Web. Conférence organisée par Ars Industrialis pour le compte du Conseil Régional d’Ile-de-France au salon européen de l’éducation le 24 novembre 2012.

Débat : L'éducation, vingt ans après l'apparition du World Wide Web Un consensus semble se dessiner sur le fait que l'intégration de l'écriture numérique au sein de l'école est une nécessité évidente. La question concerne les conditions de son introduction. - De quoi parle-t-on précisément sous le nom de numérique ? - Comment la pratique du numérique se présente-t-elle dans l'enseignement secondaire et quel y est le rapport pédagogie/discipline ?

- Quelle est la place du numérique et plus généralement de la technique et de la technologie dans le devenir des disciplines scientifiques ? Animé par Julie Gacon, journaliste reporter à Radio-France, et Bernard Stiegler, philosophe Avec la participation de : Henriette Zoughebi, vice-présidente du conseil régional d'Ile de France Bernard Stiegler, UTC et université de Londres, IRI, philosophe. "Edward Bernays ou la fabrique du consentement" - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET PSYCHOSOCIOLOGUE SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE, SAULX, HAUTE SAONE 70 ET BESANÇON 25. Biographie et oeuvre de Bernays, le neveu de Freud, qui détourna les principes de la psychanalyse au profit du marketing ! Tout psychanalyste "pharmacologue" se doit de prendre connaissance de ses sombres desseins: Edward Bernays est né en 1891 à Vienne et il est mort en 1995 à Boston. 103 années d’une vie fructueuse. Une vie consacrée à l’une des tâches majeures de notre siècle : celle qui consista à pervertir les democraties pour faire plier les volontés des masses aux desseins des élites, en toute non-violence.

Edward Bernays était le neveu de sigmund Freud et il a su exploiter les avancées apportées par son oncle, ainsi que le rayonnement scientifique de ce dernier dans le domaine de la connaissance de l’irrationnalité, à des fins économiques idéologiques et politiques. Sa discrétion dans notre paysage culturel actuel est inversement proportionnelle à l’ampleur de sa tâche. Le titre de son livre le plus célèbre ? Edward a 21 ans... Pourquoi les relations publiques ?

"LA PUISSANCE DE L'AMATORAT " - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET PSYCHOSOCIOLOGUE SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE, SAULX, HAUTE SAONE 70 ET BESANÇON 25. A l'heure où notre société devient une civilisation d'expertise, où domine une population suradaptée souvent normative, aseptisée par les structures régaliennes, et trop docile face aux aberrations provoquées par les institutions: Bernard Stiegler nous rappelle combien l'amatorat, véritable thérapeutique de soi - à travers la passion créatrice qu'il génère - permet par le principe des externalités positives, la guérison par l'oeuvre d'une époque désenchantée ! 1- Il y a un temps de l’amateur, un rapport au temps qu’ignore celui qui n’est pas amateur — et c’est un temps de l’amour, c’est-à-dire de la fidélité : amateur vient d’amare, aimer. Socrate pose d’ailleurs dans Le Banquet que le philosophe est avant tout un amateur : l’amateur de sagesse. Et dans Ménon, il dit que ce rapport à la sagesse est fondé sur « un autre temps ».

L’amateur est prêt à donner beaucoup de temps à ce qui le passionne. Il est absolument disponible. Un objet aimé — œuvre, personne — s’idéalise. -Science: Notre cerveau est génial !- - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET PSYCHOSOCIOLOGUE SECTEUR LUXEUIL. "On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu. Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. Notre cerveau est bien plus élastique que prévu, ses neurones peuvent même repousser. Et il fonctionne en wifi, relié aux cerveaux des autres. " On sait que c’est l’entité la plus complexe de l’univers connu.

Mais les découvertes se multiplient et font exploser tous les schémas. Notre cerveau est bien plus élastique que prévu, ses neurones peuvent même repousser. 1, un cerveau plastique qui peut voir avec la peau L’idée de plasticité corticale et neuronale ne figure dans aucun programme de médecine avant les années 1990 : les premiers qui en parlent sont ridiculisés, tels Paul Bach-y-Rita et son frère George, deux médecins hors norme qui, à la fin des années 1960, réussissent à sauver leur père, un professeur de tango paralysé par un accident vasculaire cérébral (AVC) et que les neurologues disaient condamné. De nouveaux neurones ? -La tâche de l'université, au XXIe siècle- - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET PSYCHOSOCIOLOGUE SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE, SAULX, HAUTE SAONE 70 ET BESANÇON 25.

L’Université du 21ème siècle sera citoyenne, responsable et solidaire ou ne sera pas ! Par Pierre Calame. 1. La réforme de l’Université : une nécessité et une urgence pour répondre aux défis du 21ème siècle. 1.1. La nécessité d’un changement radical et d’un nouveau contrat entre Université et société ; le caractère central de la réflexion sur la responsabilité de l’Université ; le besoin de concevoir pour cela une stratégie de changement en réseau. Mon exposé à cette occasion avait tracé les grandes lignes d’une stratégie. A la différence de la plupart d’entre vous, je n’appartiens pas à l’Université. Ce faisant je vais le faire en « déspécialisant » la réflexion, en traitant l’Université non comme un être institutionnel et social à part « à nul autre pareil » , mais comme le point d’application particulier d’une réflexion plus générale qui s’applique, mutatis mutandis, aux autres institutions et aux autres corps sociaux. 1.2. 1.3.

Qu’est ce que la mondialisation ? 2. 2.1. 2.1. 2.2. Vivre et penser comme des porcs.