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Insolite

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USA : Un potager dans l’aéroport international O’Hare de Chicago. / Amérique du nord Après la folie des toits verts, c’est au tour de l’aéroport international O’Hare de Chicago d’entrer dans le cercle des nouveaux jardins de demain.

USA : Un potager dans l’aéroport international O’Hare de Chicago

En effet, il vient tout juste d’inaugurer son premier potager de légumes situé au cœur de son terminal 3. Petite balade au milieu d’un jardin plus qu’urbain… Comment produire et manger local dans un aéroport Le jardin urbain de l’aéroport O’Hare de Chicago, situé au niveau mezzanine du terminal 3, est un petit espace de paix et de tranquillité où l’on cultive des herbes et légumes locaux pour le plus grand plaisir des clients des restaurants de l’aéroport qui consomment ainsi des produits frais. Le potager de l'aéroport O'Hare. © City of Chicago, Department of Aviation Pour les produire, l’équipe en place a recours à la culture aéroponique (qui gagne de plus en plus en popularité à travers le monde), laquelle permet la croissance de plantes hors sol.

Des légumes de qualité à table Christine Lacaze.

Truck farm

Insolite : un jardin urbain sur l'aéroport désaffecté de Tempelhof. L'aéroport désaffecté de Tempelhof est devenu un paradis pour jardiniers urbains. © AFP photo/Odd Andersen Insolite : un jardin urbain sur l'aéroport désaffecté de Tempelhof - 3 Photos Découvrez les tendances du jardin de demain Des tournesols ont remplacé les avions et l'odeur du chou celle du kérosène, créant un des plus grands jardins urbains d'Europe sur l'aéroport de Tempelhof, qui permit de briser le blocus soviétique de Berlin en 1948-49.

Insolite : un jardin urbain sur l'aéroport désaffecté de Tempelhof

Lancé par une dizaine de pionniers en avril, le projet Allmende Kontor qui tire son nom d'une forme de jardinage communautaire du Moyen Âge, rassemble désormais 300 jardiniers qui font pousser leurs fruits, légumes et autres fleurs dans l'enceinte du célèbre aéroport désaffecté depuis trois ans. Fruits, légumes et fleurs poussent désormais sur l'ancien aéroport de Tempelhof. Un jardin communautaire urbain de 5.000 m2 Les jardins de Tempelhof, menacés et menaçants ? Le jardin urbain, une réponse à la hausse des prix A voir aussi sur Internet.

Manga Micro-Farm Makes for Great Geeky Gardening. Image credit Koshi Kawachi What can you do with a stack of manga or comics that is destined for the recycling bin?

Manga Micro-Farm Makes for Great Geeky Gardening

Why, use them as a gardening medium, of course! At least, that's what one artist has done in an installation at the Matsuzakaya department store in Nagoya, Japan. By piling up a stack, rubber banding it together, soaking it, and sprinkling it with seeds, the artist explores a colorful and decorative way to raise a salad. Pink Tentacle shows us the work of Tokyo-based artist Koshi Kawachi, who demoed "Manga Farming.

" While this is an art display, it does make you wonder what you might be able to do with the stack of comics under your bed, or the phone books you haven't cracked open in the last five years. Deux entrepreneurs américains recyclent du marc de café pour cultiver des champignons. Nikhil Arora et Alejandro Velez commercialisent des kits permettant aux particuliers de faire pousser des champignons dans du marc de café Etablis dans le nord de la Californie (Etats-Unis), Nikhil Arora et Alejandro Velez se sont lancés dans le recyclage du marc de café en approvisionnant les restaurants gastronomiques locaux en champignons.

Deux entrepreneurs américains recyclent du marc de café pour cultiver des champignons

Ils dirigent l’entreprise Back To The Roots et distribuent leurs produits à 300 magasins bio de la chaîne Whole Foods dans tous les Etats-Unis. Après l’obtention de leurs diplômes à l’Université de Berkeley (Etats-Unis) en 2009, MM. Arora et Velez ont reçu plusieurs propositions d’emplois, principalement dans le consulting et émanant de banques d’investissement. Les deux amis n’avaient toutefois qu’une seule idée en tête : cultiver des champignons dans du marc de café recyclé. Avec l’ambition de les vendre leur « marchandise » à des magasins commercialisant des produits bio, ils ont démarré l’aventure dans la cave de la maison familiale de M. MM.