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Insertion professionnelle

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Formation pro. Université de Perpignan : la plateforme Oriz'up, une boussole pour l’insertion. Camille Stromboni | Publié le , mis à jour le Une plateforme un peu particulière a été mise en place par l'université de Perpignan à la rentrée 2012, intitulée Oriz'Up.

Université de Perpignan : la plateforme Oriz'up, une boussole pour l’insertion

"Il s'agit de traduire nos formations en compétences, et surtout de les décliner en actions concrètes sur le marché de l'emploi", explique Fabrice Lorente, président de l'établissement. Ainsi, avec un master en droit privé et des sciences criminelles, spécialité "droit du contentieux", un étudiant pourra lire qu'il va acquérir des savoirs comme l'analyse statistique ou la conduite de projet, des savoir-faire comme la conduite de l'information judiciaire ou l'utilisation de logiciels de gestion documentaire.

Ce qui aboutit à des aptitudes professionnelles comme la prise de décision ou le travail en équipe. Du côté des entreprises, le moteur, en accès libre sur le site de l'université, peut servir. Un projet monté par les étudiants Quel a été le coût de l'opération, financée par la fondation de l'établissement ? Une enquête "anthropologique" décrypte les attentes des étudiants face à l'entreprise. Actu | Insertion pro Publié le , mis à jour le 30 % d’étudiants visent le secteur non-marchandPremier constat : en dressant une « typologie des types de gouvernance » recherchées par les jeunes, cette étude va à l’encontre d’un tropisme selon lequel les trois quarts d’entre eux seraient attirés par la fonction publique. « Seuls 9 % des étudiants interrogés aspirent à travailler dans le cocon très protecteur du public et de l’administratif », note Marc Lebailly, responsable de cette étude et directeur associé du cabinet de conseil ACG.

Une enquête "anthropologique" décrypte les attentes des étudiants face à l'entreprise

Emploi. Que vaut mon diplôme ailleurs ? Répertoire de sites utiles. Que vaut un diplôme dans un autre pays ?

Que vaut mon diplôme ailleurs ? Répertoire de sites utiles

Pensez seulement que le «baccalauréat» obtenu en Europe et en Afrique est l’équivalent d’un diplôme de fins d’études secondaires en Amérique, alors que le "Baccalauréat" obtenu au Québec est l'équivalent d'une licence en France ! En raison des lois qui définissent les responsabilité des membres des ordres professionnels, un diplôme d’ingénieur, d’avocat ou de médecin n’aura pas du tout la même valeur selon le pays d’où il a été émis du fait que la formation aura considéré ou non le niveau de responsabilité en question.

Dans des domaines comme la santé, l’éducation et plusieurs autres, les protocoles, normes et standards acceptables, précisément définis, varient d’un pays à l’autre... il va de soi que la formation reconnue doit les considérer, sinon pas d’équivalence sans formation d’appoint. International Article : la difficile harmonisation internationale des diplômes, sur Studyrama. Etudiants étrangers en France et étudiants français à l'étranger.

Préqual industrie

Institut Montaigne : ses pistes pour développer l’alternance dans le supérieur. Dans son rapport sur l’évaluation des dépenses fiscales publié fin août 2011 , l’Inspection générale des finances (IGF) évalue les dispositifs mis en place pour encourager l’apprentissage.

Institut Montaigne : ses pistes pour développer l’alternance dans le supérieur

Selon les auteurs, « la hausse du nombre d'apprentis entre 2005 et 2007 (+ 10,6 %) laisse penser que les mesures prises en 2005 en faveur de l'apprentissage ont eu un impact positif sur le développement de ce type de formation ». Fin décembre 2010, 414 000 jeunes étaient en contrat d'apprentissage et 173 000 étaient en contrat de professionnalisation, pour un total de 587 000 contrats de formation en alternance. Le sous-emploi des jeunes est structurel en France : le taux de chômage des 15-24 ans n’est en effet jamais passé sous la barre des 15 % depuis 1980. Il a atteint le triste record de 25 % en 2009 tandis que les taux de chômage des 25-49 ans et des 50-64 ans s’établissent respectivement à 8,7 % et 6,7 % . Enquête Dares : des métiers en forte évolution depuis 25 ans. 2011-066 - L'évolution des métiers en France depuis vingt-cinq ans. En vingt-cinq ans, le nombre de personnes en emploi en France métropolitaine a augmenté de 3,1 millions, pour atteindre 25,7 millions en moyenne sur la période 2007-2009.

2011-066 - L'évolution des métiers en France depuis vingt-cinq ans

Les métiers du tertiaire sont ceux qui ont le plus contribué à la croissance de l’emploi sur cette période, à la fois pour les catégories les plus qualifiées et les moins qualifiées. Dans les métiers industriels, la hausse des emplois les plus qualifiés n’a pas compensé la forte baisse des emplois non qualifiés. Les métiers de l’agriculture sont ceux qui ont perdu le plus d’emplois, tandis que ceux du bâtiment et des travaux publics se sont maintenus avec une augmentation du niveau de qualification. En vingt-cinq ans, la hausse globale du niveau de diplôme a transformé les « normes de qualification » requises pour l’exercice du métier, en particulier pour les employés. Le salariat, le temps partiel et les formes particulières d’emploi (contrats à durée déterminée, intérim) se sont développés. Bref287.pdf (Objet application/pdf) Apec - Recrutement et offres d'emploi cadres. Accueil Pôle emploi.

Andragogie. L’économie de la connaissance à l’épreuve du recrutement. Si l’« économie de la connaissance » fait aujourd’hui figure d’horizon probable et désirable, c’est parce qu’elle laisse entrevoir un monde intelligent, où des gens intelligents exerceront des métiers de plus en plus intelligents, mobilisant leur tête et leurs talents (en laissant, mais c’est sa face sombre moins souvent mise en avant, aux pays pauvres la sueur et l’exploitation de la force brute).

L’économie de la connaissance à l’épreuve du recrutement

Il s’agit là d’un credo, porté notamment par l’OCDE, qui sous-tend en particulier les politiques de développement des scolarités longues, sachant que c’est le développement des scolarités longues qui est souvent mis en avant (ce qui est pour le moins circulaire) comme preuve tangible de la dite économie de la connaissance. Il est certes difficile de confronter ce credo à des données empiriques pertinentes. Sans entrer dans le détail de toutes ces analyses, la tonalité de leurs résultats apparaît assez consistante, même s’ils peuvent de prime abord paraître triviaux. Aller plus loin :