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Traqués ! - Traqués, enquête sur les marchands d'armes numériques - Technicien - Amesys.

Affaire Amesys/Lybie : la justice française donne son feu vert à la poursuite de l’instruction - RSE et PED. Qosmos accusé de vente d'outils DPI à la Syrie - Actualités CSO Documentation. IBM lance sa plate-forme analytique de sécurité, QRadar, complétée par App Exchange Au mois d'avril dernier, IBM mettait sur pied une base d'analyse de menaces de 700 TB.

Qosmos accusé de vente d'outils DPI à la Syrie - Actualités CSO Documentation

Aujourd'hui, il lance sa plate-forme d'analyse de sécurité, QRadar, qui utilise cette base pour détecter les incidents le 10/12/2015, par par Chris Player, IDG NS, et Steve Morgan, CSO, 531 mots Trop de terminaux embarqués n'ont pas de dispositifs de sécurité Une analyse portant sur des centaines de terminaux, routeurs, modems DSL, téléphones VoIP, caméras IP et d'autres dispositifs embarqués ont mis à jour des vulnérabilités à haut risque dans un nombre important le 23/11/2015, par Lucian Constantin, IDG NS, 668 mots Interview : Joël Mollo, VP Europe du sud de SkyHigh Réseaux&Télécoms : En quoi consiste votre nouvelle activité ?.

Joël Mollo : « Les gens qui vont vers le cloud computing doivent être sécurisés dans leur démarche. [MàJ] La preuve du double-jeu de la France en Libye. L'entreprise française Amesys, spécialisée en systèmes de surveillance électronique, est accusée d'avoir équipé la dictature libyenne.

[MàJ] La preuve du double-jeu de la France en Libye

Une photo trouvée dans un QG de Kadhafi renforce les accusations. Mise à jour du 1er septembre: Christian Paul, député PS de la Nièvre, a fait parvenir à OWNI la question écrite qu’il a adressée à l’Assemblée nationale sur le sujet. Il demande notamment au gouvernement d’éclaircir les conditions de la vente de technologies de surveillance à la Libye, et le rôle éventuel des services du renseignement militaire dans la formation de cet encombrant client. Un tout petit logo (ci-contre), une tâche quasi-invisible en haut à gauche d’une affichette (ci-dessous) placardée dans le centre de commandement de l’unité électronique de Mouammar Kadhafi, à Tripoli. Ce logo, c’est en réalité celui de l’entreprise française Amesys, fournisseur de matériel de surveillance très sensible à la dictature libyenne entre 2007 et 2009 – OWNI vous en parlait dès le mois de juin.

La FIDH et la LDH déposent une plainte mettant en cause la société Amesys pour complicité d’actes de torture. Communiqué commun FIDH et LDH La justice française doit faire la lumière sur les responsabilités de la société Amesys et de ses dirigeants en Libye.

La FIDH et la LDH déposent une plainte mettant en cause la société Amesys pour complicité d’actes de torture

La FIDH et la LDH ont déposé ce jour une plainte contre X avec constitution de partie civile auprès du Tribunal de grande instance de Paris mettant en cause la société Amesys, filiale de Bull, pour complicité d’actes de torture en Libye. Il s’agit de faits commis à travers la fourniture au régime de Mouammar Khadafi, à partir de 2007, d’un système de surveillance des communications destiné à surveiller la population libyenne.

Cette plainte, qui vise une entreprise pour complicité de graves violations des droits de l’Homme sur le fondement de la compétence extraterritoriale, s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’impunité, à l’heure où un nombre grandissant d’entreprises est dénoncé pour avoir fourni des systèmes similaires à des régimes autoritaires.