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Les data en forme. Cette semaine, point de veille habituelle.

Les data en forme

Notre équipe de journalistes de données vous présente deux évènements dont OWNI est partenaire. Chacun de ces projets est porté par de petites équipes avec énergie et volonté. Ils ont pour objectif de mettre le citoyen au cœur de la chose politique. Précieux dans la séquence présidentielle-législatives qui se profile. HACK THE ELECTIONS! Le principe du hackathon est simplissime : se faire rencontrer des gens de bonne volonté, possédant divers talents complémentaires – et quelques heures de sommeil en trop – autour d’un défi.

L’inscription au hackathon est gratuite dans la limite des places disponibles. Et comme on est sympas chez les data, on n’hésite pas à vous partager le programme : Samedi 9h30 Accueil des participants autour d’un petit déjeuner 10h00 Présentation de Voxe.org, de son API et des objectifs du week-end 10h30 Briefing -L’Open Data et ses enjeux, par Data Publica -Le Data Journalism, un nouveau paradigme? Voxe.org. OPEN DATA, OPEN CONTENT, OPEN GOV - Présidentielles 1/2. OPEN DATA, OPEN CONTENT, OPEN GOV - Présidentielles 2/2. La société civile du numérique s'organise pour solliciter les partis politiques dans le cadre des campagnes présidentielles et législatives.

OPEN DATA, OPEN CONTENT, OPEN GOV - Présidentielles 2/2

Après avoir interrogé les représentants des candidats à la présidentielle sur les thèmes du Logiciel Libre, Silicon Sentier accueille Regards Citoyens, OpenStreetMap France et Wikimedia France et les équipes de campagne des différents partis afin qu'ils s'expriment sur la question de la libération des contenus et des données publiques. Représentants des candidats : Europe Ecologie Les Verts : Frédéric Neau Front de Gauche : Stéphane Bortzmeyer Modem : Jean-François Martins Chargé des questions numériques pour Corinne Lepage : Pierrick Prévert Porte-parole de Nicolas Dupont-Aignan pour les libertés et l'économie numérique : Jean-Baptiste Raphanaud Parti Socialiste : Représentant de François Hollande : Jean Louis Missika Union pour un Mouvement Populaire : Franck Riester.

Drones d’hacktivistes. Les drones sont partout. À l'origine utilisés par les militaires, ces engins sont détournés de leur usage, en particulier par des activistes de tous poils : hacktivistes, défenseurs de la nature ou des droits de l'homme, artistes et même journalistes. Surveiller les surveillants, en détournant leurs dernières marottes techniques : après les caméras de vidéosurveillance, les drones sont à leur tour mis au service de l’activisme, voire de l’hacktivisme. On pourrait également qualifier ces détournements d’artivisme, cette façon d’utiliser l’expression artistique pour porter un message politique. Il semblerait que le premier projet de ce type remonte à 2004, du moins selon l’artiviste autrichien Konrad Becker qui s’en est occupé dans le cadre du projet Netbase.

Son nom de code ? Eyes in the sky, democracy in the street. “Des yeux dans le ciel, la démocratie dans la rue”. Il a été déployé en public en mai 2004 à Vienne. Hacker les communications Buzz vidéo de Pologne. La neutralité cachée d’Internet. Alors que le gendarme des réseaux, l'Arcep, présente ses travaux en conférence de presse ce vendredi matin, OWNI dresse un bilan critique du chantier de la neutralité d'Internet et des réseaux.

La neutralité cachée d’Internet

Un sujet stratégique pour l'avenir du numérique. Pour l'heure, les multiples compromis du moment portent en germe les compromissions de demain. La neutralité des réseaux : “La moitié du travail du régulateur sur les deux années à venir”. Selon le patron de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) Jean-Ludovic Silicani, le sujet est le gros morceau qui occupera le gendarme des télécoms à l’avenir. Et qui le tourmente déjà. L’autorité devait initialement rendre un rapport sur le sujet “au Parlement et au Gouvernement début 2012″.

Au pays de Candy. Candy : c'est le nom de code de l'opération organisée depuis la France et consistant à aider le régime de Kadhafi à espionner tous ses citoyens sur Internet.

Au pays de Candy

Ici, le pays de Candy, c'est à la fois la Libye et la France, nos grands discours et nos réalités, pas toujours glorieuses. Retour sur cette relation trouble avec un livre d'enquête qui lève le voile sur ces systèmes de surveillance surpuissants. OWNI Editions publie aujourd’hui Au pays de Candy, enquête sur les marchands d’armes de surveillance numérique. Un document consacré en particulier au système Eagle, conçu par une entreprise française, Amesys, à la demande du régime libyen de Mouammar Kadhafi.

“Au pays de Candy” (118 pages, 4,49 euros) est disponible au format “epub” sur Immatériel, la FNAC (Kobo) et l’IbookStore d’Apple, Amazon (Kindle), ainsi que sur OWNI Shop (au format .pdf, sans marqueur ni DRM). De nos jours, Amesys affirme que ce “produit” a été conçu pour “chasser le pédophile, le terroriste, le narcotrafiquant“. Hollande entreprend la culture. Le flou de l'après Hadopi, c'est du passé.

Hollande entreprend la culture

Dans une tribune qui paraît dans Le Monde, le candidat socialiste affirme sa proximité avec les grands entrepreneurs culturels. Et enterre toute possibilité de licence globale. Surtout, selon nos informations, cette tribune reprend des recommandations des différents lobbys de la culture. The battle for copyright (La bataille du copyright) par Christopher Dombres (cc) François Hollande veut rassurer les auteurs. La gauche a toujours soutenu la création artistique et les créateurs. Problème mineur Si le candidat socialiste rappelle ces “principes essentiels”, c’est pour, indique-t-il, “aborder la question de la loi Hadopi qui fait débat.” Viva la resolution. Front de Gauche du Numerique. Réaction de la SACD sur la licence globale - Front de Gauche du Numerique. WikiLeaks – Anonymous et associés. Les dernières fuites orchestrées par WikiLeaks laissent augurer une évolution dans l'histoire de l'organisation.

WikiLeaks – Anonymous et associés

Les cinq millions d'e-mails de l'entreprise de renseignement privée Startfor ont été obtenus par un groupe d'Anonymous puis confiés à WikiLeaks.