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April 2o14

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Déclaration «molle» à Net Mundial. #OurNETmundial : Notre Internet mérite mieux qu'une « gouvernance » Un ex-Anonymous dirigeait des attaques informatiques pour le FBI. Neutralité du Net : les FAI vont-ils gagner la partie aux Etats-Unis ? Le top 3 pour tracer un smartphone. Vous avez perdu votre téléphone portable ? Un malveillant tente d’y accéder ou vient de vous le voler. Voici notre top 3 DataSecurityBreach.fr des outils qui devraient vous servir afin de vous protéger, et protéger votre précieux. L’article sur comment sécuriser sa tablette vous a particulièrement intéressé. Nous nous sommes dit que nos téléphones, de plus en plus couteux et aux contenus de plus en plus sensibles méritaient aussi un véritable focus. L’idée de cet article m’est venu aussi en lisant un Tweet envoyé par un lecteur, sur le twitter de ZATAZ Media : @zataz. Le papa du lecteur a eu son iPhone volé. Comment faire ? LockWatch Efficace, rapide d’installation, l’outil fonctionne sous Android.

Lockout security Même ordre d’idée que LockWatch. Samsung dive Une application disponible uniquement pour smartphone Samsung. Autre outil à ne pas rater, Cerberus. Faille Heartbleed : la check-list pour s’en sortir. Depuis le 7 avril, un nom et un logo, jusqu’alors inconnus, ont fait le tour du Web : Heartbleed, un cœur qui saigne. L’importance de cette faille de sécurité affectant la librairie de chiffrement SSL/TLS OpenSSL explique cet embrasement sur le sujet. Si les acteurs du Web ont très rapidement mis à jour leur librairie (vers la version 1.0.1g expurgée de Heartbleed), le problème est loin – très loin même – d’avoir été réglé. Et il ne se limite pas aux seuls acteurs du Web : toutes les DSI sont, de près ou de loin, concernées par Heartbleed en raison de l’emploi très courant de la librairie OpenSSL dans des logiciels et matériels du marché. En 5 points, Silicon.fr vous livre une première check-list pour évaluer les risques et prendre les premières contre-mesures. 1) Mesurer les risques Un outil de test gratuit proposé par Qualys disponible sur : Bref, beaucoup d’informations extrêmement intéressantes pour des cybercriminels.

En complément : Les anti-Google Glass entrent en résistance. Les actions se multiplient contre les utilisateurs de Google Glass. Leurs détracteurs mettent en avant les menaces que font peser ces appareils sur la vie privée. Mises en vente mardi dernier lors d'une vente flash aux États-Unis et écoulées en moins de 24 heures, les Google Glass génèrent autant d'espoirs de bénéfices commerciaux pour la firme de Mountain View qu'elles ne cristallisent de tensions chez leurs détracteurs. Le site Mashable a recensé de nombreuses agressions d'utilisateurs des fameuses lunettes dans les rues de San Francisco, dont celle dont a été victime le journaliste Kyle Russell.

Ses Google Glass ont été arrachées avant d'être écrasées sur le sol. Le collectif britannique «Stop the Cyborgs» prône une lutte plus pacifique mais non moins décidée: «Nous voulons encourager le plus d'endroits possibles à devenir des zones libres (zones sans surveillance, NDLR).» Stop The Cyborgs | Only the unmeasured is free. Open data et données personnelles : l'état des lieux dressé par la Cnil. Afin de contribuer au respect de la vie privée au sein de la politique française d'ouverture des données, la Commission Informatique et Libertés (Cnil) a dressé un état des lieux des pratiques des acteurs de l'open data en matière de données personnelles.

Ayant lancé une vaste consultation publique au début de l'année 2014 auprès de 400 personnes ou organismes impliqués dans la mise en oeuvre d'une plateforme ou d'une politique d'open data (producteurs, gestionnaires ou réutilisateurs de données publiques), l'autorité administrative révèle aujourd'hui que ceux-ci sont plutôt concernés par le sujet des données personnelles. En effet, plus de la moitié des responsables open data et gestionnaires de données publiques déclarent s'être déjà demandés si des données personnelles pouvaient être contenues dans certains jeux de données dont l'ouverture était envisagée.

Opposition en cas de risque d'identification De rares abandons de projets. Open data : un rapport du Sénat veut l’encadrer sinon l’étouffer. Deux sénateurs, Gaëtan Gorce (PS) et François Pillet (apparenté UMP) ont écrit un rapport pour la commission des lois, intitulé "La protection des données personnelles dans l’open data: une exigence et une opportunité". Ils ont présenté le 16 avril à la presse ce rapport, pas encore publié sur le site du Sénat, mais déjà accessible ici ou là (PDF). Gaëtan Gorce avait déjà exposé ses vues sur la question dans son blog en janvier 2013, taxant les tenants de l’open data "d’ingénuité numérique" devant "les menaces considérables qu’il [l’open data] représente déjà pour le respect de la vie privée". "Perspective d’un fichage généralisé"? Le sénateur y voyait alors "la perspective d'un fichage généralisé à des fins privées qui réapparaît ainsi subrepticement", par recoupement entre les données publiques brutes et celles détenues par des entreprises comme Google ou Facebook.

Appel à geler de fait l’ouverture en cours des données Prévoir une redevance Manuel Valls s’exprimera la semaine prochaine. Les révélations d'Edward Snowden récompensées par un prix Pulitzer. Un prix Pulitzer, la principale récompense pouvant couronner le travail de journalistes américains, a consacré lundi 14 avril l'édition américaine du Guardian et The Washington Post. Le jury salue leur publication des révélations sur le système de surveillance de l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA), rendues possibles grâce aux documents fournis par Edward Snowden, ancien consultant de l'agence de renseignement aujourd'hui réfugié en Russie. Lire notre dossier consacré aux révélations d'Edward Snowden Inculpé aux Etats-Unis d'espionnage et de vol de documents appartenant à l'Etat, Edward Snowden a salué lundi un Pulitzer qui « va dans le sens de tous ceux qui pensent que le public a un rôle dans le gouvernement ».

Dans un communiqué, il a loué le travail des journalistes « face à une extraordinaire intimidation, y compris la destruction forcée de matériels journalistiques ou l'utilisation inappropriée des lois antiterroristes ». « Le prix n'était pas vraiment concentré sur M. En Espagne, les logiciels P2P sont légaux car neutres. Pablo Soto, créateur d'une solution P2P, est finalement sorti victorieux de son bras de fer judiciaire avec l'industrie du disque. La justice espagnole a rejeté l'appel des ayants droit qui tentaient de le punir pour cette mise à disposition de cet outil. Pablo Soto est le jeune créateur d’une solution P2P qui avait provoqué l’ire de Sony, EMI, Universal et Warner.

Les majors du disque l’avaient ainsi attaquée pour mettre à terre le protocole MP2P, Manolito ainsi que deux logiciels de partage (Blubster et Piolet). Les majors lui réclamaient pas moins de 13 millions d’euros, nombre équivalent au manque à gagner dont aurait souffert l’industrie culturelle. En juin 2008, Warner Music, Universal Music, EMI et Sony, Promusicae, Productores de Música de España (la RIAA espagnole) avaient ainsi intenté un procès contre sa société, mp2p Technologies. En somme, la justice espagnole a finalement conclu que faute de législation spécifique, cet outil est parfaitement neutre. Le CSA propose que les services web financent volontairement la fiction. Vers un label "site de confiance" délivré par le CSA ?

Dans le cadre de la prise de pouvoir, notamment sur Internet, du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, l'autorité de régulation affirme sa volonté de réguler le web comme elle le fait sur la télévision. Le CSA souhaiterait ainsi mettre en place un label "site de confiance" aux sites qui respectent certaines règles... C’est dans son rapport annuel – à paraître – que BFM Business a trouvé trace de ce label pour le moment alarmant.

Et pour cause, celui-ci serait délivré aux sites signant une convention dans laquelle ils s’engagent à appliquer certains principes moraux (protection de l’enfance en tête) – une sorte de modération voire d’auto-censure diront certains -. Et pour aller plus loin, le label « devra être pris en compte » par les solutions de contrôle parental, tous les sites non labellisés devront donc être bloqués. Des employés de Mozilla demandent le départ de leur nouveau PDG. La semaine dernière, nous nous faisions l’écho d’une polémique chez Mozilla. La nomination de Brendan Eich à la tête de l’entreprise faisait ressortir du placard sa donation de 1 000 dollars pour une campagne visant à promouvoir une loi qui aurait barré la route du mariage aux couples homosexuels en Californie. Désormais, ce sont les employés et le conseil d’administration qui font scission.

Brendan Eich, nouveau PDG de Mozilla Un choix qui n'est pas du goût de tout le monde Brendan Eich, créateur du JavaScript, est depuis peu le nouveau PDG de Mozilla. La colère n’avait pas tardé à se manifester, notamment à travers le retrait d’applications de la boutique Firefox OS. Des employés demandent la démission de leur nouveau patron Le billet posté par l’entreprise se veut clair : « La mission de Mozilla est de rendre le Web plus ouvert afin que l’humanité soit plus forte, plus ouverte et plus juste. La moitié du conseil d'administration s'en va, mais aucun problème selon Mozilla Vincent Hermann.

Mozilla : Chris Beard nommé P-DG, par intérim. Mozilla a annoncé hier la nomination de Chris Beard en tant que P-DG par intérim pour remplacer Brendan Eich. Il entre également au conseil d’administration. Bird est un vétéran de la Fondation Mozilla arrivé en 2004 juste avant le lancement de Firefox 1.0. Il fut tour à tour vice-président produits, directeur de l’innovation et dernièrement directeur marketing jusqu’en juin dernier. Il avait alors quitté Mozilla pour rejoindre le fonds d’investissement Greylock Partners. Un intérim qui pourrait devenir définitif Chris Beard arrive après la démission de Brendan Eich qui n’aura occupé son poste de PDG que deux semaines. L’intérim de Chris Beard pourrait se transformer en nomination définitive s’il répond aux attentes.