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Matonge Ixelles

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Les Indignés du Congo - Matonge: près de 200 arrestations, Béa Diallo agressé. La soirée de vendredi a une nouvelle fois été chaude dans le quartier Matonge, à Ixelles, alors que le président sortant de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila, a été réélu avec 48,95% selon les résultats communiqués dans l'après-midi par la Commission électorale nationale indépendante (Céni). Les pro-Tshisekedi et les anti-Kabila sont descendus dans la rue pour dénoncer le soutien de la Belgique à un régime qu'ils estiment non démocratique. 192 arrestations En fin de journée et dans le courant de la soirée, la police, présente en nombre dans les environs de la Porte de Namur avec notamment deux auto-pompes et un hélicoptère, a procédé à 192 arrestations administratives et quatre arrestations judiciaires, parmi lesquelles au moins deux personnes qui avaient jeté des cocktails Molotov.

Caméraman mordu par un chien policier Les manifestants arrêtés administrativement ont été emmenés, pour vérification d'identité, dans six cars de la police. Béa Diallo pris pour cible. TERRA PRESSE. A La Une Ouverture des Etatd généraux de la jeunesse africaine de Bruxelles Ouverture ce samedi 3 avril à l'Uniuversiré international de Bruxelles des Etats généraux de la jeunesse africaine de Bruxelles Derniers Articles Par Catégorie Congo: une goutte de trop?

Projection débat du film documentaire Congo: une goutte de trop? Le 16 décembre 2011, la commission électorale nationale indépendant(CENI) publie les résultats des élections présidentielles en République Démocratique du Congo. Plusieurs événements se sont donc écoulés pour que l’on arrive à cette goutte de trop, l’élément déclencheur de la révolte pour la plus grande majorité des Congolais de la diaspora: la tricherie lors des dernières élections présidentielles qu’ils ont appelé » holdup électoral ».

Parmi les intervenants, Pie Tshibanda, psychologue; Cheik Fita, journaliste; Hawa Djabali, essayiste ; Modi Ntambwe responsable associative… « Congo : une goutte de trop ? Le Groupe ACP vise la solidarit Groupe des Etats d? AMAF Belgique. 1. Introduction - Méthodologie appliquée pour produire le présent document. En réécoutant attentivement les différentes interventions des 6 participants de l’émission Africana du jeudi 01/02/2007 sur les Médias Congolais de Belgique, nous avons tiré un premier document qui reprenait presque mot à mot les points de vue exprimés.

Puis nous avons interprété ces points de vue pour dégager un second puis un troisième document, celui-ci, qui en fait une sorte de synthèse revue et corrigée. Cette dernière nous permet de faire quelques commentaires et de repérer quelques thèmes ou sous-thèmes d’un probable futur congrès. 2. Deux exemples à l’appui des discussions. Exemple 1 : Attitude des médias belges lors de l’élection présidentielle de 2006 en RDC. De l’avis des participants, l’attitude des médias belges lors de l’élection présidentielle de juillet et octobre 2006 en RDC peut se ramener essentiellement à : - une différence nette de regards selon que l’on est francophone ou néerlandophone. 3. 4. Uhuru Movement (Belgium) L'extrême-droite s'intéresse à nous, et nous ; quels sont nos intérêts ? « Dégage, sale nègre ! » ou le continuum colonial. 4 janvier, Bruxelles, 15h30. Toléré pendant une trentaine de minutes, un sit-in s'est achevé sur les marches de la Bourse, une heure et demie plus tôt.

L'objectif des manifestants : « Prier pour ramener la Justice au Congo ». Réunie à l'appel des pasteurs congolais de Belgique, la centaine de personnes présentes a majoritairement quitté les lieux. Comme d'habitude en surnombre et très nerveuses, les forces de l'ordre quadrillent encore les alentours. Sur le trottoir, Cathy Mubenga tente de ne pas y prêter attention. Soudain, un policier en civil se dresse devant Cathy ! « Pendant que je marchais, j'ai senti un violent coup de pied dans mes jambes : je suis directement tombée par terre », poursuit la mère de famille. « C'était les policiers qui étaient sur moi et qui voulaient me menotter. D'une violence inouïe, l'ensemble de la scène a été filmée par Roger Bongos, cadreur professionnel, rompu à se faire oublier des forces de l'ordre en plein travail de répression (1). Racisme ordinaire.