Impression 3D : OVH mène ses tests. Impression 3D d'organes : bientôt des usines de pièces de rechange humaines. Une imprimante 3D qui combine fax, scanner et imprimante. C’est sans doute la prochaine évolution majeure des imprimantes 3D. On parle beaucoup de scanners 3D en ce moment, qui permettent de modéliser des objets déjà existants pour les reproduire (comme le MakerBot Digitizer). Mais ne serait-ce pas mieux d’avoir une seule machine pour tout faire ? Plusieurs projets sont dans les cartons à ce sujet en ce moment, comme la prochaine machine de chez AIO Robotics, qui ne sortira que le 4 septembre sur Kickstarter mais qui est déjà annoncée comme une révolution.
La firme a posté son annonce sur le forum de la RepRap et attiré beaucoup d’attention. Cette nouvelle imprimante intégrera en effet un scanner. --Cet article a été rédigé par +Flavien. Conférence sur l’artisanat et l’impression 3D. Publié par : Tatiana / 10 juillet 2013 « Nombreux sont les secteurs touchés par la crise. Cependant, un semble s’en tirer mieux que les autres : l’artisanat. Avec 300 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France et 430 000 emplois crées en 7 ans, l’artisanat est un acteur de poids dans le tissu économique français. » Le 30 mai dernier, AlittleMarket a mis en avant ce secteur encore trop oublié en organisant une conférence au théâtre du Ranelagh, le 30 mai 2013.
A travers un format dynamique et innovant, 4 intervenants aux profils très différents, avaient donc pour objectif d’explorer, sous l’écoute attentive de quelques 200 invités, les diverses facettes de ce secteur en pleine mutation : Parmi eux, Bertier Luyt, le fondateur du Fabshop, qui présente son parcours dans ce milieu de l’impression 3d, et y expose les enjeux et intérêts de ce nouveau marché innovant. Pour voir les autres conférences : La tête dans le flux : les makers. Ce mois-ci c’est Olivier Heinry qui anime notre chronique radiophonique « La tête dans le flux », et nous parle des « makers ».
Contrairement à l’infobésité (le big data), phénomène très récent, ou la singularité, phénomène n’ayant pas encore eu lieu, derrière le maker se cache en fait une pratique très ancienne. Le maker, c’est le cousin du hacker, et son terrain de jeu, son biotope, c’est le fablab. Si l’on examine le terme de maker lui-même, il s’agit encore une fois d’un terme anglais, un substantif décrivant un individu, bientôt ou presque une profession dérivé du verbe « to make », qui signifie donc faire dans le sens de construire, réaliser, fabriquer. Mais le maker n’en est pas pour autant un fabricant, l’industriel qui produit des objets en masse, ni un constructeur, comme l’est Martin Bouygues, ni un groupe d’artistes au pied léger comme le sont les machines de l’île.
Tags: hackers, latetedansleflux, makers. Parution de « L’impression 3D » aux Editions Eyrolles. MiniCut2d. Regardez la vidéo ci-dessous pour voir ce que vous pouvez faire, entre autres, avec la MiniCut2d : La MiniCut2d est une petite machine qui va vous permettre de fabriquer des d'objets variés par découpe de polystyrène avec un fil chaud piloté par ordinateur (port USB). Mon idée directrice a été de faire une machine pour tous.
Je l’ai donc conçue suivant les trois axes suivants : On branche et ça marche : elle sera livrée montée et testée, tout sera fourni avec, jusqu’au câble USB.Un logiciel sur mesure utilisable par tous : je l’ai écrit moi-même pour pouvoir contrôler son bon fonctionnement et sa facilité d’utilisation.Un rangement facile (tout le monde n’a pas un atelier pour bricoler) : la MiniCut2d est pliable et de taille contenue, elle tient dans un tiroir de commode ou sur l’étagère d’une penderie. Tout l’intérêt de la 2d pour faire des objets 3d ! Il est difficile de dessiner en 3 dimensions. Soit en jouant sur l’épaisseur du matériau découpé.Soit en créant des assemblages. Microsoft intègre les imprimantes 3D dans Windows 8.1.
C'est une excellente nouvelle pour l'impression 3D, qui montre s'il le fallait encore l'intérêt croissant pour la technologie. Alors que le leader du marché grand public Makerbot vient d'être racheté près d'un demi milliard de dollars par Stratasys, Microsoft a annoncé mercredi soir que Windows 8.1 prendrait en charge les imprimantes 3D en natif. "Créer un objet 3D sur votre PC sera aussi facile que d'écrire un document dans Word et l'envoyer à l'impression. Tout comme l'édition de de bureau a changé la façon dont nous écrivons, nous pensons que la fabrication de bureau va transformer la façon dont nous créons", explique Shanen Boettcher, le directeur du Startup Business Group de Microsoft. "Beaucoup d'experts pensent que l'impression 3D pourrait aider à faire éclore une Renaissance de la fabrication, et certains analystes des marchés prédisent que le marché global de l'impression 3D pourrait attendre 3,1 milliards de dollars d'ici 2016", ajoute-t-il.
[lecture] Le rapport complet sur les FabLabs dans le monde. #fablab #diy #hack. Impression 3D : le salon 3D Printshow à Paris en novembre. Après l'immense succès du préfinancement de l'imprimante 3D Buccaneer, est-ce un signe supplémentaire que l'impression 3D s'apprête à devenir un véritable phénomène de société ? L'agence Team Awesome, qui organise la prestigieuse conférence TED de Londres, a décidé d'organiser les 15 et 16 novembre 2013 le premier 3D PrintShow de Paris, un an après la première édition du salon en Grande-Bretagne. Il se déroulera quelques jours seulement après le 3D PrintShow de Londres.
Mis en place au Carrousel du Louvre, le salon 3D PrintShow Paris présentera les dernières évolutions de l'impression 3D, avec démonstrations sur place, ateliers de fabrication, séminaires, défilés de mode, création et présentation d'objets destinés à l'architecture, l'archéologie, la musique, le cinéma ou encore la médecine. Sans oublier bien sûr les objets d'art, qui seront exposés. Pendant deux jours, sept espaces seront proposés au public. Une bonne occasion de découvrir les possibilités offertes par l'impression 3D. Stratasys Acquiring MakerBot In $403M Deal, Combined Company Will Likely Dominate 3D Printing Industry. Today Stratasys announced that it has acquired MakerBot, as we first reported, in a stock deal worth $403 million based on the current share value of Stratasys. The combination of the companies brings together a leader in 3D industrial printing and manufacturing, with the emerging leader in desktop 3D printing, which the companies said in a press release should help drive “faster adoption of 3D printing” across all categories.
MakerBot will continue to operate as a separate company from Stratasys as part of the deal, which is reportedly stock-for-stock transaction. It’ll be a subsidiary of Stratasys, but will serve the consumer and desktop market segment while Stratasys continues to focus on its existing industry placement. MakerBot was founded in 2009, and has since sold over 22,000 3D printers, with its most recent model making up 11,000 of those sales coming from the Replicator 2, which it launched back in September 2012. Une prothèse de bec d'aigle fabriquée avec une imprimante 3D. 3D Printer & 3D Printer Filament: Amazon.com. 3D Printing Helps Ford Cut Production Time on Some Parts by 25% Companies are continuing to reap the benefits of 3D printing, a decades-old technology that has increased in popularity over the past few years as the prices of printing machines and materials have come down.
The Wall Street Journal recently took a look at how three major U.S. manufacturers — Ford, GE and Mattel — are using 3D printing to cut costs and production times during the prototyping phase. Ford uses the technology to print cylinder heads, brake rotors and rear axels for test vehicles. Thanks to 3D printing, production time for one type of cylinder head, used in its fuel-efficient EcoBoost engines, is cut down from four to five months to three, shaving 25% to 40% off production time. Earlier casting methods required that the mold be cut from sand; 3D printing allows Ford to skip the cutting process and pour the metal directly into the molds. Image courtesy of iStockphoto, BartCo. Dupliquer des objets avec du sable intelligent. On ne sait pas encore quelles peuvent être les applications concrètes, mais elles sont prises suffisamment au sérieux pour que le prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) ait accepté d'y consacrer un laboratoire et des ressources importantes.
Une équipe de chercheurs de l'université technologique américaine travaille actuellement au développement de "grains de sable" connectés, qui permettront de dupliquer n'importe quel objet simplement en le recouvrant. Actuellement, pour reproduire un objet physique, le moyen le plus rapide prend plusieurs heures. Il faut scanner l'objet en 3D, ce qui peut être facilité par les caméras de type Kinect et les logiciels dédiés comme Skanect ou ReconstructMe . Ils permettent de filmer l'objet et d'obtenir immédiatement sa représentation en modèle 3D : Mais pour dupliquer physiquement l'objet, il faut alors envoyer ce modèle dans un atelier, ou utiliser soi-même une imprimante 3D dont les dimensions sont limitées. UK Government Gives 3D Printing Projects £15M Boost. Top Office créé l'événement avec l'impression 3D en France (3. Mercredi 29 mai 2013 3 29 / 05 / Mai / 2013 06:30 Top Office continue d'innover. L'enseigne, spécialiste du matériel de bureau compte aujourd'hui 36 magasins en France et déjà en un an une quinzaine de drives.
Ci-dessous le drive du magasin de Villeneuve d'Ascq. L'enseigne propose dorénavant de l'impression en 3D dans 2 de ses magasins : Villeneuve d'Ascq et Tours et bientôt d'ici l'été dans 5 magasins. Top Office a passé un partenariat avec CKAB , représentant exclusif en France de Makerbot, la start-up américaine.
Voici le modèle d'imprimante qu"on peut retrouver en magasin. L'enseigne propose d'imprimer n'importe quel objet en 3D au format 15x15 et dans 3 couleurs, ce qui est déjà beaucoup. A partir d'une simple clé USB, il est possible de se connecter à l'imprimante 3D, disponible en magasins. Les prix rendent cette technologie accessible : à partir de 9,90 € l'objet. Voici des exemples : Quels champs d'utilisations et d'usages pour la 3D ? WikiHouse. Wikihouse – La construction de maison open source. Par Korben J'ai déjà vu des reportages sur les maisons à monter soi-même et à chaque fois, j'admire les gens qui se lancent là dedans.
Car même si c'est "vendu" comme étant facile, monter soi-même sa maison en kit est un vrai challenge. Moi, je sais que ça me saoulerait assez vite... Mais certains le font et y arrivent plutôt bien. Le matériau est essentiellement le bois, qui est prédécoupé en usine et livré au client sur son terrain. Alastair Parvin est un architecte anglais qui croit beaucoup à ce concept et qui a décidé de lancer un wiki qui permettra à tout le monde de télécharger les plans 3D d'une maison en kit à monter et à "imprimer" soi-même. Il ne reste plus ensuite qu'à les assembler. Le concept est énorme, car les matériaux et les machines s'améliorent d'année en année, faisant des maisons en kit une alternative de qualité. Wikihouse en est encore à ses débuts, mais risque de devenir une véritable institution à l'époque du DIY et de l'imprimante 3D.
Et vous, ça vous fait envie ? Des lieux scannés en 3D avec un laser. Le studio Scott Page Design utilise des lasers pour réaliser des scans en 3D de bâtiments ce qui permet d’en visualiser toutes les dimensions. 3d scan. Quand l'impression 3D vient défier la gravité. Prendre un fichier 3D et le faire imprimer dans une machine : cette utilisation se démocratise à peine que nous voyons déjà de nouvelles méthodes plus aériennes voir le jour. En effet, la société Mataerial a mis au point un bras robotisé qui va venir donner forme à des objets qui défient la gravité. Pour ce faire, l’engin va extruder une résine (contenant des polymères thermodurcissables) qui va se solidifier dès qu’elle sera mis à l’air libre. D’où l’apparente défiance de la gravité puisque la machine pourra créer n’importe quelle forme sans se soucier de la gravité.
On pensera forcément au premier stylo d’impression 3D que nous vous avions présenté en Février dernier. Sauf que ce dernier faisait appel à vos talents d’artiste puisqu’il vous fallait réaliser le tracé à main levée. Mataerial entre davantage dans cette définition de l’impression 3D puisqu’il suffit de réaliser ces formes longilignes sur un fichier 3D pour que la machine vienne suivre le tracé. (source) 3D. Dreambox, un distributeur d'objets imprimés en 3D. Mercredi 29 mai Divers - 29 mai 2013 :: 13:31 :: Par Axel-Cereloz Un nouveau distributeur a fait son apparition sur le campus de Berkeley aux États-Unis.
Il ne distribuera ni des bonbons, ni des barres chocolatées, mais des impressions 3D. Trois étudiants de l’Université de Californie, Berkeley, ont décidé de mettre en place un distributeur d’un genre nouveau sur leur campus. Appelé Dreambox, l’appareil permettra aux étudiants d’avoir accès à une imprimante 3D. L’université est en effet équipée de cette technologie mais la priorité est donnée à certains étudiants et l’attente peut durer un mois avant de pouvoir imprimer ce que l’on veut. Pour utiliser ce distributeur, il suffit de vous inscrire via un interface, vous pouvez ensuite soit proposer un modèle que vous allez créer soit sélectionner un objet parmi le catalogue. Les concepteurs de la machine l’ont bien précisé : leur Dreambox ne servira pas à imprimer des armes.
(source) Un implant imprimé en 3D sauve la vie d'un bébé. Baby's life saved with groundbreaking 3D printed device from U-M that restored his breathing. Aux USA, un élu propose de réguler les imprimantes 3D comme les armes. La semaine dernière, nous rapportions qu'un étudiant avait réussi à tirer un coup de feu avec une arme conçue par une imprimante 3D. Le pistolet, fait de plastique, doit en théorie inclure une pièce en métal afin que celui-ci puisse être repéré par les détecteurs de métaux (loi américaine de 1988 sur les armes à feu indétectables). Or, la présence de cet élément n'est pas garantie. Celui qui cherche à créer une arme fonctionnelle en plastique peut très bien ne pas être au courant de la législation ou ne pas vouloir la respecter.
Même à supposer que la pièce de métal s'avère indispensable au bon fonctionnement de l'arme, il est probable que des alternatives en plastique se fassent jour. L'arme sera alors indétectable, ce qui pourrait poser de gros problèmes de sécurité publique. Depuis, les réseaux P2P ont pris le relais. CBS explique que l'élu veut réguler le marché des imprimantes 3D en soumettant l'achat d'une machine à autorisation. Un sénateur américain souhaite légiférer sur les imprimantes 3D capabl. Envie d'une pizza? Votre imprimante 3D pourrait bientôt la confectionn.
Une imprimante 3D à nourriture serait en cours de création. Imprimez vos Google Glass avec une imprimante 3D ! #DIY. Le "Lulz Liberator", pistolet discount imprimé en 3D. 11 ans et inventeur grâce à une imprimante 3D ;-) L'invisibilité possible grâce aux imprimantes 3D ! Du matériel imprimé en 3D pour l’U.S. Navy ? Top Office se met à l'impression 3D à la demande. A short essay on 3D Printing | hellofosta. 3D printing: A new brick in the Great Wall. Nolife - Le site de la chaîne de télé.
Page d’index. Open Source Ecology. The Open Source Ecology. Sept façons de fabriquer en 3D. Additive Manufacturing. Impression 3D internet. Après les imprimantes et les photomatons, voici le scanner 3D. MotherBoard v2.4. RepRap Central DIY 3D Printer.
ATTENTION : l'impression 3D pas forcément libre ! [espace rejet]