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Personnalisation de l'information

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Le risque de l’individualisation de l’internet. La lecture de la semaine, il s’agit d’une petite partie d’un article paru dans la New York Review of Books. Intitulé « Mind Control and the Internet » (Internet et le contrôle de l’esprit), l’article de Sue Halpern consiste, comme c’est le cas la plupart du temps dans la New York Review of books, en le développement d’une thèse qui s’appuie sur la critique de plusieurs livres récemment parus. Je n’ai gardé qu’un passage de ce long article, celui où Sue Halpern recense le livre de Eli Pariser, The Filter Bibble : What the Internet Is Hiding from You.

Ce livre montre notamment que depuis décembre 2009, Google vise à donner à toute requête effectuée sur le moteur de recherche un résultat qui corresponde au profil de la personne qui fait la recherche. Cette correspondance s’applique à tous les usagers de Google, même si elle ne prend effet qu’après plusieurs recherches, le temps qu’il faut à l’algorithme Google pour évaluer les goûts de l’usager. Xavier de la Porte. Eli Pariser: Beware online "filter bubbles". Why a hyper-personalized Web is bad for you (Q&A) | Geek Gestalt.

We all like having things tailored to our specific needs and interests. But Eli Pariser thinks we should beware of the substantial risks inherent in the increasing personalization of the Internet. Better known (so far) as the executive director of the progressive political action committee MoveOn.org, Eli Pariser is making noise these days as the author of "The Filter Bubble: What the Internet is Hiding from You. " His new book, which was released yesterday, argues that the latest tools being implemented by the likes of Google and Facebook for making our Internet experiences as individual as possible are taking us down some very unsavory paths.

First, of course, Pariser explains the dynamic we all face online today: that no two people's Web searches, even on the same topics, return the same results. Yesterday, Pariser sat down with CNET for a 45 Minutes on IM interview about his book and the problems that come with increasing personalization, and why people should care. How so? SOS : il faut sauver la sérendipité ! ArticledefOE. The Database of Intentions. So nothing really new in the news today, I wanted to take a graf or two and explain what I mean by The Database of Intentions, referred to in this post.

That way I can use it again and again and just link the phrase to this post. Hey, we love the web, Ted Nelson lives…. The Database of Intentions is an idea central to the book I’ve been working on for the past year or so, which is tentatively titled “The Search: Business and Culture in the Age of Google” (Penguin/Putnam/Portfolio 2004).

As with many in this industry, it all started with the Macintosh. Back in the mid 80s I was an undergraduate in Cultural Antropology, and I had a class – taught by the late Jim Deetz,which focused on the idea of material culture – basically, interpreting the artifacts of everyday life. It took the tools of archaeology – usually taught only in the context of civilizations long dead – and merged them with the tools of Cultural Anthropology, which interpreted living cultures. L'indexation est-elle soluble dans le(s) bouton(s) ? Au commencement étaient les folksonomies. Il y a encore peu de temps, en gros depuis 2005 et malgré le scepticisme intial à leur encontre, les folksonomies (indexation collaborative) étaient partout présentes sur le web.

Leur âge d'or culminant entre 2006 et 2008. La plupart des outils d'accès, de YouTube à Dailymotion en passant par Delicious ou FlickR leurs réservaient une place centrale comme mode d'accès à l'information. (Diapositive extraite de ma présentation au congrès de l'ABF en 2007, "Indexation sociale et bibliothéconomie de masse. " Voir notamment les diapos 11 à 29) Elles ont aujourd'hui presqu'entièrement disparu ou n'occupent plus qu'une portion congrue des modes d'accès et de recherche d'information.

Un amorçage reposant sur l'étalement et le déploiement de signifiants, eux-mêmes déclencheurs de la construction d'une recherche de signifiés. Puis vinrent les boutons. Lazyweb. Capitalisme linguistique et libéralisme cognitif. La guerre des boutons. "But who gets access? Google remet l’identité numérique au centre du Web et consacre le ".me" Jusqu’où ira « Monsieur plus » ? Que signifie ce revirement ? Qu’est ce qui pousse Google à s’intéresser de si près à notre propre personne ? Explications. "Panda m’a tuer" - le grand nettoyage de printemps Le premier virage effectué par Google n’a pas touché directement les personnes mais tout l’éco-système du web. Pour la première fois Google a modifié profondément ses algorithmes de recherche, d’abord aux Etats-Unis au printemps puis en France il y a un mois, avec une nouvelle version du moteur de recherche : Panda.

Le résultat a été spectaculaire : certains sites aux Etats-Unis ont perdu 90% de leur trafic du jour au lendemain. Pourquoi ce mouvement risqué ? Google, sous la pression de Facebook, a intégré la dimension « sociale » du web et tenté d’introduire une dimension plus qualitative à son moteur de recherche. . « Google+ » : du réseau social à l’annuaire universel Google + est le deuxième volet de la riposte de Google à Facebook. . « Pourquoi Google veut devenir l’annuaire du monde »