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A propos Hindouisme

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Hindouisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hindouisme

Vous lisez un « bon article ». La particularité de l'hindouisme est de n'avoir ni prophètes ni dogmes centraux[7]. Cependant, les hindous contemporains croient en l'autorité du Veda, qui, selon la tradition, fut révélé aux hommes, grâce à la « vision » des Rishi[8]. Le terme persan hindu (du sanskrit Sindhu) désignait au départ, pour les musulmans qui pénétrèrent en Inde, les habitants du bassin de l'Indus[6]. L'hindouisme se présente comme un ensemble de concepts philosophiques issus d'une tradition remontant à la protohistoire indienne[9], la pratique hindouiste étant sans doute issue d'une tradition orale très ancienne, proche de l'animisme[10]. Étymologie[modifier | modifier le code] Hindū, ou hindou, est le nom persan désignant l'Indus, d'abord rencontré dans l'ancien persan, correspondant au mot védique sanskrit Sindhu, – l'Indus[12].

Le terme Hindou a été introduit dans le monde occidental par le biais de la langue anglaise[16]. L'hindouisme. L'Hindouisme L'Hindouisme concerne 82% de la population de l'inde.

L'hindouisme

Les 18% restants se partagent entre les Musulmans (12,12%), les Chrétiens (2,34%), les Sikhs (1,94%), les Bouddhistes (0,76%), les Jains (0,40%), les autres religions (0,39%), et les non déterminés (0,5%). Ces chiffres du recensement de 1991 se rapportaient à une population totale de 838 568 000 personnes. On peut penser que la distribution actuelle n'est pas très différente. Le recensement de 2001 a dénombré la population totale de 1 027 015 247 personnes. Le dharma Le mot Hindouisme n'est pas d'origine indienne mais, forgé par les européens, il dérive du terme Sindhu, c'est à dire la partie ouest de la péninsule indienne. La place et le rôle de l'homme dans le monde sont censés devoir se conformer à cet ordre naturel. Le karma Un autre concept gouverne la vie de tous les Hindous : c'est le karma .

Ajivika. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ajivika

Ājīvika (sanskrit en devanāgarī : आजीविक; également écrit sous les formes Ajivika et Ajivaka) désigne un ancien mouvement philosophique et ascétique fondé par Gośāla[1] appelé aussi Maskariputra[2] vivant vers le Vème siècle avant J.C. en Inde. L'Ajivika est proche du bouddhisme et du jaïnisme. Ses partisans étaient des śramanas, des moines mendiants. Leur doctrine était un fatalisme strict : l'âme de chaque créature transmigre selon un principe cosmique impersonnel appelé "niyati" ("destinée") sans dieu; le déterminisme et le karma étaient leurs valeurs principales avec l'ascétisme[3]. Aperçu historique[modifier | modifier le code] Des fragments de la doctrine ājīvika ont été préservés dans des sources bouddhistes ou jaïnes. Certains considèrent Makkhali Gosala comme le fondateur de ce courant religieux.

Le Samaññaphala Sutta du canon pali bouddhique mentionne lui aussi Gosala et un autre ājīvika éminent Purana Kassapa. (en) Basham A.L. Jaïnisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jaïnisme

Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2]. Le jaïnisme ou dharma jaïn compte près de six millions de fidèles dans le monde, ascètes et laïcs confondus, en majorité en Inde[3] (30 000 en Europe et 100 000 aux États-Unis[4],[5]).

Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants.