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Habitat participatif: une première pierre à l'édifice. Habitat participatif: une première pierre à l'édifice Le 26 mai, près de 300 personnes se sont pressées à l’Hôtel de Ville pour assister à la réunion de lancement de cet appel à projets un peu particulier. En effet, il conduira à la construction de trois immeubles conçus et gérés par ses habitants. L’auditorium n’y suffisait pas. Il a fallu ouvrir une autre salle et organiser une télétransmission des échanges. En effet, ce lundi 26 mai, ils étaient nombreux à se presser à l’Hôtel de Ville pour participer à la réunion de lancement de l'appel à projets Habitat Participatif. Ainsi, ils ont pu poser leurs questions à Ian Brossat, l’adjoint chargé du logement, et aux responsables de cette initiative inédite dans la capitale.

>> Tout savoir sur l'appel à projets Pour mémoire, le concept d'habitat participatif est simple : un groupe de personnes s’associe pour concevoir et faire construire un immeuble. Les trois parcelles L'appel à projets est désormais lancé. Habitat groupé, mode d'emploi | Page 4. Réagissez : Partagez : Très loin des communautés post-soixante-huitardes, Jean-Louis et Martine nous ouvrent les portes d’Anagram, un habitat groupé participatif de la métropole lilloise. Le succès de cet éco-habitat groupé n’est plus à démontrer : cela fait 20 ans que ça dure ! Cette visite est l’occasion d’en savoir un peu plus sur ce mode de vie très au goût du jour ; et également l’occasion de donner quelques pistes à celles et ceux qui rêvent de se lancer.

Plutôt accueillant cet habitat participatif de la métropole lilloise ! Anagram regroupe en effet 10 logements dont la surface varie entre 50 et 160 m² . « Ce mode de vie est idéal pour donner aux enfants d’autres repères. Et c’est bien là l’essence même de l’habitat groupé : se réunir autour de valeurs communes. « Nous n’avons rien à voir avec une communauté de hippies ! CG : Comment l’aventure Anagram a-t-elle débuté ? Au départ, nous étions une dizaine de familles dont certaines vivaient déjà dans différents habitats groupés. La Maison du Val, un habitat autogéré.

Alain His © Olivier Ratouis Dossier : Effervescences de l’habitat alternatif La Maison du Val a ouvert à Meudon en 1980, portée par les principes de l’habitat autogéré. Dix familles se sont rassemblées ici, représentant au départ 18 adultes et 27 enfants. L’espace conçu prend la forme d’un immeuble en U faisant de trois à six étages. À côté des logements de chacun, en partie communicants et tous différents, et d’un jardin intérieur à ce petit îlot, le groupe retient l’idée de donner une place essentielle aux espaces communs, lesquels forment un ensemble de plus de 250 m².

Alain His, né en 1937, est marié, ingénieur et père de quatre enfants. Question 1 Quelle est la philosophie qui a présidé à la création de la Maison du Val à Meudon ? Question 2 Quel a été le processus de conception ? Quelles ont été les relations avec l’architecte ? Question 3 Comment la vie a-t-elle évolué au cours des années ? Question 4 En quoi habiter dans de l’autogéré est-il différent de l’habitat standard ?

Au Buisson Saint-Louis, l'habitat participatif fête ses 30 ans. Les années ont beau défiler, le Lavoir du Buisson Saint-Louis ne s’essouffle guère. Difficile de s’en rendre compte de la rue, la copropriété n’offrant aux passants qu’une grille en fer comme il en existe tant à Paris. Mais dans les murs, il y a de la vie, bien plus que dans la majorité des résidences parisiennes. C’est tout le principe de l’habitat participatif, souvent présenté comme la troisième voie au logement: la volonté de se réunir entre habitants autour de valeurs communes. Dans le lot figurent bien souvent la solidarité, la mixité sociale, la mutualisation des biens et des espaces, l’envie d’être acteur dans la construction de son logement… Des habitants promoteurs Les quinze familles du Lavoir Buisson Saint-Louis ont décidé de vivre ainsi il y a tout juste trente ans en rachetant une parcelle de terrain, en plein Belleville, là où le quartier venait laver son linge autrefois.

Pièces de théâtre et concerts à domicile Et tout ça vit encore au bout de trente ans de vie commune. Invit/ 1ère rencontre Montreuilloise de l’Habitat Participatif | La Fabrique. Samedi 1er décembre de 14h à 19h à Couleur d’orange (9, rue Barbès – 93100 Montreuil)-Métro Robespierre La question de l’habitat participatif a souvent éveillé intérêt et curiosité chez un certain nombre d’artisans de la Fabrique. La Conseil de Fabrique a donc travaillé en lien avec la ville de Montreuil et des acteurs du sujet pour organiser un temps d’échange sur ce thème.

Ce moment permettra de découvrir les expériences Montreuilloises réalisées et à venir, de revenir sur les enjeux de l’habitat participatif et de comprendre les processus qui permettent la réalisation de ce type d’opérations. « Mobiliser les acteurs du territoire pour concevoir l’habitat autrement, une ville plus solidaire. » Ce forum ouvert s’inscrit en continuité de la dynamique engagée à Montreuil en matière d’habitat participatif. Vos contributions viendront conforter cette démarche locale et alimenter dès à présent le programme d’actions communautaire de l’agglomération Est Ensemble. Habitat groupé. Un projet au Manio. Depuis plus d'un an, ils se réunissent une fois par mois pour échafauder ensemble les plans de leur futur immeuble au Manio. Auparavant, les futurs associés ne se connaissaient pas, ne se côtoyaient pas. Les dix Lorientais qui portent le premier projet local d'habitat groupé ne sont ni une bande de copains, ni de doux rêveurs.

«Ce n'est pas un projet communautaire. On n'est pas obligé d'être amis. Mais au moins on connaîtra ses voisins avant d'intégrer notre futur logement», précise Jacques, l'un des membres de l'équipe qui s'est véritablement constituée en début d'année dernière. Sortir de sa bulle En 2007, un premier groupe avait envisagé un projet d'habitat groupé et coopératif à Lorient. Des parties communes Au fil des nombreuses discussions, ils se sont mis d'accord sur une habitation en bois de deux étages et écologique. L'art du consensus «C'est plus long de se mettre d'accord à plusieurs», sourit l'un des membres. Habitat groupé : le choix de treize familles de Louvigny.

Un projet collectif. Construire à plusieurs - Les économies d'un projet collectif - Le montage juridique - Le permis de construire - La méfiance des banques - La complexité administrative Un projet à plusieurs Après dix ans en immeuble collectif, nous avions le souhait de construire une grande maison comportant plusieurs logements et des parties communes partagées par tous, cumulant ainsi les avantages du collectif et de l'individuel. Avec deux autres familles, nous avons pu réaliser notre projet en 1994. La plus grande difficulté d'un tel projet n'est pas tant la construction en elle-même, mais bien plutôt le fait de pouvoir réunir des familles qui ont le même projet simultanément. Nous occupons le logement situé à l'extrémité Ouest du bâtiment. Construire à plusieurs présente de nombreux avantages : Les échanges avec les voisins sont enrichissants, et les enfants jouent tous ensemble. Les économies d'un projet collectif Le montage juridique Le dépôt de permis de construire La méfiance des banques.

Ils ne se connaissaient pas. Ils vivent ensemble dans des logements écologiques et autoconstruits. Ils ne se connaissaient pas mais partageaient un même projet : habiter un logement groupé autoconstruit et écologique. Alors ils se sont rassemblés et ont créé l’écolieu du Jointout, un espace à la frontière entre regroupement agricole et lieu de vie collectif. Ca marche, mais ce n’est pas toujours facile. Vivre et travailler autrement. Voilà ce qui a poussé 4 familles qui pour la plupart ne se connaissaient pas à se réunir pour réfléchir à la mise en place d’un d’écolieu. « L’idée était de créer un habitat groupé en autoconstruction, écologique, avec certaines infrastructures partagées comme une bibliothèque, la buanderie, une salle commune ou une voiture », explique Thomas, un maraîcher allemand engagé dans l’aventure.

Dès le départ, le groupe qui s’est constitué autour du projet a émis le souhait de s’installer en compagnie d’agriculteurs. « On ne voulait pas que ce soit un écolieu dortoir, d’où l’importance d’avoir des gens qui travaillent sur place. Besoin de cohérence. L'habitat coopératif reste à construire dans la région. Es organisateurs de la journée de réflexion sur les coopératives d'habitants souhaitaient mettre en avant les solutions apportées par cette forme différente d'accession ou de partage de propriétés. Ils ont mis dans le mille au regard du nombre de participants, jeudi dernier à Bordeaux, « la preuve que ces nouvelles formes d'habitat germent dans de nombreuses têtes », se félicite Martine Alcorta, la vice-présidente du Conseil régional, chargée de l'habitat. Mais de nombreux obstacles à l'émergence de ces projets demeurent.

La barrière du foncier « On ne peut pas laisser penser que ces formes d'habitat loué ou acheté collectivement puissent un jour répondre aux besoins massifs de logements », estime Jean-Pierre Labroille, membre (CGT) du Comité régional du logement. Le premier obstacle sur lequel butent les candidats, souvent militants, à cette forme mutualisée d'accession à la propriété et de gestion, est le foncier. L'obstacle statutaire. Heurts et bonheurs de l'habitat groupé. Le Village Vertical. Quelques villageois verticaux - juillet 2013 - photo (c) S. Perraud le Village Vertical, notre coopérative d'habitants pilote située au 3, rue Terracher à Villeurbanne - Maisons-Neuves (Rhône) Image de l'immeuble qui accueille la coopérative d'habitants depuis juin 2013 un habitat social et écologique initié et conçu par ses habitants, dont ils sont, collectivement, l'unique propriétaire, et qu'ils gèrent démocratiquement, sans spéculation ni but lucratif.

Crise financière mondiale, flambée du prix des énergies fossiles, explosion de la spéculation immobilière, ghettoïsation urbaine, réchauffement climatique, crise du logement social, montée des individualismes, développement de la précarité... Qu'est-ce que c'est ? Initié à l'automne 2005, le Village Vertical s'est concrétisé en juin 2013 avec l'emménagement de 14 ménages, coopérateurs de notre SAS coopérative à capital variable, créée en décembre 2010. Nous n'avons aucun logement disponible. Lien vers notre dossier de presse Les échos du Village. Eco-Quartier Strasbourg - Accueil.