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Le web 2.0 a transformé la fracture numérique en fracture sociale. La fracture numérique a été et est toujours une réalité, même dans nos nos pays occidentaux industrialisés.

Le web 2.0 a transformé la fracture numérique en fracture sociale

Peut être devrait on d’ailleurs en finir avec cette expression de “pays industralisés” pour évoquer les “pays informatisés”, une réalité beaucoup plus en phase avec notre époque. Certaines mauvaises langues vous diront par ailleurs que c’est d’avoir fermé les yeux sur ce changement de statut qui a fait qu’on s’est retrouvé en 2009 avec des models industriels datant d’une autre époque appliqués à une économie du “soft”, de la connaissance, avec les conséquences que l’on sait.

On pourrait disserter sur les destins croisés de Google et GM, symboles d’un mode qui se transforme mais ça n’est pas le sujet ici, revenons donc à notre fracture numérique. Au départ, si je ne m’abuse, elle était définie comme liée aux inégalités d’accès à l’outil informatique. Fracture numérique. La fracture numérique est probablement l’un des premiers concepts à l’origine de la réflexion sur le thème de l’impact social des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Fracture numérique

On a alors commencé à considérer qu’elles allaient entraîner des différences entre les possibilités de développement des populations et créer un écart entre celles qui y ont accès et celles dont ce n’est pas le cas. Développement et solidarité numérique Pour passer en revue l’histoire de ce concept, il convient de rappeler que, d’une façon générale, le rapport entre la technologie et le développement a été très souvent perçu comme un rapport linéaire. Dans les années 1960-1970, on a même encouragé - du moins en Amérique latine - de très nombreux programmes nationaux avec le soutien des organismes internationaux et bilatéraux, orientés vers le « transfert de technologie » des pays développés vers les pays pauvres. Ce discours s’est ensuite généralisé, avec l’expansion de l’internet. Facebook et Google. En volant au secours de l’internaute africain, Google et Facebook privilégient surtout leurs propres services ?

Facebook et Google

Et alors ? En Afrique subsaharienne, la neutralité du net est un concept mort-né. (De Yaoundé et de Paris) Au Cameroun, les « mbenguistes », ces « frères » vivant en Occident et venant périodiquement en vacances au pays, ne passent pas inaperçus. Certains d’entre eux ont beau essayer de se fondre dans la masse, on les repère toujours à un moment ou à un autre. Ce qui leur rappelle qu’ils sont déjà, d’une manière ou d’une autre, des étrangers. Lors de mes séjours au bled, je ne cesse de m’en plaindre : Fracture numérique - Cairn.

Plan d'action du gouvernement : Développement et numérique - 82 pages. Fracture numérique Nord-Sud: cas d'école en Afrique - ZDNet. «Le fossé numérique ne cesse de se creuser [entre les pays du Nord et du Sud], des milliards de personnes n'étant toujours pas connectées à une société qui, de son côté, l'est de plus en plus», a mis en garde le 17 juin dernier le secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, Kofi Annan.

Fracture numérique Nord-Sud: cas d'école en Afrique - ZDNet

Il s'exprimait en ouverture de la 56e Assemblée générale des Nations Unies, qui s'est tenue les 17 et 18 juin dernier à New York. Une session spécialement consacrée aux technologies de l'information. «Nos efforts doivent reposer sur les besoins réels de ceux que nous cherchons à aider, et, pour cela, nous devons garantir la participation des pays en développement à toutes les étapes», a poursuivit Kofi Annan. Bref, sans contributions étrangères les pays en voie de développement ne pourront rattraper leur retard dans le domaine des nouvelles technologies. Les objectifs de l'ONU en la matière ont déjà été fixés lors du sommet du Millénaire, le 13 septembre 2000. Les compétences numériques et les inégalités dans les usages d'internet. L’usage des TIC, particulièrement l’exploitation des contenus disponibles sur internet, place au centre la question des compétences et ressources cognitives dont disposent les individus pour s’approprier pleinement ces technologies et services dans un contexte social qui est le leur.

Considérer que l’abondance de l’information en ligne, offerte à tous sans filtre ni hiérarchie, donne à chacun une autonomie, voire une liberté absolue, c’est en effet oublier que le simple accès à « toute » l’information ne remplace en rien la compétence préalable pour savoir quelle information rechercher et quel usage en faire. Internet : ces inégalités qui dérangent. Peu évoquées par les médias internationaux, les inégalités qui sévissent sur la planète web sont cependant alarmantes.

Internet : ces inégalités qui dérangent

Enquête... 3%. C’est l’infime part de la population africaine bénéficiant d’une connexion internet, un chiffre vingt-trois fois inférieur à celui de la population nord-américaine. Ce fossé numérique rarement dénoncé par la presse internationale n’est que le reflet d’un développement inégal entre les continents, qui se traduit désormais par cet autre phénomène, celui des inégalités grandissantes quant au nombre de connexions internet par continent. Loon, le projet du Cnes et de Google pour un accès Internet via des ballons. Sur Terre, les deux tiers de la population mondiale n'ont pas accès à une connexion rapide et bon marché à Internet, notamment dans la majorité des pays de l'hémisphère sud.

Loon, le projet du Cnes et de Google pour un accès Internet via des ballons

Ces humains sans Web sont essentiellement localisés dans des pays émergents, des régions du globe à faible densité de personne ou non desservies (zones blanches). Pour les connecter entre eux et avec le reste du monde, les pouvoirs publics, des organismes et des firmes privées, comme le Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple) explorent différentes solutions. Pour s'affranchir de l'absence d'infrastructures terrestres, les satellites et les ballons sont les solutions les plus prometteuses. Depuis quelques années, des satellites de télécommunications géostationnaires embarquent des charges utiles en bande Ka, capables de fournir un service Internet à haut débit. Apporter une connexion internet dans les zones reculées - Le Figaro. Web Découvrez tous les projets menés par de grands groupes pour apporter une connexion Internet aux zones les plus isolées et difficilement accessibles.

Apporter une connexion internet dans les zones reculées - Le Figaro

Près de 5 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à Internet. Cela représente environ 70% de la population de la planète ! Les régions non équipées sont essentiellement des pays de l'hémisphère Sud qui, pour des raisons soit économiques soit géographiques, n'ont pas encore construit les infrastructures nécessaires. Comment apporter Internet aux zones les plus isolées, difficilement accessibles, telles les îles, les villages de montagne, les oasis, les grandes études de neige et de glace ? Les oubliés du numérique. 30 novembre 2015 - Les inégalités d’accès aux nouvelles technologies diminuent très nettement, notamment entre catégories sociales.

Les oubliés du numérique

Reste que 20 % de la population n’utilise pas Internet et que la moitié ne fréquente pas les réseaux sociaux. Entre 1991 et 2015, en France métropolitaine, le taux d’équipement en ordinateur à domicile (un au minimum) est passé de 12 à 80 %, selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) [1]. Le téléphone mobile s’est fortement démocratisé ces dix-huit dernières années avec un taux d’équipement de 92 % en 2015 contre 4 % en 1997. Entre 2011 et 2015, le taux de propriétaires de smartphones a été multiplié par trois (de 17 à 58 %).

Enfin, en 2015, vingt fois plus de personnes (83 %) se connectent à Internet à domicile qu’en 1998 (4 %). Qui accède à Internet dans le monde ? - Le Monde. Facebook veut rendre gratuit l’accès à Internet dans toute l’Afrique - Le Monde. Lancée en 2013 par Facebook, l’initiative « Internet.org » veut développer l’accès à Internet pour tous.

Facebook veut rendre gratuit l’accès à Internet dans toute l’Afrique - Le Monde

Trois ans plus tard et après s’être implantée grâce à cette initiative dans 22 pays africains, l’entreprise de Marc Zuckerberg est taxée par certains de vouloir augmenter ses parts de marché.