background preloader

Dette

Facebook Twitter

Les investisseurs financiers lorgnent sur la dette des pays d'Afrique. Côte d’Ivoire, Éthiopie, Rwanda, Sénégal...

Les investisseurs financiers lorgnent sur la dette des pays d'Afrique

La dette des pays les plus pauvres attirent aujourd’hui les fonds d’investissement du Nord, à la recherche de rendements plus intéressants qu’en Europe. Mais certains titres de dette vendus sur les marchés financiers internationaux par les pays africains « sont liés à des contrats dont les clauses peuvent constituer de véritables bombes à retardement », alerte Eric Toussaint, porte-parole du Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde (CADTM). Le risque : une nouvelle grande crise de la dette, comme celle de 1982, qui a conduit les pays d’Afrique à s’enfermer dans la spirale infernale des plans d’ajustement structurels imposés par le FMI. Décryptage. Dette : la zone euro continue de traîner un très lourd fardeau, Finance & Marchés.

Dettes : le monde joue-t-il à se faire peur. Mais quelle mouche avait donc piqué les marchés financiers ?

Dettes : le monde joue-t-il à se faire peur

Eux d’habitude si fébriles étaient devenus particulièrement prudents à l’égard de la dette américaine et de son fameux plafond. A quelques heures de l’échéance au-delà de laquelle les Etats-Unis risquaient de se retrouver en situation de défaut de paiement, faute d’accord entre démocrates et républicains, Wall Street était en hausse. Aucun signe d’affolement. Il faut croire que, pour cette fois, les bourses avaient vu juste. Un accord de sortie de crise a été trouvé au Sénat américain : des élus s’en sont fait l’écho il y a moins d’une heure. Car nous étions sous assistance respiratoire depuis quelques jours. Nicolas Baverez et Cédric Durand CL © Radio France A vrai dire, personne n’y croyait, mais tout le monde avait peur. La question de la dette, longtemps négligée, semble devenue aujourd’hui un des principaux instruments pour justifier des décisions de politique économique.

. « Dettes : le monde joue-t-il à se faire peur ? Un collectif rachète près de 4 millions $ de dette étudiante. Le collectif Strike Debt a ainsi annoncé mercredi avoir remboursé l'équivalent de près de 4 millions de dollars de dette étudiante contractée par 2761 personnes à travers les États-Unis auprès de l'université Everest College.

Un collectif rachète près de 4 millions $ de dette étudiante

Le groupe, composé d'économistes militants, n'en est pas à son coup d'essai: en novembre 2013, il annonçait avoir racheté l'équivalent de 13,5 millions de dollars de dettes médicales contractées par plusieurs centaines de personnes auprès d'hôpitaux ou de cabinets médicaux. Leur idée est simple: racheter à très bas prix des portefeuilles de dettes pour remettre à flot des personnes qui ont dû prendre des crédits pour se payer des soins ou des études. «Nous tirons avantage d'un phénomène que peu de personnes connaissent: certains types de dette sont revendus par des créanciers pour quelques centimes par dollars», explique Astra Taylor, membre du collectif. Le bureau de protection des consommateurs a annoncé mardi qu'il déposait plainte contre ce réseau universitaire. Les lourdes conséquences des prêts étudiants aux Etats-unis. L'actualité économique récente aux Etats-Unis a largement été dominée par les considérations portant sur la reprise économique, l'évolution de la politique monétaire ou encore les risques d'un désaccord politique sur le budget.

Les lourdes conséquences des prêts étudiants aux Etats-unis

L'ensemble de ces sujets ont occulté l'évolution inquiétante des prêts étudiants. Si cette évolution n'est pas comparable à celle ayant mené à l'éclatement de la crise globale avec les prêts hypothécaires, il n'en demeure pas moins que les menaces sur l'économie sont réelles. L'évolution des prêts étudiants aux Etats-Unis.... Le montant total des prêts étudiants américains a fortement augmenté. Dessine-moi l'éco. La dette de la France dépasse les 2000 milliards d'euros. L'Argentine contourne la justice américaine pour rembourser sa dette. L'Argentine change de stratégie : les remboursements de dette transitant par les États-Unis étant bloqués par la justice américaine, la présidente Cristina Kirchner va désormais proposer de rembourser ses créanciers privés à Buenos Aires.

L'Argentine contourne la justice américaine pour rembourser sa dette

Le gouvernement argentin a envoyé au Congrès un projet de loi qui prévoit de passer le versement des échéances de la dette de la place financière de New York à celle de Buenos Aires. "Pour sauvegarder le versement aux créanciers qui ont accepté les restructurations de dette de 2005 et 2010, (la banque publique) Banco Nacion a été désignée en remplacement de Bank of New York Mellon, sans préjuger de ce que décideront les détenteurs de bons. C'est une mesure basée sur le volontariat", a déclaré la présidente argentine. Le dernier remboursement de dette argentine aux créanciers privés, 539 millions de dollars, est bloqué depuis le 26 juin sur un compte de Bank of New York, sur décision du juge américain Thomas Griesa.

Fonds "vautours" Dette : l'Argentine au pied du mur. L'État, menacé de défaut, a un mois pour négocier avec les fonds vautours.

Dette : l'Argentine au pied du mur

La pression s'accentue sur l'Argentine dans le bras de fer qui l'oppose aux «fonds vautours». En théorie, ce lundi 30 juin est la date à laquelle le pays se retrouve en défaut de paiement s'il ne règle pas une échéance de sa dette. Pour montrer «sa volonté d'honorer ses créanciers», le ministre de l'Économie a fait verser plus de 1 milliard de dollars jeudi à une banque américaine. Mais, vendredi, la justice des États-Unis a bloqué ce versement, qualifié d'«illégal». Le juge new-yorkais Thomas Griesa estime en effet que Buenos Aires ne peut régler cette dette sans également rembourser les «fonds vautours» NML Capital et Aurelius Management.