background preloader

Terms around Gen Y

Facebook Twitter

Génération Y mythe ou réalité. Le mythe de la génération Y. La génération Y existerait : Jean-François Fiorina l'a rencontrée.

Le mythe de la génération Y

"Depuis cinq ans, je suis témoin d'un changement radical de comportement de mes étudiants, raconte le directeur de l'ESC Grenoble. La fracture numérique qui les sépare des plus anciens est réelle et en fait des futurs cadres d'un nouveau genre. " Pour preuve : le comportement de Grégoire, qui, chaque semaine, s'attable devant son plateau de sushis, avale sa première bouchée et se met à papoter... avec son ordinateur. Le jeune homme n'est pas fou. Il entame en fait une banale pause-déjeuner avec trois amis. Comme Jean-François Fiorina, ils sont nombreux à relater l'apparition de ces nouveaux salariés, rassemblés sous l'étrange appellation de génération Y. "Anti-yologues" Professeur de gestion des ressources humaines à la Rouen Business School, Jean Pralong a assisté, sceptique, à cette déferlante médiatique. Mode d'emploi Selon Jean Pralong, tout est affaire de contexte. 1.

Et si la génération Y n'était qu'un mythe ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean Pierre Bouchez, professeur associé, université de Versailles-Saint-Quentin, directeur scientifique du Groupe Merlane Deux "mondes" qui observent, analysent cette fameuse génération Y, approximativement âgée de 20 à 30 ans, aboutissent à des visions pour le moins contrastées… D'une part, un "monde" regroupant une majorité d'auteurs-consultants d'ouvrages managériaux, et d'autre part quelques rares chercheurs issus du "monde académique".

Et si la génération Y n'était qu'un mythe ?

Le premier "monde" alimente quantitativement très largement ce nouvel engouement pour les jeunes Y, décrivant de manière convergente et consensuelle les caractéristiques majeures de cette génération, notamment à travers les fameux "4 I" : Interconnectés, Inventifs, Individualistes et Impatients (qui peuvent naturellement correspondre à une certaine réalité), au regard d'autres générations. Que penser de ce décalage ? Jean Pierre Bouchez est le créateur de Planète Savoir.

Les Slasheurs : ces trentenaires qui cumulent les métiers. Les zappeurs professionnels Ils ont entre 25 et 35 ans et ils sont en train de révolutionner notre vision de l'univers professionnel. Le schéma traditionnel - un même métier toute une vie – n'était plus adapté aux mutations rapides des marchés, à l'émergence de nouveaux secteurs d'activités, ni même aux désirs des générations actives dans les années 2000. On savait qu'on devrait changer de métier au cours de notre carrière et que, dans l'exercice de chacun, il faudrait être en veille, savoir se renouveler, suivre des formations régulières… Mais les slashers ont redessiné la ligne chronologique de la carrière contemporaine.

Ils n'apposent plus différents métiers les uns à côté des autres : ils les superposent. Ils ont inventé le zapping professionnel. S'il ne s'agissait que de cas isolés, on pourrait questionner leur crédibilité, mais comme cette jeune femme de 35 ans, ils sont de plus en plus nombreux à pratiquer l'ubiquité professionnelle. Les désillusionnés du système traditionnel. Je suis #SlashGen, la "génération slash" qui multiplie les jobs par choix ou nécessité. The Boomerang Generation. Feeling OK about Living with Mom and Dad By Kim Parker If there’s supposed to be a stigma attached to living with mom and dad through one’s late twenties or early thirties, today’s “boomerang generation” didn’t get that memo.

The Boomerang Generation

Among the three-in-ten young adults ages 25 to 34 (29%) who’ve been in that situation during the rough economy of recent years, large majorities say they’re satisfied with their living arrangements (78%) and upbeat about their future finances (77%). The sharing of family finances appears to have benefited some young adults as well as their parents; 48% of boomerang children report that they have paid rent to their parents and 89% say they have helped with household expenses.

As for the effect on family dynamics, about quarter (25%) say the living arrangement has been bad for their relationship with their parents, while a quarter (24%) say it’s been good and nearly half (48%) say it hasn’t made a difference. Financial Ties, but Not Dependency Other Key Findings. Five Survival Tips For Parents With 'Boomerang' Kids. It Pays To Live With Your Parents: Why Millennial Mama's Boys Earn More.