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Modiste. Lundi 15 avril 2013 1 15 /04 /Avr /2013 08:00 Avant son mariage en 1907, ma grand-mère maternelle était modiste à Château-Renault. Sa patronne Melle Bodin était la fille du photographe de cette ville. Elle créait des chapeaux vendus en tant que pièces uniques aux Renaudines en tenant compte de différents critères : personnalité, physique, circonstance, budget. Ce métier était fort pratiqué par les femmes au début du XXe siècle, grande période de la mode du chapeau. Il était alors beaucoup moins « huppé », plus banalisé et plus répandu qu'il ne l'est aujourd'hui. Avant la seconde guerre mondiale, les femme ne pouvaient pas sortir en "cheveux", selon l'expression de l'époque, sans être considérées comme des femmes "légères".

Cependant, les modistes avaient le privilège de livrer leurs créations par le grand escalier et non par l'entrée des fournisseurs. En France, Sainte Catherine est la patronne des modistes. Partager l'article ! InShare. Mère célibataire. Entendons-nous bien, le cadre de cet article est l'étude généalogique, il ne s'agira donc pas d'évoquer le cas des femmes qui par choix ou suite à une séparation élèvent seules leur(s) enfant(s). Cette pratique est relativement contemporaine et est donc hors sujet ... Donc, lorsqu'on parle de Mère célibataire, il y a deux approches : soit on considère le destin tragique d'une jeune fille, tombée enceinte, souvent après avoir succombé aux charmes d'un beau jeune homme qui a abusé d'elle lui faisant miroiter une union futuresoit on considère l'aspect généalogique de la situation qui conduit à la disparition instantanée d'une branche dans notre arbre Evidemment les deux aspects ne sont pas exclusifs et on peut très bien s'intéresser aux deux.

C'est d'ailleurs tout ce qui fait l'intérêt, selon moi, de la généalogie. Tout ce qui peut enrichir ce squelette, lui donner chair, contribuera sans aucun doute à rendre sa généalogie plus vivante. Mazaud Mazaudier. M comme MAZAUDMAZAUDIER Deux noms de famille Lorsque j'ai commencé l'ascendance de la famille REIX (famille maternelle) je suis allée voir sur Geneanet si des généalogistes avaient déjà créer des arbres .... et bien sur, j'ai trouvé JEAN MAZAUD . Et il s'est avéré que Jean était un vrai cousin !!! A bout de deux ans de correspondances internet, nous nous sommes enfin rencontrés et j'ai le plaisir de collaborer avec lui pour l'assocation historique de Saint Junien -Haute Vienne . ascendance de Elisabeth Mazaudier née le 28 Juin 1769 à Chateauneuf de randon Lozère (sosa 33G6) épouse de Antoine Nègre. Parmi les actes des notaires de Chateauneuf de randon, j'ai trouvé un procès réglé à l'amiable le 29 Octobre 1634 concernant un acte de donation de MARQUISE MAZAUDIER du 7 Juin 1604 au profit de ses petis enfants.

Extrait du procès réglé à l'amiable chez Maître Vilar de Chateauneuf de randon le 26 Octobre 1634. Quelques années après ledite Jacques mourut, puis en 1614 son aieul Claude. Les Mounas de Pâques. " Alors t'as fait la Mouna ? " Cette phrase je l'entends encore dans le téléphone. Elle revenait chaque dimanche de Pâques. Car les Mounas, c'est à ce moment-là qu'on les prépare et qu'on les mange. Une tradition pied-noir d'origine espagnole. De l'Espagne de mes ancêtres entre Valence et Alicante. En voici une version sur Wikipedia. La plupart du temps, je disais que je n'avais pas eu le temps de préparer cette tradition culinaire. Il faut bien sûr laisser reposer la pâte, la malaxer à nouveau mais pas trop et la laisser reposer encore et la dernière fois toute une nuit. Le résultat est bon mais n'est pas très souple, même un peu sec pour tout dire, mais avec un goût d'enfance très prononcé.

Allez, je promets : "L'an prochain je fais la mouna" ! Madagascar. M comme Madagascar : À la fin du 19e siècle, alors que Madagascar est une colonie française, l'arrière grand-père maternel de mon mari a émigré, avec sa femme et sept de ses huit enfants sur cette île lointaine. Jean-Pierre Mouret et Elisabeth Rigal sont des cultivateurs originaires de Virargues, village situé à quelques lieues de Murat dans le Cantal. Est-ce la rudesse de la vie cantaloue qui les poussent à quitter l'Auvergne avec l'espoir de trouver une vie meilleure ? Le 4 janvier 1898, Jean-Pierre sollicite un droit de passage gratuit à destination de Madagascar auprès du Ministère des Colonies.

Il remplit, également, une fiche de renseignements qui est approuvée par ledit ministère le 18 février. La traversée en bateau dure plus d'un mois en partant de Marseille et en empruntant le canal de Suez. Ils s'installent à Sakatolo dans la province de Mananjary dans le sud-est de l'île. Jean-Pierre et Elisabeth sont colons. Les six autres enfants sont rapatriés en France. Marie-Antoinette. Matricules - une source ... Monument aux morts de Saint-Révérien (58) Je me disais depuis un moment qu’il était temps de participer au site MémorialGenWeb : le relevé du monument aux morts de la commune de Saint-Révérien (Nièvre) n’avait visiblement pas encore été œuvré.

À Noël dernier (2006), j’avais eu la présence d’esprit de prendre le monument en photo pour relever les noms tranquillement de retour à Paris. Plusieurs mois après (humpf!) , je m’y suis enfin attelé. MémorialGenWeb propose d’ailleurs pour ce faire un logiciel très simple dont l’interface de saisie des individus ressemble à cela : Afin de faire les choses en bien et pour me faire pardonner le temps que j’ai mis pour me lancer, j’ai recherché les personnes mentionnées sur le site Mémoire des Hommes (cf. l’article sur ce blog) afin de retrouver leurs fiches de décès, contenant dates et lieux de naissance et décès, cause du décès, etc.

Le relevé est parti dans les entrailles de MémorialGenWeb, la publication met au maximum deux mois (mise à jour : le relevé est en ligne). Ménda. 1800 : décès de Zuanne Zago “detto Cosel” L’adjonction au patronyme d’un surnom a été une pratique courante en Europe à partir du XVIè siècle, afin de répondre au problème posé par l’existence d’une assez faible diversité dans les patronymes. Il en découlait en effet une importante homonymie qui compliquait l’identification certaine des personnes, en particulier dans les communes rurales où le brassage des populations restait très limité. Dans ce domaine, comme dans bien d’autres, on peut relever une similitude des pratiques en France et dans les divers états de la péninsule italienne. Ce surnom ne résultait pas d’un choix personnel mais il était assigné à un individu par des tiers. Il était en général choisi pour décrire une caractéristique physique ou comportementale de l’individu, ou sa profession.

En Vénétie, le surnom patronymique est appelé la ménda, sans doute en lien avec le terme du dialecte vénitien : ménda n.f. : 1. rammendo (reprise). 2. difetto (défaut) Mythologie. Voici la réédition d'un billet que j'avais écrit sur ce sujet il y a quelques mois et que je trouve toujours pertinent. Depuis, j'ai travaillé pour de nouvelles personnes et j'ai rencontré ce dilemme de devoir défaire la mythologie familiale. Il existe dans toutes les familles des histoires qui se transmettent de génération en génération. Le sujet varie d'une famille à l'autre, mais généralement le point de départ est un ancêtre, dont on connait peu de choses. Il se distingue des autres ascendants soit par sa provenance, soit par son destin.

C'est toujours intéressant d'écouter ce que les personnes ont à dire de leurs racines et de leur histoire familiale. Jusque là rien que de très naturel. Après la question des origines, se pose la question sociale : on descend d'agriculteurs, d'artisans, de commerçants, d'ouvriers, de propriétaires, de notables. C'est là que le travail de la généalogiste peut s'avérer délicat et toucher des points sensibles.

Bonnes fêtes de fin d'année à tous. Maintenant. La généalogie c'est l'histoire des familles, l'Histoire par les chemins de traverses qu'ont pu emprunter nos ancêtres. Ce sont les petites histoires, les anecdotes, les souvenirs, les leçons, les émotions qui font avancer. Celles qui bloquent sont à oublier ou à déposer jusqu'à ce qu'elles permettent aussi d'avancer. Certains disent que mieux connaître son passé permet de mieux préparer son avenir. Connaître ses racines, permet-il d'avoir un bon tronc et d'y bien faire pousser les nouvelles branches. Chacun voit. L'histoire familiale, est ce que l'on veut en faire, ce ne sont que des exemples pour ramener à l'humilité. Se dire que quelques millions de rencontres ont été nécessaires pour que chacun soit ici, maintenant.

Chaque famille a parmi ses ancêtres un roi et un pendu dit le populaire, mais au final ils ont la même importance puisque si l'un n'avait pas été là... Parce que le présent est le lien entre le passé et l'avenir. Alors profitons ! Mendiants | Non classéavril 15th, 2013 Lorsque l’on aborde les registres paroissiaux, on croise parfois des actes de décès de personnes inconnues, d’étrangers à la paroisse, de mendiants.

Ces anonymes ont été dessinés par un artiste Lorrain que j’aime beaucoup Jacques Callot dans une collection appelé les gueux (à découvrir si vous ne le connaissez pas!) Laissez un petit mot. Miers ou Montvalent ou Magnagues. Madame de Montespan. Françoise "Athenais" de Rochechouart, dit Madame de Montespan est née le 05 octobre 1640 à Lussac-les châteaux (86). Cette originaire du Poitou a une particularité plutôt originale puisqu'elle était la maitresse, la favorite de notre bon Roi-Soleil Louis XIV. Cette favorite eut tout de même les honneurs de faire 6 (7?) Enfants légitimés à notre bon Roi, avant de tomber en disgrâce.....

Toute sa vie, son oeuvre sur Wikipédia. Métiers. Si on s'arrête un instant sur notre généalogie en posant notre loupe sur les métiers de nos ancêtres, on se rend compte que la majorité des femmes étaient "sans profession", même si on se doute qu'elles ne restaient pas à rien faire de leurs journées !

Rappelons ici (s'il en était besoin) que la télé et les progrès domestiques sont très récents à l'échelle de l'Histoire ! Si l'homme était au labeur, la femme était au moins à la maison, pour gérer le foyer. Elles n'avaient pas de machines pour laver leur linge ou leur vaisselle, pour aspirer les poussières, et les déchets ménagers (même si elles n'ont pas connu les joies des emballages modernes) ne se recyclaient pas tout seuls ! Sans parler des enfants ! L'école n'est devenue obligatoire qu'en 1882 (Jules Ferry).

Les femmes qui ont eu un métier ont été couturière, aubergiste, cabaretière, ... Quand nous arrivons à remonter le temps, nous trouvons des métiers plus glorieux, et c'est logique en réalité. Qu'est-ce que ce Défi de A à Z ? Martin. Manuscrit. Monstruesement renversant: Freaks. Malgré-nous. Le mot "Malgré-Nous", pour rendre hommage à mon grand-père... Tu es né en 1923. La guerre de 14-18, la "Der des Der", était terminée depuis déjà 5 ans et la Moselle redécouvrait la vie française. Tes parents sont en effet nés allemands, mais ont reçu une éducation à la française... A trois ans, ta mère décède. Ton père se remarie quelques années plus tard.En 1939, la guerre éclate. Tu avais presque 16 ans. C'était d'abord la drôle de guerre, rien ne se passait vraiment ; et puis, en mai 1940, les soldats allemands ont envahis la France. Mon grand-père fait parti des milliers de jeunes alsaciens et mosellans qui ont été enrôlés de force dans l'armée allemande.

A partir des témoignages de proches et documents retrouvés, j'ai pu retracer l'histoire de mon grand-père. Messageries Maritimes. Maladies Malauzat Manuscrits Mariage … Mourir à Prinçay. Le cimetière de Prinçay affiche complet. Une procédure est par conséquent en cours afin de reprendre les concessions laissées à l'abandon. Trente tombes sont concernées.

Ne vous précipitez pas pour autant, seuls les habitants du hameau ont droit à l'inhumation dans ce p'tit paradis sous terre ;-) Un p'tit tour photographique afin de garder une trace et un état des lieux des tombes concernées. La tombe la plus ancienne encore identifiée est celle de Madame Léonie Fournier née Cognée Léone (emplacement 15) décédée le 02 Avril 1878 Bientôt viendra la p'tite histoire des cimetières de Prinçay, documents à l'appui, trouvés aux Archives. Patronymes retrouvés : Colombeau, Petit, Chainet, Fonteny, Maille, Alexandre, Marnay, Caillault, Rabier, Adhumeau, Nedeau, Pageard, Cognée, Caillé, Tranchant, Augereau, Dubois, Bajou, Guillot, Roux. Grâce à vos commentaires on aura peut-être ...Un p'tit plus pour le tout ! 1811 : De paroisse, Prinçay est devenu commune. Quelques années passent. Mariage. Marques du passé. Je témoigne de l’identité, Je suis souvent seule mais peut être accompagnée, ainsi je suis encore plus singulière, Il arrive que je ne sois qu’une croix, et dans ce cas je suis appelée marque, Grâce à moi, le possesseur devient plus concret : c’est souvent le seul signe transmis par le temps.

Qui suis-je ? La signature. Quoi de plus personnel qu’une signature ? Voici donc la signature des BONNEVILLE sur 7 générations, de 1919 à 1737. Commencons par celle proche de nous : celle de Prosper Jules (1878-1969), mon arrière grand-père, signature de 1919 Et continuons à remonter le temps avec celle d’Henry (1856-1933), mon arrière-arrière-grand-père, signature de 1877 Charles François Alfrede né en1830signature de 1856 Charles Joseph Aimable Prosper (1805-1866)signature de 1829 Charles François (1769 – 1844)signature de 1800 Jérôme (1739-1797)signature de 1774 André Jérome (1722-1772) signe Jerome signature de 1737 Sur les 64 actes de l’année, seuls 21 ne sont pas signés. « qui ont signé avec moy ce jour »

Monuments aux morts. Manou. Morel. Malgré-Nous. Mennetou sur Cher, village solognot. Musique. Mamie Momo Ma Maman. Militaire. Maçons de la Creuse. Majorité. Mère inconnue. Métissage entre Gaspésiennes et Basques. Mendiant. Ménopause ! Médaillés de Ste-Hélène. MAROEUIL. Les deux Mariages de François Quintard. Malformation. Marie ou Marguerite Rose. Monographie communale. Manouvrier. Matrimonial. Marigny le Châtel. Marcelin(s) VILLECOURT de Colombier en Brionnais.