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K

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Kaizen. Je ne m'offusquerai pas si, à la lecture du titre, vous vous dîtes que le Challenge de Sophie Boudarel a définitivement fait griller les quelques neurones qui me restaient encore. Qu'est-ce que ce mot, habituellement utilisé dans l'industrie, associé à des termes aussi barbares et abscons que "lean manufacturing" ou "amélioration continue", vient faire en généalogie ? N'est-ce pas un artifice douteux employé pour masquer une lacune en "K" ? Et bien, pas du tout.

Pour dire vrai, c'est un des premiers thèmes que j'ai trouvé. En fait, le Kaizen est une technique japonaise (comme c'est souvent le cas pour ce qui concerne les techniques utilisées dans l'industrie) et qui est la conjonction de deux mots : "Kai" = Changement et "Zen" = Bon. C'est donc là où cette technique, que j'ai pratiqué (et pratique toujours) depuis des années me sert pour la généalogie. Je m'explique. C'est ici que le Kaizen intervient (du moins, si j'en crois ma propre théorie ;-)). Et ainsi de suite. Kasse-tête. 2636077 Kilo-octets. Kaltenhouse et Kleinatzenheim : un village bien vivant et un disparu ! Kirsch. Kirschner. Merci la Moselle. La généalogie fait voyager, dans les villages, les noms, les métiers...

Ce patronyme l'illustre bien. Anne-Marie Kirschner est mon premier bourgeon pour cette branche qui pourrait bien être de cerisier. En effet en regardant les ouvrages d'onomastiques (études des noms des noms propres) ce nom a deux origines possibles selon son orthographe. Mais, je vous en reparlerais probablement en o (et non en off), si nous ne sommes jamais sûr d'une source onomastique, nous sommes encore moins sûr de l'orthographe. Bref, Kirch en allemand signifie église et Kirchner sacristain, celui qui travaille dans l'église. Mais Kirsch, avec son petit s en plus c'est la cerise, et Kirschner le producteur ou le vendeur de cerises. A voir donc, d'autant que comme Anne-Marie Kirschner est la grand-mère d'Anne Catherine Becker d'ont j'ai parlé en A, je viens juste de consolider ces rameaux et dois remonter son ascendance.

Ceci n'est pas une photographie d'un paysage mosellan, Kiki. Mathurin K... Tout commence avec cet article du Petit Journal du 27 juin 1863: Mais qui est ce Mathurin K ?? Direction l'index des noms de rues de Paris pour connaitre l'arrondissement où se situe la Rue Pierre-Levée. Voici ce que j'apprends: La Rue Pierre-Levée maintenant dénommée Rue de la Pierre Levée se situe dans le 11e arrondissement de Paris. Maintenant allons sur le site des AD75 rechercher l'acte de décès de ce pauvre Mathurin K. et découvrir son identité. Accédons aux registres d'actes de décès du 11e arrondissement et tapons la date du 27/06/1863.

Mathurin K. se nomme en fait Mathias Koenig et est originaire de Turckheim dans le Haut-Rhin (68). Vous pouvez retrouvez Mathias sur ma base GénéaDécès, base que j'ai créée en lisant les articles du Petit Journal. Je ne pouvais pas laisser tous ces noms et ces causes de décès sans les répertorier. Kermesse. Kodak Instamatic.

Kodak n'est plus mais les clichés restent ! Mon premier appareil photo ! Je l'ai hérité de mes aînés. Armer, viser, appuyer ! Aucun réglage n'était nécessaire ! Idéale pour la gamine de presque 10 ans que j'étais et qui partait pour la première fois en classe de découverte. Bien utile pour photographier, les copines, leur couper une partie de la tête ou des pieds, rendre flou le Mont-Blanc et prendre des couchers de soleil sur la mer. En revanche, il y a les clichés que ma sœur aînée a fait et qui pour moi sont des trésors : dans les bras de ma mère, je qui âgée d'une semaine.

Et là, quelques années plus tard, toujours dans cette même cour, entrain de jouer avec mon père sous l'oeil de ma soeur. Je viens d'une famille où du côté paternel, la photographie tient une place énorme. Tombé dedans quand il était petit, mon père en a fait son métier. Des années après, c'est mon frère qui a suivi ses traces. Ces clichés sont réunis ici : Kauffman ou Marchand ? Pour ceux qui ont des ancêtres en Moselle ou dans les zones frontalières du nord-est de la France, la plupart des patronymes ont des consonances germaniques. Il faut dire en effet que le département se situe au niveau d’une frontière linguistique, qui trouve son origine bien avant l’annexion de la Moselle par l’Allemagne en 1871, mais au cours des invasions à la fin de l’Empire Romain.

La langue parlée jusqu’à très récemment au nord de la Moselle était du Francique (proche de l’allemand, mais avec ses spécificités propres). Les patronymes du 18ème siècle ou d’aujourd’hui sont marqués par cette langue. La plupart de mes ancêtres maternels habitaient ainsi dans une zone située proche de la limite linguistique, et il est sans doute possible que certains étaient bilingues. A une époque où la langue officielle du Royaume de France était le français, les curés rédigeaient les actes des registres paroissiaux en français (ou encore en latin). Képi et autres couvre-chefs militaires. Challenge AZavril 12th, 2013 Le képi est un couvre-chef à l’origine souple, actuellement essentiellement rigide, de forme cylindrique, à fond plat et surélevé, munie d’une visière, porté en France par les militaires de l’armée de terre, de la gendarmerie et les sapeurs-pompiers, mais aussi par certains fonctionnaires.

Il n’est porté que par les hommes. Il s’agit de portraits de Maurice Billet mon grand-père au fil des années… Laissez un petit mot. Ker, Kerambellec, Kerguelen. Pour un breton, il est plutôt facile de trouver un mot commençant par K, comme avec le mot Ker. Qui plus est, cela me permet d'évoquer, dans un même article, mon père et ma mère. Par ailleurs, quand je regarde dans mon arbre généalogique, tous les patronymes, commençant par la lettre K, commencent tous par Ker - oui, oui, et il y en a même 32 ! Le mot "kêr" est difficilement traduisible, car il n'a pas d'équivalent unique en français. "Ker" est tout simplement un lieu où il y a de la vie. Alors, ville, village, hameau, petit-bourg ... : les différents usages du mot "kêr", sont hérités d'un mot de vieux breton, lui-même parent du gallois.

Signification de ce toponyme : le hameau "ker" de celui qui s'appelle Le Bellec (en breton an Bellec), autrement dit "le prêtre" - source Généanet.Kerguelen est le patronyme de ma mère. Il s'agit, là encore, d'un toponyme très répandu en Bretagne. A demain samedi 13 avril, avec L comme ...Fanch. Katastrophe. J'avoue que là, je sèche. Pas le moindre petit article à se mettre sous la dent et à regarder de plus près les blogs de mes collègues généalogistes qui se sont lancés dans le challenge; je ne suis pas le seul à sécher. Certains qui ont des ancêtres dans l'Est de la France ont pu contourner aisément l'affaire avec des patronymes à consonnance germanique !

J'aurais pu vous parler de la série K des archives départementales mais quelqu'un m'a devancé et l'intitulé " lois, ordonnances et arrêtés" n'a rien de glamour à traiter. J'aurais pu également vous parler de Kho Lantha mais le sujet est à éviter en ce moment et n'a rin de généalogique voire d'historique. J'aurais pu aussi vous parler du Kronprinz ou du (Haut) Koenigsbourg que j'ai visité à plusieurs reprises mais je n'ai aucune ascendance alsacienne. Je peux si vous y tenez vous donnez la recette du "kloug"* mais là non plus je ne colle pas au sujet. Kersauson. Kilomètres. Les kilomètres parcourus par mon père, Georges Bringuier, au cours de sa carrière dans la marine.

Il écrivait très, très régulièrement à sa famille (quasiment tous les jours). La plupart du temps, quelques mots. A une époque sans téléphone, il signifiait que tout allait bien, qu'il était en bonne santé, à tel ou tel endroit. Une fois par semaine environ, il faisait une "vraie" lettre. Georges envoyait de temps à autre des cartes postales. 17 octobre 1926 : Tunis (Tunisie) Georges écrit de Tunis, il arrive de Sfax où son navire est arrivé après 4 jours de mer, le 8 octobre. 3 septembre 1928 : Halifax (Canada) Le navire de Georges est à Halifax depuis ce matin lundi en arrivant de Newport où il est resté 2 jours. 16 février 1939 : Conakry (Guinée) Georges espère que ses lettres parviennent régulièrement à Vendémian.

Kermesse. Vendredi 12 avril 2013 5 12 /04 /Avr /2013 19:16 Lorsque nous étions enfants, mes frères et soeurs et moi-même, nous ne manquions aucune fête de notre quartier, nous appelions cela " la kermesse". Il y avait un manège avec un "pompon" a attraper, un marchand de nougat, une "baraque a frites" , des jeux d'adresse, une course cycliste, avec des prix qui nous paraîtraient dérisoires a l'heure actuelle où tout est "argent d'abord", des démonstrations de clubs de chiens de défense, notre père adorait cela. Une fanfare et le soir un bal sur la place du quartier suivi d'un petit feu d'artifice. Oserai-je dire que nous trouvions tout cela magnifique. Le matin il y avait une braderie, comme nos vide-greniers actuels, nous mangions des gaufres et des frites, en fait on étaient heureux. selma cayol Par le vieux Cayol... - Publié dans : Alphabet genealogique -Communauté : généalogistes en tous genres 0.

Keepsake, Kentia ou Kyrie ? Me voici confrontée à une première difficulté. La lettre k n'est pas si fréquente dans la langue française, à peine quatre pages et demie dans le Petit Larousse, et encore, grâce à nombre de mots d'origine étrangère. Or mon arbre généalogique présente une particularité : en l'état actuel de mes recherches, il n'étend ses racines que sur un périmètre strictement hexagonal. À ma connaissance, aucune incursion dans des États proches ou lointains, pas d'autre immigration que celle de la campagne vers les villes, rien qui puisse introduire une consonance un peu exotique. Pas d'ancêtre caucasien amateur de képhir, russe buveur de kwas, polynésien dopé au kawa ni d'anglophone consommateur de ketchup ; pas davantage d'adepte des nourritures kasher ; pas le moindre kilt ni le moindre kimono à l'horizon !

Alors, que me reste-t-il pour illustrer la onzième lettre de l'alphabet ? J'hésite entre keepsake, kentia et kyrie. Kiosque à musique. Vendredi 12 avril 2013 5 12 /04 /Avr /2013 08:00 Ma grand-mère, jeune mariée, a vécu à Tours de 1907 à 1914, pour se distraire elle aimait écouter le dimanche après-midi les concerts qui étaient donné au kiosque du jardin de Prébendes d'Oë. Il était proche de chez elle, elle habitait rue Blaise Pascal, il lui suffisait d'emprunter la rue Grécourt, traverser l'avenue Gramont pour aller sur la rue Roger Salengro qui longeait le jardin.

A cette époque il y avait très peu de distractions dans les villes de province. De nombreuses villes possèdent leur kiosque à musique. Le kiosque des places publiques accueille les spectacles d'artistes et les concerts de musiciens. Dans un espace ouvert (kiosque dans une pelouse de parc, sur les terrasses d'un jardin) ou formant clairière (kiosque dans les boisements d'un parc) où se disposent des bancs ou chaises. Etymologiquement kiosque vient du turc kiosk ou kieuckk ou encore kiouchk qui signifie "pavillon de jardin ouvert de tous côtés" inShare.

Albert Kahn. Kasbah d'Alger. François MAUBE, mon arrière-arrière grand-père paternel, né en 1857 à CABANAC, en Haute Garonne, dernier des charpentiers de cette lignée, fils de Jean Pierre MAUBE et de Marie MAYLIN fait son service militaire en 1877 en Algérie. Il est soldat dans l’Unité Territoriale d’Artillerie, à la Caserne de la Kasbah (ou Casbah) à Alger. François bénéficie-t-il d’aides de l’Etat pour venir, comme beaucoup d’autres s’établir en Algérie après son service militaire ?

Le nombre de fermiers du Sud de la France établis en Algérie s’élève à 4000. « Dans les années 1830, l’arrivée de premiers colons voit débarquer en Algérie une foule de gens, dont beaucoup sont des agriculteurs et des artisans-ouvriers avec femmes et enfants, en quête de meilleurs moyens d’existence. Ce surtout ensuite des enseignants et étudiants, des petits fonctionnaires, des employés des postes …. qui vinrent s’installer dans les départements français de l’Algérie » A propos des travaux de construction du Boulevard des Remparts :

Karolus Magnus (Charlemagne) Késako ? Aujourd’hui arrive le tour de la lettre K, un “K” pas facile à traiter, puisque peu de mots commencent par cette lettre en français, et encore moins en italien. Je m’en suis sortie par une pirouette, avec l’interrogation “késako ?” Dans les registres il arrive au généalogiste de trouver des signes étranges qui lui font ouvrir de grands yeux et lui inspirent seulement un “késako ? , Qu’a-t-il donc bien voulu écrire ?” Si l’on peut deviner la signification de ces symboles, il est parfois bien difficile d’en trouver l’origine. J’en ai ainsi découvert quelques-uns dans les registres de Borso : On le voit d’ailleurs se dessiner dans les formes suivantes, par évolution du “d” dont la barre s’enroule en direction du “a” : Mais comment le prêtre en est-il arrivé en 1799 à tracer, pour signifier ce que je pense être ce même “Ad di”, un signe qui semble très proche du symbole de l’euro ?

Si quelqu’un pense avoir une réponse à cette question, qu’il me laisse un message en commentaire de ce billet. Kyrielle. K comme KYRIELLE... Ah ! Toutes ces familles, avec leur kyrielle d'enfants... Voici quelques exemples de grandres fraties : Ker. Konjetsky. Kémia. [Ctrl]+[K] Kaprisky. Ker. Série K des Archives Nationales. Kurtzmann. Késako ? Kenzo. Kyrielle.

Kéké. Kergorand, où est-tu ? Challenge A à Z - K comme Kaizen. Karolus Magnus. Koeur la Grande, berceau des Dumanois. Kilomètres à pied, à cheval, en bateau et en train. Kaixo. K (la série) ou Kléber. Adele Kuehner. Kéfir. K comme Louise. Kébèk, port d'arrivée des colons. Kosciusko-Morizet.