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Décryptage

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Grèce : Papandréou avait-il tort. Eurosceptiques de tous les pays, réjouissez-vous ! L’Union européenne ressemble, ces derniers temps, à ces mêlées furieuses où le spectateur d’une bataille médiévale peinait à distinguer les manœuvres des différentes armées ; tout s’y réduisait à une immobilité paradoxale et fébrile. Chaque nouvelle réunion des chefs d’Etat ou de gouvernement européens donne ainsi aux opinions publiques, depuis quelques mois, un sentiment croissant de confusion et d’improvisation. Plus récemment, les palinodies de du Premier ministre grec Georges Papandréou au sujet d’un référendum sur le plan européen de sauvetage de son pays ont éclairé d’un jour très cru la violence des rapports de force au sein de l’Union.

Pourtant, l’Union européenne avait peut-être moins à craindre de la tenue d’un référendum en Grèce que de l’abandon, qui semble aujourd’hui acquis, de ce projet. Grèce : un problème de légitimité démocratique Au nom de qui ou de quoi gouverne-t-on ? Or, l’hypothèse (mort-née ?) Résumons. David Valence. Impuissance au sommet: retour sur les coulisses du G20.

Dans la grande salle du Palais des festivals où arrivent, ce mercredi 2 novembre, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, se dressent tous les drapeaux. Celui de la Grèce n'est pas du lot. On peut ne pas être membre du G20, tout en en étant le roi maudit. Le sommet des grands de ce monde va tourner autour du sort de ce petit pays, qui menace de faire sombrer l'euro et l'économie mondiale. Livide, le couple franco-allemand énonce les conditions imposées au premier ministre Georges Papandréou, qui avait annoncé, lundi 31octobre, un référendum jugé dévastateur sur le plan de sauvetage de son pays. Pourtant, cette grand-messe devait marquer le triomphe international de Nicolas Sarkozy. Branle-bas de combat. La discussion est rugueuse. Jeudi matin, Nicolas Sarkozy accomplit son jogging sur la Croisette. Car dans la nuit de mercredi à jeudi, la tragédie européenne s'est déplacée d'Athènes à Rome.

Vers midi, le G20 commence officiellement. L'ordre du jour officiel du G20 passe au second plan. Merkel ne voit pas d'embellie avant dix ans dans la zone euro | Économie. Le sommet du G20 avare en mesures concrètes. What is the G20? (And why am I going?) by Bill Gates. This week, I’m going to stand in front of the leaders of the largest 20 nations on earth and ask them to keep their promises – and to re-commit to helping the poorest people on earth.

How on earth did I get here? Well, first off, I was asked. The French President, Nicolas Sarkozy on behalf of the G20 invited me to prepare a report about creative ways to find more money for development aid. I’m very honored to be presenting a report to the G20 Summit, increasingly the most important forum for advancing international economic development. In this time of crisis for the world economy, I’m grateful that the summit is setting aside time to discuss development assistance to the world’s poorest people. I’m excited to have a chance to contribute to the growing realization within G20 countries that their own prosperity depends on their helping raise the living standards of the world’s poorest. Pourquoi le FMI a mis l'Italie sous surveillance. L'Italie, qui est dans l'oeil du cyclone de la crise européenne, a accepté vendredi au G20 de Cannes une surveillance stricte de ses engagements en matière de réduction de déficit public par le Fonds monétaire international (FMI).

L'institution dirigée par Christine Lagarde aurait même "gentiment" proposé une aide financière, que Rome a déclinée "en remerciant", a ironisé le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, lors d'une conférence de presse. L'heure n'est pourtant pas à la plaisanterie. Le mois dernier, Standard and Poor's a abaissé la note de solvabilité de l'Italie d'un cran. Les taux d'intérêt à long terme du pays battent actuellement des records, dépassant les 6%. Car si le cas de la Grèce - qui ne pèse que 2,5% du PIB de la zone euro - est gérable, un dérapage de l'Italie et de ses 1900 milliards de dette est autrement plus dramatique pour l'avenir de l'union monétaire. Un problème de crédibilité Le Cavaliere est fragilisé. G20 host Nicolas Sarkozy hails progress as he appeals to French voters | World news. The G20 host Nicolas Sarkozy had told Cannes he was a natural optimist. But the French president ended his G20 on such a note of self-congratulation that some wondered if he had spent two days at a completely different summit to the rest of the depressed delegates.

While financial uncertainty and Greek political turmoil continued and world markets fell – after the London G20 they rose – Sarkozy gave a rallying press conference to persuade the French electorate that he was still the saviour not just of the eurozone, but the world financial system, champion of the poor and needy, and the man who was delivering financial regulation and morality to the world of money. It was not just that he was down in the polls and faces a difficult re-election battle next year. France's AAA credit rating is in peril which would trigger Sarkozy's political death, growth is faltering, confidence is down and on Monday the French government is expected to announce another round of austerity measures.

Le G20 évalue l'impact d'une sortie de la Grèce de la zone euro. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le La première journée du G20 s'est achevée, jeudi 3 novembre, sur une conférence de presse du président français, Nicolas Sarkozy. Il a estimé que le message adressé mercredi soir par l'Allemagne et la France à la Grèce sur son projet de référendum avait permis une "prise de conscience" qui, "si elle devait se confirmer, serait saluée par tout le monde". Dans la journée, le premier ministre grec Georges Papandréou a laissé entendre que son projet de soumettre à référendum le plan de sauvetage de la zone euro pourrait être finalement abandonné. Concernant l'Europe, "il faut absolument que la zone euro envoie au monde entier un message de crédibilité", a-t-il dit. Le chef de l'Etat a précisé que les "choses" progressaient en Grèce et que les dirigeants suivaient la situation avec beaucoup d'attention.

Dans la foulée, la chancelière allemande Angela Merkel a prévenu qu'elle attendait de la Grèce des actes plutôt que des annonces. Les peuples d’abord pas la finance ! - Appel à mobilisations face aux G8 et G20 en France en 2011.