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Les interviews / la presse

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Mélenchon stalinien ? Lèse-majesté pour ses partisans sur Twitter | Rue89 Présidentielle. Touche pas à mon Mélenchon ! L’ultra sensibilité des partisans du candidat du Front de Gauche supporte mal la critique à moins de deux semaines du premier tour, alors que sa place de « troisième homme » conquise à la force du poignet n’est pas assurée. J’en ai fait l’expérience lundi après avoir réagi, sur Twitter, à l’interview de Daniel Cohn-Bendit dans Le Monde, dans laquelle l’eurodéputé écolo s’en prend avec son langage direct habituel au discours de Jean-Luc Mélenchon, sous le titre provocateur : « La vie, ce n’est pas aussi simple qu’un discours de Mélenchon ».

Je résumais cette interview d’un « tweet » de 140 caractères : « Cohn-Bendit vs Mélenchon, c’est le match libertaire vs staliniens de Mai 68 qui revient au galop ! » Que n’avais-je osé ! Gracchus Babar (@GracchusX) : « On continue dans la diabolisation et la peur du rouge... Mes détracteurs déchainés m’accusaient ouvertement de ne pas connaître mon Histoire, alors qu’ils se rendaient eux-mêmes coupables du même « crime ».

J-L. Jean-Luc Mélenchon : «C\'est inéluctable, le système va craquer», Election présidentielle 2012 - Les Echos.fr. Tous contre Mélenchon ! Jean-Luc Mélenchon est sur la pente ascendante et cela déplait, dans les états major des partis politiques traditionnels comme dans ceux des journaux à large diffusion, qu’ils soient quotidiens ou hebdomadaires. De LO à EELV, on jalouse la percée du Front de gauche Curieusement, c’est par ses camarades de gauche que JLM est le plus vertement pris à partie. Pour Nathalie Arthaud, aucun doute possible, c’est un social-traître ! Le 10 avril, elle déclare ainsi dans les colonnes du Parisien : « Jean-Luc Mélenchon est un illusionniste […] Ce n’est pas un révolutionnaire ».

Quelques jours auparavant, le 2 avril, la candidate de Lutte ouvrière lançait au micro Jean-Jacques Bourdin : « Mélenchon c'est la politique réchauffée de Mitterrand ». Côté EELV, on a droit à du pétage de câble dans les règles de l’art ! Cette colère de la part des dirigeants d’EELV ressemble à s’y méprendre à une grosse crise de jalousie. Au PS, on ne sait pas trop sur quel pied danser. Les éditocrates se lâchent. Jean-Luc Mélenchon has what France needs. Sarkozy and Hollande do not | Mark Weisbrot. Jean-Luc Mélenchon 'seems to be the only one in the race that understands the real economic choices faced by France and the eurozone.' Photograph: Solal/Sipa/Rex Features France's conservative president, Nicolas Sarkozy, ran for office in 2007 on a programme of making the French economy more like that of the United States.

He picked a bad time for that: the US was on the brink of its worst recession since the Great Depression, and would help drag down Europe and much of the world economy as the American economy collapsed. He probably wouldn't want to say these things today, after the US has had four years with hardly any economic growth at all. But Sarkozy did succeed in making the French economy more like the US in some ways. After being one of the few high-income countries that didn't have an increase in inequality from the mid-1980s to the mid-2000s, France has become more unequal since Sarkozy was elected.

Most French citizens like their economic security and shared prosperity. Jean-Luc Mélenchon: the poetry-loving pitbull galvanising the French elections | World news. In a packed agricultural hanger in a rural town in central France, an enraptured crowd raised their fists and chanted: "Resistance! Resistance! " On stage, arms flung wide, sweat pouring down his face, stood the charismatic, hard-left firebrand hailed as the best orator of the presidential campaign. "The French Revolution of 1789 hasn't breathed its last! " roared Jean-Luc Mélenchon, the poetry-loving pitbull of anti-capitalism. "If Europe is a volcano, France is the crater of all European revolutions!

" Mixing brute rage with killer, comic one-liners about the French political class, Mélenchon whipped up the crowd with promises of a civic insurrection to crush aristocracy and privilege. Mélenchon, a former Socialist minister, has emerged as the tub-thumping philosopher-leader of the radical left. His ideas include a 100% fat-cat tax, where the state will confiscate any earnings over £300,000. Some say the Mélenchon frenzy is good for the left, boosting its overall score. I'm dangerous! Jean-Luc Mélenchon : "Moi, j’ai choisi ma tête à claques, c’est. A 2 jours d'un meeting de soutien en faveur de la liste commune PG-PCF-NPA, j'ai pu rencontrer pour une interview Jean-Luc Mélenchon, député européen et dirigeant du Parti de Gauche.

En réponse à une question sur l'abstention et la démobilisation de l'électorat, Jean-Luc Mélenchon nous a décrit sa "tactique générale" pour ces élections régionales. Verbatim. RichardTrois : Comment allez-vous vous y prendre pour les régionales pour créer cette dynamique populaire vous évoquiez. La grande inquiétude est que le schéma des européennes se reproduise et que seule une toute petite frange de la population se déplace pour voter. Jean-Luc Mélenchon : Ben on fait campagne. RichardTrois : sur quelles propositions ?

Jean-Luc Mélenchon : Mais il y en a tellement… Il y en trop quoi. Les gens ont été formatés à l’idée du vote utile. La critique doit continuer, elle va continuer mais c’est la façon de la dire et de l’exprimer qui ne doit pas être contre performante. Donc comment je vais m’y prendre ? Enter Jean-Luc Mélenchon: France's third man - Europe - World. When the crowd cheers his attempts at English, he says, in a chattier tone of sweet menace: "Yes, we can speak fluently the language of the occupier – the occupier of our minds. " Mr Mélenchon, the man who is messing up predictions for the upcoming presidential election, is an unlikely revolutionary. He is a short, youthful 60 year-old with a whiny voice and a lisp. But his support has doubled in less than two months to levels not achieved by any hard-left French politician for 30 years. According to three polls for the first round of the election, which takes place a fortnight from Sunday, he is running third with 15 per cent of the vote.

To his immense pleasure – and credit – he has pushed Marine Le Pen's far-right, xenophobic National Front party into fourth. Mr Mélenchon detests all forms of xenophobia except, it seems, anti-"Anglo-Saxon" xenophobia. "We are France. Mr Mélenchon wants, in effect, to pull France out of the European Union and Nato and to scrap all free-trade agreements.

Nicolas Sarkozy facing far left challenge. Mélenchon, possible troisième homme, tête de Turc de tous ses concurrents. Même lorsque Jean-Luc Mélenchon se tait, tout le monde parle de lui, au moment où un sondage le crédite de 15% des intentions de vote au 1er tour, devant la candidate du Front national Marine le Pen. La plus grosse critique est venue de sa gauche: Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière, a estimé que sa politique était celle de François "Mitterrand réchauffée". Les écologistes, quant à eux, ne ménagent pas leurs attaques: vendredi, Eva Joly a concédé à son concurrent une "rhétorique formidable", tout en estimant que, "dans son programme, il n'y (avait) pas beaucoup de consistance". Il ne faut "pas oublier que Mélenchon est pour la Chine et contre le Tibet, pour le régime castriste à Cuba et pour Hugo Chavez" au Venezuela, a-t-elle aussi lancé. L'eurodéputé écologiste Daniel Cohn-Bendit a ironisé: "Claude François et Mélenchon, c'est la grande nostalgie: les années 70, les drapeaux rouges, on va tout renverser...!

" "L'héritier d'une forme de terreur" Avec. Mélenchon: "A 10 %, il n'y a plus de majorité sans nous"

Les amis révolutionnaires et alternatifs

Jean-Luc Mélenchon, invité dans la salle d’interrogatoire de Nicolas Demorand. Les atouts et les qualités mobilisés par Nicolas Demorand ? Nous les avons déjà évoqués : la docilité à l’égard des chefferies médiatiques et les petites lâchetés, notamment lorsque des collègues sont contraints de prendre la porte (Miguel Benasayag en 2004 sur France Culture et Didier Porte en 2010 sur France Inter ; les fidélités du transfuge d’une station à l’autre à l’égard de ses invités habituels (et notamment de Bernard-Henri Lévy) ; les gardiennages sourcilleux d’une démocratie atrophiée, de débats déséquilibrés, d’un accès limités des auditeurs à la parole ; et enfin la capacité de transformer l’impertinence en bouffonnerie (comme on a pu le voir à l’occasion d’un entretien avec Jean-Louis Debré)… Des qualités socialement et médiatiquement construites que Nicolas Demorand partage avec d’autres et auxquelles il apporte son propre style.

Un style qui plaît sans doute – il faut en convenir – à de nombreux auditeurs. Le montage effectué n’est nullement arbitraire. Demorandini. La cible du Parti de Gauche. Mélenchon : "Nous sommes le rempart contre la haine" Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) a appelé jeudi, devant des salariés de la SNCF, à faire "rempart contre la haine" que propose, selon lui, Marine Le Pen, disant vouloir "protéger les musulmans de la vindicte" du FN. Après avoir exprimé son "soulagement" à la suite de l'assaut final contre Mohamed Merah à Toulouse et sa "peine" pour les policiers blessés, Jean-Luc Mélenchon s'en est pris à Marine Le Pen, en marge d'une visite au centre de triage et de fret de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne).

Alors que le FN s'est demandé si le tueur au scooter "n'aurait pas pu être interpellé plus tôt", le candidat du FG a fustigé "les analyses et enquêtes de comptoir de bistrot". "Comme d'habitude, Mme Le Pen montre son manque total de sens du bien commun et de la décence, d'abord, on doit dire le respect aux policiers, et après, on va regarder", "peut-être" il y a "des failles", a-t-il fait valoir. Craint-il une montée du FN après les tueries de Toulouse et de Montauban ? Les amis de Mélenchon préparent la prise de la Bastille. Le compte à rebours a commencé. Dimanche 18 mars – date symboliquement choisie car il s’agira de l’anniversaire du soulèvement de la Commune de Paris, le 18 mars 1871 – les amis, militants, et sympathisants de Jean-Luc Mélenchon, et plus largement du Front de Gauche, défileront entre la place de la Nation et celle de la Bastille.

En fin d’après-midi, le candidat à la présidentielle tiendra un grand meeting en plein air, place de la Bastille. « On ne veut pas que ça ressemble à toutes les manifestations qui peuvent avoir lieu le week-end entre Nation et Bastille, et où chacun défile la mine grise, rangé sagement derrière des banderoles», commente Leila Chabi, en charge de coordonner la mobilisation « des ouvriers et des ouvrières de l’usine ». « On prépare une marche politique qui n’a jamais été faite auparavant avec des concerts, des fanfares, des troupes de théâtres, des ateliers pour confectionner sa banderole… » « On coupe la tête des gens, jamais la parole » Pourquoi la Bastille ? Jean-Luc Mélenchon : «Je serai le dernier président de la Ve République» - Presidentielle 2012. La grande peur Mélenchon. Une grande peur étreint les deux candidats UMP/PS à la présidentielle. Cette frousse porte un nom, elle s'appelle Jean Luc Mélenchon. Bien sûr, ils ne le diront jamais de manière explicite.

Mais les deux évènements médiatiques qui marquent la campagne présidentielle de la dernière quinzaine, à savoir, la polémique du halal reprise par notre président candidat, et la taxe de 75% de tout revenu dépassant le million d'euros proposée par Hollande doivent se lire dans cette perspective de la trouille géante qui les a saisi. Décryptage. D'abord un petit rappel de dates : le 16 février l'émission Envoyé spécial fait un reportage sur les abattoirs d'ile-de-france et dévoile les pratiques halal usitées dans ces abattoirs. Le 21 février lors d'une visite à Rungis notre Président pour une fois bien inspiré a ces mots : "la polémique n'a pas lieu d'être... Il nous faut prendre la mesure de la déclaration de Hollande car elle est réellement surprenante de sa part. Dimanche+ Décryptage et analyse de l'actualité politique de la semaine en compagnie d'Anne-Sophie Lapix, qui reçoit un invité pour un entretien sans concession.

ENQUETE - Genève après l'affaire Cahuzac de Raphaël Tresanini Qu'a changé l'affaire Cahuzac en Suisse? Le secret bancaire, est-il vraiment terminé? D'autres élus français ont-ils ouvert des comptes dans des établissements helvétiques? Enquête sur les bords du lac Leman. DECRYPTAGE - Droite, gauche, cathos ultra... pourquoi le mariage pour tous a-t-il divisé la France? ENQUETE - Pourquoi le Qatar mise-t-il sur les banlieues? FRENCH PARADOX - Le meilleur et le pire de Jean-Marie Le Rouzic et Rachid Jaber. Qui sont ces sympathisants qui se pressent aux meetings de Mélenchon ? Partager Quelque 8 000 personnes hier à Montpellier (Hérault), idem au meeting de Villeurbanne (Rhône) mardi dernier, et plus de 4 000 pour son déplacement à Besançon (Doubs), le 24 janvier. Jean-Luc Mélenchon s’est lancé dans un marathon de meetings à travers le pays et rencontre à chaque fois une affluence considérable.

"On est dans une dynamique positive et notre objectif est de la conforter", explique François Delapierre, directeur de la campagne du candidat du Front de gauche. Un engouement populaire dont il est cependant difficile de savoir avec certitude s’il se traduira par un vote pour le candidat Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle.

Nous avons tenté de dresser le profil du sympathisant mélenchoniste. • Communistes et diplômés, une solide base Les communistes traditionnels. Un électorat diplômé, et à haut capital culturel, dont de nombreux fonctionnaires. . • Milieux populaires et jeunes, de plus en plus présents aux meetings. INTERVIEW de Jean Luc Mélenchon à l’AFP - Gauche Alternative Choletaise. Mélenchon se voit "davantage" en candidat des socialistes que Hollande Par Julie DUCOURAU - PARIS (AFP) - Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, estime, dans un entretien à l'AFP, qu'il est "davantage" le candidat des socialistes que François Hollande et pousse un "cri d'alarme" pour l'affirmation d'une gauche qui soit vraiment de gauche.

QUESTION : Quel bilan faites-vous du mandat de Nicolas Sarkozy? REPONSE : "Sa victoire en 2007 n'était pas seulement la déroute de la gauche organisée autour du PS. C'était un changement d'époque. Ca y est, il y avait le Thatcher français qui allait affronter l'Etat social né de la Libération! Q : Face à la crise de la dette, quelles mesures préconisez-vous? R : "Il faut trancher le nœud gordien, éteindre l'incendie. Q : Quels sont vos thèmes de campagne? R : "L'idée centrale est le refus des politiques d'austérité et de l'Europe “austéritaire” qui est une vis sans fin. R : "Augmenter le Smic, c'est la gauche! Objectif 2012: J-L. Mélenchon. Jean-Luc Mélenchon Jean-Luc Mélenchon: Je pense que c’est une campagne électorale comme jamais on n’en a eu, l’élection présidentielle la plus rock’n roll du siècle.

Parce qu’elle a lieu à l’intérieur d’un processus que, comme toujours, les belles personnes, l’aristocratie libérale, les importants, ne voient pas. Ils sont toujours prêts à observer et à mater des révoltes, mais ils ne voient pas venir les révolutions. On est dans un moment où, de tous côtés, l’Ancien Régime craque. L’Ancien Régime, pour moi, c’est le régime libéral autoritaire, le marché, la concurrence libre et non faussée. On commence à voir le quotidien se décomposer: ta femme va mettre un gosse au monde, y a plus de maternités, ça te prend deux heures de route pour y aller comme au début du siècle précédent. Ton gosse va à l’école, mais y a plus de profs. Les voilà tous qui jettent des larmes de crocodile sur les agences de notation!

Que pouvait-on espérer de Louis XVI? Non, les partis ne sont pas représentatifs. Mélenchon propose le smic à 1700 euros et un salaire maximum. Mélenchon veut que 2012 «soit l'année du grand chamboule-tout» - Presidentielle 2012.