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F. Nietzsche

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Généalogie de la morale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Généalogie de la morale

La Généalogie de la morale. Un écrit polémique (Zur Genealogie der Moral. Eine Streitschrift) est une œuvre du philosophe Friedrich Nietzsche publiée en 1887. Elle suit, complète et éclaire Par-delà bien et mal. Nietzsche se donne pour objectif de montrer d'où viennent les valeurs morales contemporaines et pourquoi nous devrions en changer pour des valeurs plus saines[1]. La Généalogie de la morale se compose d'une préface et de trois dissertations écrites dans un style jugé brillant et d'une grande force par les commentateurs[2]. Présentation[modifier | modifier le code] Principaux thèmes[modifier | modifier le code] « […] nous avons besoin d’une critique des valeurs morales, et la valeur de ces valeurs doit tout d’abord être mise en question — et, pour cela, il est de toute nécessité de connaître les conditions et les milieux qui leur ont donné naissance, au sein desquels elles se sont développées et déformées […][7] »

Crépuscule des idoles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Crépuscule des idoles

Le livre est divisé en 11 parties qui correspondent ici aux 11 parties de cet article Maximes et traits[modifier | modifier le code] Se distinguent dans cet ensemble les maximes suivantes (les plus connues): "(...) ce qui ne me tue pas me fortifie. ""La sagesse trace des limites même à la connaissance. "" Par ailleurs, Nietzsche se redéfinit comme un homme posthume ("les hommes posthumes - moi par exemple-") et on peut percevoir, sinon une influence du moins une communauté de pensée avec Spinoza ("le remords est indécent") quand ce dernier affirme "qui se repent est doublement malheureux".

Ainsi parlait Zarathoustra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ainsi parlait Zarathoustra

Ainsi parlait Zarathoustra ou Ainsi parla Zarathoustra, sous-titré « Un livre pour tous et pour personne » (en allemand : Also sprach Zarathustra. Ein Buch für Alle und Keinen) est un poème philosophique de Friedrich Nietzsche, publié entre 1883 et 1885. Présentation du texte[modifier | modifier le code] Première édition de la première partie (1883) L'allemand autorise à traduire Also sprach Zarathustra par Ainsi parla Zarathoustra. Le nom Zarathoustra signifie « celui qui a de vieux chameaux » et non comme on l'a cru jusqu'à il y a une trentaine d'années « celui à la lumière brillante » ; c'est le nom avestique de Zoroastre, prophète et fondateur du zoroastrisme, l'ancienne religion perse. . « On ne m'a pas demandé — mais on aurait dû me demander —, ce que signifie dans ma bouche, dans la bouche du premier immoraliste, le nom de Zarathoustra, car c'est juste le contraire qui fait le caractère énormément unique de ce Perse dans l'histoire.

Friedrich Nietzsche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Friedrich Nietzsche

Friedrich Wilhelm Nietzsche Philosophe allemand Époque contemporaine Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə], souvent francisé en [nit͡ʃ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le à Röcken, en Saxe-Anhalt, et mort le à Weimar, en Allemagne. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie postmoderne ; mais Nietzsche a également suscité ces dernières années l'intérêt de philosophes analytiques, ou de langue anglaise, qui en soutiennent une lecture naturaliste remettant en cause une appropriation par la philosophie continentale jugée problématique[1].

Biographie[modifier | modifier le code] Professeur de philologie à l'université de Bâle dès l'âge de 24 ans, il obtient un congé en 1879 pour raison de santé. Nietzsche (Gilles Deleuze) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nietzsche (Gilles Deleuze)

Nietzsche (Nietzsche, sa vie, son œuvre : avec un exposé de sa philosophie) est un livre de Gilles Deleuze paru en 1965 (13e édition en 2005) aux Presses universitaires de France (PUF), portant sur la pensée du philosophe Friedrich Nietzsche. Cette monographie (à ne pas confondre avec Nietzsche et la Philosophie du même auteur, PUF, 1962) est composée d'abord d'une partie biographique, suivie d'une analyse de la philosophie nietzschéenne, d'un dictionnaire des principaux personnages introduits par le philosophe allemand ainsi que des extraits de son œuvre choisis par Deleuze. Les thèses de Deleuze sur Nietzsche, dans la mesure où elles reposent partiellement sur des extraits de La Volonté de puissance (elles précèdent l'édition de référence de Giorgio Colli et Mazzino Montinari qui ont rétabli le texte altéré par la sœur de Nietzsche), sont aujourd'hui contestées, notamment par Paolo D'Iorio [1]. 1) Ressentiment : « c'est ta faute ».