Méditation. Il y a dans notre tête, une suite ininterrompue d'idées, de pensées, d'histoires, ... Cela se formule avec le souvenir de toutes nos expériences bonnes ou mauvaises, pour plus ou moins deviner ce qui va nous arriver ! Tout le monde sait résoudre un petit problème de mathématique en se souvenant des opérations à effectuer : normal ! Quand on s'attache trop, quand on donne trop d'importance à quelque chose qui va peut-être se produire dans trois semaines : là c'est moins amusant !
Il y a une sorte de peur qui nous colle ( beurk!) Voilà, nous créons une fiction, qui pourrait ressembler à quelque chose de notre mémoire et qui n'existe pas maintenant ( hé dans trois semaines ! Je suis quelqu'un de très curieux, mais j'ai compris et vécu, qu'il est inutile d'imaginer un événement. Et si je pense au week-end prochain, ( La fête ) qui va écrire ce texte? Ça y est! Eh oui... il y en a de tout les modèles, pour tous les goûts. Etienne Méditation : On chasse les idées reçues. Je suis une victime ! Un lien dans la chaîne d'asservissement Le cycle de victime/agresseur est un autre lien dans la chaîne de l’asservissement.
C’est à ce point si grave que la plupart des gens sont complètement inconscients que leur vie est un cycle constant où ils ont soit le rôle de la victime ou celui de l’agresseur. Les rôles de victime/agresseur Dans le rôle de la victime, ils ont, bien sûr, quelqu’un ou quelque chose à blâmer pour ce qui leur arrive. Et l’énergie du "sauveur" est attachée à un tel cycle. Avant ma naissance et jusqu’à mes 30 ans, j’ai expérimenté beaucoup d’agressions physiques, émotionnelle et psychologique.
Il y avait des moments où la douleur était tellement atroce que je décidais de mourir. Les rôles de victime/agresseur sont encodés afin que l’un cherche l’autre et engage les autres dans le jeu de la victime et de l’agresseur, tant inconsciemment que consciemment. Les diverses strates d'une idée véhiculée Il y a bien des épaisseurs à cette idée-là. Sortir du cycle. Un retour vers Soi. La plupart des êtres humains vivent dans la peur d’être pleinement vivant. Tous et chacun expriment avec facilité leurs nombreux désirs et revendiquent avec ardeur leur droit au bonheur et à la liberté.
Dans les faits encore trop d’individus demeurent prisonniers de divers pièges personnels, relationnels, intergénérationnels, sociaux et culturels. Trop d’êtres réagissent sans être conscients qu’ils luttent contre eux-mêmes. Les problèmes psychologiques, affectifs, énergétiques et somatiques se multiplient. Les sensations de vide intérieur et de manque de sens à la vie, le manque de confiance en soi et en l’avenir, les éternelles frustrations, la fatigue, les tensions corporelles chroniques et les perturbations énergétiques ne représentent que quelques uns des symptômes qui sont pratiquement et malheureusement considérés comme faisant partie de la vie quotidienne « normale ».
Pourtant l’être humain investit énormément de temps, d’énergie et d’argent dans l’espoir d’améliorer sa vie. Le Pouvoir intérieur. « Nous sommes à la fois nous-même et la personne que nous croyons être. » Le Pouvoir intérieur c’est nous-même, notre réelle identité. Cet être que nous sommes connaît les réponses, a confiance en lui et vit dans la joie et l’harmonie. Il s’exprime à travers notre créativité, intuition, inspiration, notre passion et tout ce qui vient du cœur et nous fait vibrer. Il est la partie divine qui nous habite mais bien souvent nous n’avons pas conscience de son existence.
Il se manifeste par nos cinq sens, notre capacité à voir pour admirer le beau autour de nous, à entendre pour apprécier une agréable musique, à sentir pour humer les excellents parfums, à goûter pour prendre plaisir à déguster nos mets préférés et à toucher pour ressentir la fraîcheur d’une douce brise sur notre peau. Si nous croyons être une personne triste, malheureuse ou qui a peur, nous devenons cette personne. Les croyances Les croyances que nous entretenons façonnent les particularités de notre personnage. L’acceptation. Le Reiki et l'ouverture du cœur. Sortir de sa tête et vivre mieux À l’adolescence, je regardais passer les gens qui allaient et venaient en me demandant ce qui pouvait bien se passer dans leur tête.
J’étais fascinée par le fait que chacun porte un monde entre ses oreilles et je voulais comprendre pourquoi il semblait si différent pour chacun. Je voulais surtout m’expliquer ce sentiment que j’avais d’être séparée d’eux. C’est le processus par lequel j’ai passé, celui de l’analyse mentale continue. Nul doute, on peut vraiment s’y perdre. Il est intéressant de constater qu’en règle générale, lorsqu’on parle de santé, les gens se réfèrent surtout aux maladies du corps alors qu’à mon avis la plupart des maladies sont liées à cette fonction mentale utilisée à tors et à travers. En réalité, avec les approches psycho analytiques habituelles, il est normal que les gens se rebutent à explorer cela. Les pensées sont toujours là, mais elles ne sont plus encombrantes, on devient plus sélectif et retrouvons le pouvoir de choisir. La véritable rencontre. Nous sommes extrêmement sollicités, à tous les niveaux. Le domaine spirituel ne fait pas exception et plus notre esprit de recherche est grand, plus nous sommes confrontés à l'abondance des informations disponibles dans tous les domaines.
Il n'est pas évident de rester centré et de faire preuve de discernement face à toutes les pratiques disponibles. Il existe de plus en plus de visions attrayantes de la spiritualité, de la santé, du couple, de l'alimentation – attrayantes soit parce qu'elles semblent nouvelles, sages, saines, biologiques ou bien à l'inverse parce qu'elles semblent issues d'une tradition ancienne… Nous ne pouvons nier le fait qu'avoir accès à de plus en plus d'informations et de théories en tout genre ait constitué un progrès.
Cela dit ce progrès peut prendre l'allure d'un éparpillement chaotique, tant à un niveau individuel que collectif. Comment, dans ces conditions, accéder à une ébauche d'unité ? Un chemin individuel Il en est de même pour nos guides spirituels. Obstacles à la méditation. Qu’est ce que nous apprend la pratique de la méditation ? Des tas de choses, le caractère très étriqué, et finalement faux de l’image que nous nous faisons de nous même, ça, nous allons le voir très clairement dans la pratique méditative. Et au premier abord ça peut être très déstabilisant... mais alors, je ne suis pas ça ? Mais qu’est ce que je suis alors ? Perdre ses illusions sur soi même et sur le reste c’est une libération, mais au départ c’est inquiétant, par ce qu’au départ on avait ses habitudes et l’habitude c’est confortable et l’adaptation à quelque chose de nouveau c’est un peu inquiétant et c’est la raison pour laquelle une des grandes réalités sociales c’est la résistance aux changements - et quelque soit le changement que l’on veut imposer à une société, les gens commencent à dire : NON et c’est enraciné dans le sentiment individuel.
Or l’idée que je me fais de moi-même est donc étriquée et j’ai des tas de choses à découvrir.