background preloader

Etude_Session 2013

Facebook Twitter

Appropriation des TIC dans les organisations

Communauté d'apprentissage. Un article de Wiki Paris Descartes.

Communauté d'apprentissage

Des clés pour comprendre l'Université numérique Communauté Groupement d'individus réunis autour d'un intérêt commun ou d'un but commun. « Orienter, négocier et partager sont des verbes d'action qui projettent diverses formes de coopération et de collaboration . L' interaction est collective mais elle est aussi orientée pour permettre le partage et la négociation. . « La communauté existe si les membres partagent un «ensemble d’évidences et de pratiques culturelles communes » (Zarifian, 1996). La communauté est ainsi plus qu'un réseau social . Un objectif commun partagé par tous les membres, le sentiment d'appartenance des membres, la reconnaissance de chacun dans l'« identité du groupe », le partage de pratiques, de rituels d'interactions, de valeurs communes, d’une micro-culture, une histoire commune (des échanges dans la durée).

Communauté virtuelle. Yammer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Yammer

Yammer, Inc. Logo de Yammer Yammer est un outil de microblogage proposant la mise en place gratuite (en version de base) d'un réseau social interne pour une entreprise ou une communauté spécifique. L'accès au réseau Yammer est déterminé par le nom de domaine de l'utilisateur. Yammer, le Twitter version corporate. Avec Twitter vous dites ce que vous êtes en train de faire.

Yammer, le Twitter version corporate

Tandis qu’avec Yammer vous dites ce que vous êtes en train de faire. Vous ne voyez pas de différence ? Et pourtant il y en a une, de taille : Yammer s’adresse exclusivement aux entreprises en ne permettant de poster les mises à. SI communautés de pratiques - Sujet d'étude GSI. Communauté d'apprentissage. GuideSCOLfinal.pdf. Les communautés de pratiques. Les réseaux sociaux raniment les intranets. DOCUMENT De pyramidal, le réseau de communication interne des entreprises glisse vers une architecture horizontale et adopte les outils du web 2.0.

Les réseaux sociaux raniment les intranets

De nouvelles plateformes se mettent en place pour favoriser les échanges, le travail collaboratif et resserrer les liens entre salariés et direction. Une révolution de la culture d'entreprise est en marche. Certains l'appellent encore intranet, d'autres ont tranché et n'hésitent pas à le qualifier de réseau social. L'appellation varie en fonction de l'entreprise, de sa culture et sans doute aussi de la volonté, plus ou moins affirmée, de rompre avec l'outil précédent. Cependant toutes ces nouvelles plateformes disposent désormais de fonctions dites 2.0.

Cette plateforme de nouvelle génération est accessible à l’ensemble des collaborateurs et le sera prochainement, aux clients et partenaires du groupe. Le réseau social n'a de sens que si l'entreprise a identifié des besoins. S'il n'est proposé que pour correspondre à une tendance, un site collaboratif n'aura que peu de chances de s'ajouter aux habitudes des salariés.

Le réseau social n'a de sens que si l'entreprise a identifié des besoins

Pour que cela fonctionne, il faut qu'il réponde à un objectif business, et que les collaborateurs soient accompagnés. On le sait, pour les entreprises, les réseaux sociaux sont une véritable opportunité pour favoriser le partage de bonnes pratiques entre des salariés éloignés géographiquement, nombreux, et appartenant à des services et des Directions différentes. Comme par exemple, les populations fonctionnelles (RH, compta, informatique...), ou bien des forces de vente. Les réseaux sociaux ne sont pas automatiquement bénéfiques à l'entreprise. Pour être efficace, les sites collaboratifs doivent être employés de manière réfléchie de la part des entreprises.

Les réseaux sociaux ne sont pas automatiquement bénéfiques à l'entreprise

Ce qui passe par des processus précis et maîtrisé. Quels sont les clés de succès et les avantages procurés par la généralisation des réseaux sociaux en entreprise ? Piloter les communautés de pratique avec succès. Nous avons découvert 3 types de CDPavec des configurations différentes, mais qui ont tous trois du succès dans l’échange de savoirs et d’expériences entre les membres, pour contribuer au développement d’une pratique dans un domaine spécifique.

Piloter les communautés de pratique avec succès

Les facteurs de succès pour le pilotage n’ont pas la même importance dans les 3 types de CDP. Dans ce qui suit, nous expliquons aussi quelles sont les actions concrètes qui sont mises en place pour le pilotage de chaque type de CDP. Nous avons appelé ces CDP : Moteur de recherche : Volunia est lancé. Par Emilien Ercolani, le 08 février 2012 10:16 C’est en catimini que le moteur de recherche Volunia, créé par l’inventeur de l’algorithme HyperSearch qui a inspiré Google, a été lancé lundi.

Moteur de recherche : Volunia est lancé

Toutefois, il faut être PowerUser pour pouvoir l’utiliser. En 1996, Massimo Marchiori présente son algorithme HyperSearch en Californie. Il inspirera les fondateurs de Google, qui l’ont même cité lorsqu’ils ont présenté PageRank. 31Chanal.pdf (Objet application/pdf) Livre_blanc_panorama des bonnes pratiques. Livre_blanc_rse-intranet. Actualité - Communauté de pratiques. Le Cloud Computing - Sujet d'étude Bac STG GSI. Le Cloud Computing pour le sujet d’étude en STMG GSI Le cloud computing est un sujet qui est en lien direct avec l’évolution technologique et informatique de ces dernières années.

Le Cloud Computing - Sujet d'étude Bac STG GSI

Même si ces termes sont connus en France, on parle également d’informatique en nuage ou d’informatique virtuelle. Le cloud computing est un concept qui vise à transférer ou sauvegarder sur des serveurs distants des systèmes informatiques habituellement traités sur des serveurs locaux : Il s’agit par exemple de bases de données, de plateforme de collaboration en ligne, de dossiers de stockage, etc. Il s’agit donc d’un système qui peut s’avérer pratique pour un grand nombre d’entreprises qui utilisent des outils informatiques ou internet, à savoir presque toutes. Pourquoi certaines PME ne peuvent pas utiliser le cloud computing.

Le cloud computing présente de nombreux avantages. Cependant, certaines entreprises n’ont pas intérêt à passer à l’informatique dans les nuages, pour des raisons légales et techniques. Nous allons voir dans cet article, à l’aide de dix éléments, quelles en sont les raisons. 1 : cadre légal . Comme vous le savez peut être, les données que vous transférez dans le cloud ne sont pas forcément présentes sur le territoire national : elles peuvent l’être, comme elles peuvent être dans un autre pays européen. Par conséquent, sauf mention contraire de votre prestataire de service, vous ne savez pas précisément à quel endroit sont stockées vos données. Avantages et inconvénients de l’informatique dans les nuages. Le « cloud computing » (ou informatique dans les nuages, ou informatique dématérialisée) est de plus en plus populaire et il semble que cette popularité ne soit pas une mode passagère.

Avantages et inconvénients de l’informatique dans les nuages

Déjà, en 2006, Gartner prévoyait que plus de 25% des logiciels qui utilisés en 2011 seraient des applications d’informatique dématérialisée. J’examinerai aujourd’hui ce qu’est l’informatique dématérialisée et quels en sont les avantages et les inconvénients. Cette réflexion me permettra de proposer des facteurs à considérer pour choisir (ou non) d’utiliser le « cloud computing » dans son organisation. Comme nous le verrons, la gestion du risque relié à l’utilisation de l’informatique dans les nuages ne doit pas être prise à la légère. Qu’est-ce que le « cloud computing » ? Du point de vue technique, l’informatique dématérialisée est essentiellement l’utilisation du réseau Internet afin de combler des besoins en informatique.

Cloud Computing Explained | Source: Youtube Les avantages du « cloud computing » La sécurité du Cloud, un défi aux multiples facettes. Que l’on parle infrastructure en mode service (IaaS), plateforme (PaaS) ou encore applications (SaaS), le Cloud amène les divisions IT sur des terres inconnues. Il induit une division des tâches que connaissent beaucoup d’industries mais dont seules les entreprises déjà largement ouvertes à l’externalisation sont finalement familières. Les questions soulevées leurs paraîtront bien connue : qui est responsable de quoi ? Pour quels aspects de la sécurité des données et des applications ? Des points qui méritent d’être examinés de près et contractualisés. 12-2010 : 7 péchés capitaux de la sécurité du Cloud. Avant de chercher à exploiter la flexibilité et les économies qu'offre le Cloud Computing, il convient d'en évaluer un aspect moins séduisant : le risque pour la sécurité des données.

Les fournisseurs de services Cloud hébergent de multiples locataires qui accèdent à une instance unique d'une application, permettant aux clients de bénéficier d'une importante économie d'échelle. Cependant, ce type d'architecture informatique place aux données à l'extérieur de la sécurité de votre propre pare-feu, à proximité des données d'autres locataires, introduisant d'importants risques. Le Cloud Security Alliance (CSA) a récemment produit un rapport [1], soutenu par HP, qui identifié les sept plus grands risques en matière de sécurité, les sept péchés capitaux, du Cloud Computing.

Développement durable et évolution des systèmes d’information - Sujet d'étude STG GSI. Externalisation, Cloud Computing : maîtriser les risques pour les systèmes d'information. Clusif-cloud-2010-securite. DOSSIER "Cloud computing" : évolution ou révolution ? Depuis trois ans environ, un concept fait fureur dans le monde du high-tech : celui de Cloud Computing ou, pour reprendre la traduction française, « d'informatique dans le nuage ». Pas un salon spécialisé, pas une revue informatique, pas une nouvelle offre logicielle qui ne fasse référence au « Cloud ». Même Apple s'est converti à cette terminologie en lançant son nouveau service de stockage des données personnelles, « iCloud ». Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), en 2011, le marché du Cloud devrait atteindre plus d'1 milliard d'euros en France avec une progression de près de 30 % en un an.

Mais si le terme est de plus en plus utilisé, sa véritable signification reste floue, voire brumeuse, pour bon nombre d'entreprises. Le "cloud computing" à la française a du plomb dans l'aile. Publié le 22/12/2011 • Par avec l'AFP • dans : France. Windows Azure, le Cloud… de quoi parle-t-on exactement ? Une définition du Cloud > www.linformaticien.com : Actualités informatique, Réseau, Sécurité, Technologie, Développement. IaaS, PaaS et SaaS : les trois grands modèles de service du cloud > www.linformaticien.com : Actualités informatique, Réseau, Sécurité, Technologie, Développement. Trois grands modèles d’usage du Cloud se dégagent actuellement : le Cloud d’infrastructure (IaaS ou Infrastructure as a Service), le Cloud applicatif (PaaS ou Platform as a Service) et le logiciel à la demande (SaaS ou Software as a Service).

Intelligence économique, le Patriot Act commence à gêner les clouds américains. L'administration américaine pense que le Patriot Act est exploité à tort pour décourager les entreprises étrangères de faire appel à des services cloud établis sur sol US. Le Patriot Act établi suite au 11 septembre est fréquemment brandi comme un obstacle majeur à l'utilisation de services cloud basés aux Etats-Unis ou proposés par des firmes américaines. Le Cloud ? Pour qui ? Pour quoi ? > www.linformaticien.com : Actualités informatique, Réseau, Sécurité, Technologie, Développement. Par Bertrand Garé - Dossier publié par le magazine L'Informaticien le 01/04/2012.