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L'Église a sa place dans les débats sur l'éthique médicale

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Le Grand Orient agresse l’Eglise catholique. Un parfum de « bouffeurs de curés » ? Accueillir tout frère en humanité : l’enjeu de la bioéthique - ParvisDesGentils sur LePost.fr. Publié parParvisDesGentils post non vérifié par la rédaction 24/03/2011 à 08h37 - mis à jour le 24/03/2011 à 08h45 | vues | réactions En son article Premier, la Déclaration universelle des droits de l’homme affirme : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.

Accueillir tout frère en humanité : l’enjeu de la bioéthique - ParvisDesGentils sur LePost.fr

Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». Ce texte voulu après les bouleversements destructeurs de la deuxième guerre mondiale porte encore aujourd’hui l’espérance d’une communauté internationale constituée de nations respectueuses des droits de chacun de leurs citoyens. Santé : Le Saint-Siège réclame justice et respect de la dignité humaine. Conférence internationale du conseil pontifical ad hoc | 1183 clics ROME, Lundi 5 novembre 2010 (ZENIT.org) - Justice et respect de la dignité humaine sont les deux points cardinaux des soins aux patients mis en évidence par la conférence de presse de présentation du congrès annuel du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé.

Santé : Le Saint-Siège réclame justice et respect de la dignité humaine

Il s'agit d'un « droit humain fondamental ». Le titre de ce 25e congrès international est en effet : « Pour des soins de santé équitables et humains, à la lumière de l'encyclique Caritas in Veritate ». Il réunira quelque 750 participants de 65 pays des cinq continents, à Rome les 18 et 19 novembre. L'Entretien du Cardinal - Radio Notre Dame - 21/05/2011 - une vidéo Actu et Politique. Ne pas interdire les cellules souches.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marc Peschanski (directeur de l'Institut des cellules souches), Cécile Martinat (responsable de l'équipe "maladies motoneuronales"(I-STEM) et Evry) Des travaux qui révèlent des mécanismes, jusque-là inconnus, d'une maladie génétique sont publiés cette semaine par notre laboratoire dans l'une des revues scientifiques internationales les plus prestigieuses.

Ne pas interdire les cellules souches

Particularité de ces résultats : cette première mondiale a été obtenue grâce à l'étude de cellules souches embryonnaires humaines. L'Église a sa place dans les débats sur l'éthique médicale. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jérôme Beau, évêque auxiliaire de Paris, directeur du Collège des Bernardins, et Brice de Malherbe, co-directeur du département d'éthique biomédicale Dans une tribune publiée dans Le Monde daté du 6 avril, Marc Peschanski et Cécile Martinat ont violemment pris à partie divers acteurs du débat sur la révision des lois de bioéthique.

L'Église a sa place dans les débats sur l'éthique médicale

Les catholiques sont plusieurs fois visés. Ces attaques polémiques contreviennent aux exigences de la rationalité. Elles sont voulues pour défendre une option de recherche qui ne fait pas l'unanimité à l'intérieur même du monde scientifique. Dans Le Quotidien du médecin du 5 avril, Alain Privat et Monique Adolphe, chercheurs et universitaires internationalement reconnus, rappellent que "la recherche sur les cellules souches embryonnaires n'a, en fait, conduit à aucune thérapeutique efficace jusqu'à présent nulle part dans le monde". Quant à l'Eglise catholique, elle est riche d'une longue réflexion en éthique médicale. Bioéthique : réponse à Marc Peschanski. La réponse que Mgr Jérôme Beau et le Père Brice de Malherbe ont fait publier dans Le Monde du 8 avril pour répondre à la tribune de Marc Peschanski et à Cécile Martinat (Le Monde du 6 avril) mériterait d’être largement diffusée et commentée.

Bioéthique : réponse à Marc Peschanski

Si l’évêque auxiliaire de Paris, directeur du collège des Bernardins et le responsable du département d’éthique biomédicale du même collège ont cru devoir intervenir, c’est parce que M. Peschanski et Mme Martinat, avaient parlé d’ « agression antiscientifique » et de « lobbying anti-science », pour reprocher à l’Église ses positions morales et incriminer son rôle dans la loi votée en 1994, loi qui s’opposait à l’utilisation des embryons. Mgr Beau et le Père de Malherbe font remarquer que les positions de l’Église sont strictement rationnelles. Elles s’inscrivent, en effet, dans les règles définies par un Jürgen Habermas pour structurer la discussion entre citoyens.

Chronique lue le 11 avril sur Radio Notre-Dame. Bioéthique : élaborons une écologie humaine. LE MONDE | | Par Pierre d'Ornellas, archevêque de Rennes, chargé de la bioéthique au sein de la Conférence des évêques de France Les débats parlementaires sur la loi de bioéthique ne sont-ils pas révélateurs d'un affrontement entre le respect de la dignité humaine et le pouvoir de la technique ?

Bioéthique : élaborons une écologie humaine

L'écologie nous apprend que l'emprise de la technique conduit à des impasses. Les événements du Japon nous appellent à un surcroît d'intelligence, au-delà de la raison technicienne. Respecter la dignité humaine, qui s'y opposerait ? L'être humain, dès qu'il existe et quel qu'il soit, force le respect en raison même de sa dignité. "Pardon, je suis une personne" par Mgr d'Ornellas. Hier, un « sage » du Palais du Luxembourg m'a étiqueté d'un étrange nom : « bébé-thalys ».

"Pardon, je suis une personne" par Mgr d'Ornellas

J'en suis tout remué ! Quel avenir me préparez-vous par vos noms ? Pour vous, qui suis-je ? En 1994 et 2004, j'étais le « grand absent » des lois de bioéthique qui, pourtant, statuaient sur les conditions de ma conception. Tout le monde me désirait. Les grands, à New York, dans une belle Convention 1, ont estimé que mon « intérêt supérieur » devait être la « considération primordiale » de vos décisions d'adultes. Mgr d'Ornellas : « Les catholiques ont aussi le droit de s'indigner » - Religion - la-Croix.com. L’Église entre deux feux. Derrière l’adoption par le Sénat d’une nouvelle version de la loi bioéthique qui autorise explicitement la recherche sur l’embryon, émergent les figures des deux scientifiques qui ont le plus pesé dans le sens de ce vote.

L’Église entre deux feux

L’un, Axel Kahn avait été auditionné une nouvelle fois par les sénateurs, et l’autre, Marc Peschanski avait lancé une annonce par conférence de presse à la veille des débats, en forme d’appel à lever l’interdiction. Aussi déterminés l’un que l’autre, très médiatisés, les deux chercheurs visent régulièrement l’Église. Mais ils n’ont pas adopté la même tactique. Catholique devenu agnostique, Axel Kahn fait assaut d’amabilités et se dit « attaché aux valeurs chrétiennes » tandis que son collègue, qui n’a rien renié de son trotskisme, fulmine. Marc Peschanski, biologiste, pionnier français des recherches sur l’embryon, est un jusqu’au-boutiste. Cathophobie pseudo-scientifique : l’Église entre deux feux. La recherche scientifique sur les embryons est légitime.

Bioéthique et Église. L’actualité autour de la révision de la loi relative à la bioéthique ne cesse pas, c’est le moins que l’on puisse dire.

Bioéthique et Église

Actuellement discuté au Sénat, le sujet fait débat ; comme cela avait été le cas lors de la première lecture à l’Assemblée Nationale. Ces derniers jours la présence médiatique s’est faite plus insistante, notamment par le fait d’une chronique de Marc Peschanski, directeur de l’Institut des cellules souches et de Cécile Martinat, responsable de l’équipe « maladies motoneuronales » (I-STEM, Evry) dans les colonnes du Monde, le 5 avril dernier, intitulé Ne pas interdire les cellules souches. Un texte qui a marqué par sa virulence envers les différents acteurs du débat, à tel point que Mgr Bernard Podvin s’insurge « Débattre oui, dénigrer non !!! Bioéthique : réactions de l'Eglise autour des débats au Sénat. Les débats au Sénat sur le projet de loi Bioéthique (5-8 avril 2011) ont suscité plusieurs prises de parole fortes de la part de l'Eglise catholique.

Bioéthique : réactions de l'Eglise autour des débats au Sénat

Notamment de Mgr Pierre d'Ornellas, archevêque de Rennes, chargé de la bioéthique au sein de la Conférence des évêques de France. Evêque placé à la tête d'une province ecclésiastique.Ensemble des évêques de France. Bioéthique : coup de gueule de l'Eglise catholique contre ses détracteurs - Société. Discours d'ouverture de l'Assemblée plénière des évêques d'avril 2011. Entendre l'appel de la dignité, par Mgr d'Ornellas.

Bientôt sera discuté au Parlement le projet de loi relatif à la bioéthique. Il concerne chacun de nous. Il met en jeu une certaine idée de l'homme et de sa dignité. C'est pourquoi les évêques, réunis prochainement à Lourdes, en discuteront ensemble. La dignité humaine est un appel qui ne peut être étouffé. PROGRES SCIENTIFIQUE ET BIEN DE L'HOMME. CITE DU VATICAN, 28 OCT 2010 (VIS). Benoît XVI a reçu les participants à la session plénière de l'Académie pontificale des sciences, réunie pour réfléchir aux acquis scientifiques du XX siècle, devant lesquels il a rappelé que "certains voient dans la science la panacée, en vertu des immenses progrès accumulés au siècle dernier. Ceux-ci pourraient effectivement faire croire que toutes les questions liées à la vie humaine, y compris ses plus hautes aspirations, y trouvent leur réponse.