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Education au politique

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L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en n’ont pas voulu. - Rhizome TV. Réseaux citoyens. SAVOIRS POPULAIRES ET CONTRE-POUVOIR Manifeste des Universités populaires et laboratoires sociaux jeudi 28 janvier 2010 Une université populaire - laboratoire social est en cours de création dans la région stéphanoise avec la participation des philosophes Miguel Benasayag et Angélique Del Rey du collectif Malgré Tout. Une réunion de travail aura lieu avec eux le samedi 13 février à St-Etienne. Les personnes intéressées par la création de cette université populaire - laboratoire social peuvent prendre contact au 04 77 34 28 51.

Crise économique ou crise culturelle ? Quand plus personne ne croit au progrès social, la crise n’est plus économique, elle est culturelle. Si la condition salariale est en régression, si les acquis sociaux sont remis en cause, si la répartition des richesses n’a jamais été aussi inégalitaire alors l’Etat perd son pouvoir régulateur. Nous ne sommes plus certain de voir nos enfants accéder à un meilleur statut que le nôtre. Préambule Reterritorialiser l’action. Période actuelle : l'éducation populaire face à la crise. Les nouvelles formes de débat démocratique. Thèse Pour une éducation populaire politique.

Education au politique des jeunes

Jean-Luc Mélenchon : "le cadre a changé" C’est toujours un plaisir de participer aux entretiens auxquels nous convie Jacques Rosselin de Vendredi. Parce que c’est une bonne occasion de retrouver des copains blogueurs, mais surtout parce que c’est la possibilité d’interroger des politiques. Mercredi dernier, c’est Jean-Luc Mélenchon qui acceptait de nous rencontrer. Et qui nous a consacré du temps, près de deux heures trente. Ce fut un régal d’entendre s’exprimer sans détours un homme d’esprit, notre blogueur politique préféré puisque nous lui avons décerné le Nicolas d’or en 2009.

Photo Richard Trois Il s’en est dit des choses pendant cet entretien. Ma question : comment concilie-t-on au Front de Gauche l’alliance avec le PC, et plus particulièrement certains communistes adeptes du productivisme ? La réponse sera longue. La question du productivisme, c’est une question qui n’est pas pensée à gauche. Donc je pense qu’on a une révolution culturelle très profonde à faire. La fin en soi, c’est la refondation de la gauche. Appel pour une campagne d'éducation populaire tournée vers l'action pendant la campagne présidentielle... Chronique d'Evariste haut de page Appel pour une campagne d'éducation populaire tournée vers l'action pendant la campagne présidentielle...par ÉvaristePour réagir aux articles,écrire à evariste@gaucherepublicaine.org 4 considérations guident notre action : cela fait 28 ans que nous vivons des contre-réformes régressives dues aux politiques néolibérales...!

Cela fait 6 ans que le peuple français a dit non au traité constitutionnel européen et que donc la démocratie est ouvertement bafouée...! Cela fait un an que la contre-réforme régressive des retraites a été votée contre la volonté de près de 70 % de nos concitoyens et que donc la démocratie est bafouée.si la perspective d’une alternance à gauche est possible en 2012, rien ne nous assure d’une alternative à gauche Plusieurs raisons peuvent être invoquées : — la nouvelle géosociologie des territoires qui fait que la grande masse des militants ne se trouve pas dans les zones de regroupement populaire (les zones périurbaines et rurales). L'éducation populaire, un enjeu de société. «Une politique d’émancipation individuelle et collective demeure indispensable et d’actualité», affirment les députés Annick Girardin (PRG) et Michel Ménard (PS). Pour préserver le modèle associatif, structure sous-jacente de l'éducation populaire, ils préconisent un engagement fort de l'Etat, soutenu par les collectivités territoriales.

La situation l’impose, il faut se réengager dans une politique ambitieuse d’éducation populaire. Notre société est en profonde mutation. Cela se traduit par une crise économique, financière et sociale. Mais cette mutation s’accompagne aussi d’un déficit éducatif, culturel, démocratique, citoyen. Les illettrismes, les dépendances, les aliénations d’aujourd’hui ne sont certes plus celles d’hier, mais une politique d’émancipation individuelle et collective demeure indispensable et d’actualité. Comprendre pour agir et non plus subir Cette même exigence est indispensable aujourd’hui.

En effet, comment agir pour plus de solidarité, d’humanisme, de solidarité ? République & Démocratie | Gilles Le Bail. La démocratie a besoin de vertu et d'éducation | Gilles Le Bail. Lorsque Montesquieu a écrit « L’Esprit des Lois » en 1748, il affirmait déjà que la vertu était un principe républicain. Depuis de trop nombreuses années, et particulièrement ces derniers mois, la France est inondée de révélations, d’informations, mettant en cause, directement ou indirectement le financement des campagnes électorales ou celui des partis politiques.

Les personnalités politiques sont pointées du doigt. Cela nourrit à la fois la défiance des français et fournit des arguments aux partis non républicains. C’est une mise en danger de la démocratie. Depuis la promulgation de la loi du 11 mars 1988, le financement des partis politiques français est soumis à une législation qui s’est progressivement imposée, sous la pression des différentes affaires politico-financières.

Montesquieu, nous disait qu’en République, le citoyen est souverain. La vertu politique est un renoncement à soi-même et à ses propres intérêts. Comment peut-on définir cette vertu ? Tags: éducation. Redonnons à la morale laïque toute son actualité. Education populaire: semer des graines de doute. Jean-Claude Guillebaud dans son dernier livre[1] dit au chapitre « La domination : une catégorie mutante » : Nous sommes confrontés à des systèmes. Ils sont proliférants et peu gouvernables. Ils charrient, en les mêlant de manière confuse, promesses et menaces.

L’idéologie qui les habite est rarement facile à identifier. Elle est ordinairement invisible. La séduction qu’ils exercent résulte de cette intrication, toujours plus serrée, du meilleur et du pire, de la rationalité et de l’idéologie. L’économiste keynésien américain James K. Hervé Kempf fait un constat similaire dans son ouvrage sur l’oligarchie[3] : L’oligarchie ce n’est pas la dictature, c’est le gouvernement par le petit nombre des puissants.

. [1] Guillebaud JC, La Vie vivante, Paris, Arènes, 2011 [2] Galbraith J, L’Etat Prédateur, Paris, Seuil, 2009 [3] Kempf H, L’oligarchie ça suffit, vive la démocratie, Paris, Seuil, 2011 Billet en accès libre sur rhubarbe.net.