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JUNE 2011

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Le FESF, l'UE et la « BANQUE-MES » : le coup final de l´esclavage des peuples, par l'endettement. Diffusez et faites diffuser aux citoyens, juristes et experts « intègres », d´urgence les informations, explications et documents ci-dessous, ne serait-ce que pour exiger un accès adéquat en langue française à ces documents afférents à la « BANQUE-MES ». Merci ! « Ils » – (en l’occurrence, TOUS les politiques) - veulent à tout prix finaliser, mettre en œuvre, et ceci sans retour possible, ce projet scélérat dans les prochains jours et semaines, sous prétexte d’urgence, et avant que la résistance des peuples enfin informés ne devienne trop importante.

Vous trouverez ci-dessous des explications, dans les grandes lignes, rédigés de manière synthétique, et des conclusions de personnalités, référentes en la matière, dans les documents joints, dont TOUS les politiques nationaux, – quel que soit leur parti – ainsi que ceux de l’UE, disposent depuis au moins MAI 2011…, et auxquels ils ont déjà donné leur accord ! Étapes des « coups d’État » expliqués ci-dessous [2a – 2d,5] Interventions et débats au colloque "Que faire de l'Union européenne ?" organisé le 11 juin 2011 par le M'PEP. Zambie : à qui profite le cuivre ? G20-G8, ou la passion des faux problèmes. On ne pourra pas dire que le G20-G8 n’a pas d’idées : il en a au moins deux.

G20-G8, ou la passion des faux problèmes

Une idée théorique (variable) et une idée pratique (fixe). Une idée théorique affichée pour mieux dissimuler l’idée pratique inavouée. À vrai dire, l’idée pratique n’est pas neuve, elle est maintenant d’un robuste classicisme et comme une marque de fabrique en train de se patiner : tout faire pour ne rien avoir à faire – contre la déréglementation financière – et envoyer des leurres en tous sens. C’est simplement l’idée théorique – le leurre – dont elle se sert comme d’un paravent qui est régulièrement renouvelée, sans doute pour éviter la lassitude du public et mieux donner l’air de la grande activité. Quelques effets d’apprentissage suffisent pour se faire à l’idée que les « sujets » poussés sur le devant de la scène du G20-G8 sont claironnés en exacte proportion de ce qu’ils sont inoffensifs.