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GRECE

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Des entreprises et des employés de l'UE poursuivis pour détournement de 25 milliards d'euros. Un juge d'Athènes poursuit en justice les représentants des quatre sociétés anonymes grecques et des employés de la Commission de l'UE, y compris des Grecs, concernant une fraude présumée impliquant des programmes de financement de l'UE de 25 milliards d'euros, cinq ans après une première enquête qui avait été lancée par le bureau contre la fraude en Europe, l'OLAF, selon des révélations des médias ce jeudi.

Des entreprises et des employés de l'UE poursuivis pour détournement de 25 milliards d'euros

L'affaire déposée par le procureur en chef du Tribunal de première instance d'Athènes implique les programmes et les subventions accordés aux entreprises grecques, dont les représentants sont poursuivis sur trois actes de félonie. Selon les rapports, les entreprises en question se sont vues accorder des fonds de l'UE pour un grand nombre de programmes de recherche, sans remplir les conditions nécessaires - aboutissant à d'énormes profits via la création de sociétés fictives. Source : thepressproject.net.

Dette grecque : le bilan de six années de crise, par Stavros Tsipras. La Grèce traverse, depuis 2010 essentiellement, une crise profonde.

Dette grecque : le bilan de six années de crise, par Stavros Tsipras

Economique, celle-ci est devenue humanitaire, éprouvant durement la cohésion sociale. Une brève évaluation des données économiques de ces dernières années permet de mieux rendre compte de la réalité. Nous nous trouvons dans un pays où, de 2010 à 2013, ont été appliquées des mesures fiscales et des coupes financières de tout type, qui représentent un montant global de 63 milliards d’euros (soit 31 % du PIB), d’après Yannis Stournaras, ex-ministre des Finances et actuel gouverneur de la Banque centrale de Grèce. Dans le même temps, quasiment sur la même période, de 2009 à 2013, le PIB de la Grèce a diminué de 49 milliards d’euros, selon les chiffres de l’Office statistique hellénique ELSTAT (1). D’après le rapport trimestriel de l’Office budgétaire du Parlement (2), le PIB a diminué de 26,2 % au cours des six années de crise, alors qu’il avait augmenté de 25 % lors des six années précédant la crise.

Source : dialektores.org. Les critiques et les 5 questions au gouvernement de K. Lapavitsas, économiste et député Syriza. Par Kostas Lapavitsas Kostas Lapavitsas L’accord de l’Eurogroupe n’est pas complété, en partie parce que nous ne savons pas encore quelles sont les ‘réformes’ que le gouvernement grec proposera aujourd’hui (lundi 23 février) et quelles sont celles qui seront acceptées.

Les critiques et les 5 questions au gouvernement de K. Lapavitsas, économiste et député Syriza

Mais, nous qui avons été élus sur la base du programme de Syriza et qui considérons que les propositions de Thessalonique sont un engagement que nous avons pris envers le peuple grec, nous sommes profondément préoccupés. Et il est de notre devoir de consigner nos préoccupations. Le contour général de l’accord est le suivant : La Grèce demande la prorogation de l’accord courant qui est fondé sur une série d’engagements.Le but de la prorogation est de permettre d’achever l’évaluation de l’accord courant et de donner le temps d’élaborer un nouvel accord probable ;La Grèce soumettra immédiatement une liste de ‘réformes’ qui seront évaluées par les ‘institutions’ et sur lesquelles un accord sera conclu au mois d’avril. La BCE n'accepte plus les titres grecs en échange de liquidités, devises forex.

Par John O'Donnell FRANCFORT, 5 février (Reuters) - La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé contre toute attente mercredi soir qu'elle n'accepterait plus les obligations d'Etat grecques en échange de ses opérations de financement, une décision qui reporte sur la banque centrale d'Athènes le poids du financement des banques grecques et isole la Grèce à moins qu'elle ne parvienne à un accord avec ses créanciers.

La BCE n'accepte plus les titres grecs en échange de liquidités, devises forex

En obligeant la banque grecque à fournir des dizaines de milliards d'euros à ses banques en liquidités d'urgence dans les semaines à venir, la BCE réplique ainsi à ce que beaucoup voient à Francfort comme un abandon par le gouvernement grec du plan d'aide mis en place en échange de réformes structurelles. L'initiative de la BCE, qui a requis le soutien d'une majorité des gouverneurs des banques centrales de la zone euro, montre au contraire que la consternation domine largement, non seulement à Francfort mais à travers l'ensemble des 19 membres du bloc européen.

Ce n'est pas le temps pour les Jeux en Europe. Parce que j’ai passé de nombreuses années sur la théorie des jeux, au cours de ma vie antérieure de chercheur universitaire, certains commentateurs se sont précipités pour dire qu’en tant que nouveau ministre des Finances de la Grèce, j’étais occupé à concocter bluffs et stratagèmes pour améliorer une main faible.

Ce n'est pas le temps pour les Jeux en Europe

Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Si mes travaux sur la théorie des jeux m’ont appris quelque chose c’est bien que ce serait pure folie de penser aux délibérations en cours entre la Grèce et nos partenaires comme un jeu de négociation devant être gagné ou perdu à coups de bluffs et subterfuges tactiques. Le problème avec la théorie des jeux, comme je le disais à mes étudiants, c’est qu’il prend pour acquises les motivations des joueurs. Au poker ou au blackjack cette hypothèse n’est pas problématique.