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Économie

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Comment Facebook disparaîtra plus vite qu'on ne le pense... | A nos vies numériques. Avec toute la puissance qui est la sienne, Facebook reste un colosse aux pieds d’argile. Pourquoi une telle conviction ? Google est un outil, Facebook est un « endroit ». On utilise Google, on « est » sur Facebook. Et dans des proportions gigantesques, puisque Facebook représente plus de 20% du temps passé sur le web. Mais la nature même des endroits où tout le monde est, c’est d’agacer ceux qui ne veulent pas être là où tout le monde est.

À commencer par les ados et les « trendsetters ». On se souvient tous de lieux ou d’artistes qu’on a trouvé beaucoup moins intéressants le jour où tout le monde les a découverts et trouvés géniaux ! Facebook a bien fait le travail de nous formater aux statuts et aux « likes ». La taille de Facebook lui garantit la pérennité. Facebook a forcément conscience de ce renouvellement des générations, vieux comme le monde. Bing est-il en "Facebook dépendance" face à Google ? Il y a quelques jours de cela, j'indiquais sur ce blog que, selon moi, Bing avait peu de chances de détrôner Google en France et en Europe, même avec le lancement, demain, de la nouvelle version de son moteur de recherche. Je souhaite à Microsoft de me tromper et que les choses se passeront autrement mais, sincèrement, j'en doute...

Cependant, un facteur pourrait peut-être changer la donne... En effet, si Facebook, l'un des sites les plus utilisés au monde, mettait en place un vrai moteur de recherche web, basé sur la technologie de Bing, cela pourrait totalement chambouler le paysage des moteurs de recherche mondiaux... Pourquoi, en effet, les utilisateurs du réseau social iraient-ils sur un autre site (Google) pour rechercher de l'information s'ils ont un champ de recherche directement accessible sur leur page Facebook, à partir du moment, bien sûr, où les résultats renvoyés par Bing sont à peu près équivalents, en termes de qualité, à ceux de son concurrent ?

1, 2, 3, 4 - Facebook en chiffres - Big Browser - Blog LeMonde.fr. L'évolution de la valeur de Facebook depuis 2004. Bulle internet : Les Chiffres Clés. Facebook : des employés craignent la bulle et quittent le navire. Une bulle spéculative s'est-elle formée autour de Facebook ? C'est la question qui se pose désormais, alors que le réseau social américain cherche à entrer en bourse. D'après les dernières estimations, la valeur de Facebook a dépassé le cap des 100 milliards de dollars. Un montant hors-norme, qui laisse craindre une surévaluation du site communautaire... et une prochaine dégringolade de sa valeur, lorsque le titre sera coté. À en croire le New York Times, les observateurs extérieurs ne sont pas les seuls à s'interroger sur la véritable valeur de Facebook. La crainte d'une dévalorisation soudaine et massive est telle que certains employés de la première heure ont préféré plier bagage.

"J'ai été heureux de vendre 5 ou 10 % de mes parts, ainsi j'ai un coussin financier dans le pire des cas" a expliqué un ancien employé de Facebook, qui a choisi de rester anonyme. Facebook : de la rationalité des chiffres et de l’irrationalité des marchés » Article » OWNI, Digital Journalism. Facebook vaut-il vraiment 50 milliards de dollar ? Comment et pourquoi ces estimations sont-elles faites ? Decryptage d'une actualité trop souvent prise pour argent comptant.

Incongruité : pour une fois, Facebook ne donne pas matière à réfléchir sur la confidentialité des données personnelles, mais plutôt sur la façon dont fonctionnent les investisseurs. Le néophyte pourrait assez logiquement penser que les investisseurs sont des pros de l’analyse financière. Que leurs décisions sont guidées par une prise en compte de tous les chiffres qui fleurissent dans les colonnes des bilans des entreprises.

Ce serait méconnaitre les trois composantes les plus prégnantes des marchés financiers : d’une part, les marchés sont irrationnels, contrairement à une théorie économique bien connue telle que l’efficience du marché. Facebook vaudrait 50 milliards… Une nouvelle a traversé le Web ces derniers jours : Facebook est valorisé à 50 milliards de dollars. Revenons à 2011. Des artifices de la finance. Hype will fade. Douglas Rushkoff: Facebook seems ascendant as MySpace declines, with rumors of layoffsBut Goldman Sachs' Facebook investment, he says, is more a sign Facebook is cashing outMurdoch bought MySpace at site's peak; site's popularity already fallen, he saysRushkoff: Social networks wax, wane; Facebook hype obscures that it's likely on way down Editor's note: Douglas Rushkoff is the author, most recently, of "Life Inc: How Corporatism Conquered the World and How We Can Take it Back" , and "Program or Be Programmed: Ten Commands for a Digital Age" (CNN) -- All signs for Facebook appear to be pointing up.

Mark Zuckerberg is Time's Man of the Year, the movie about him seems likely to be an Oscar winner, and now Goldman Sachs is raising $1.5 billion from its favorite investors on behalf of the social networking company. But appearances can be deceiving. The Times didn't run the piece. Facebook really worth $50 billion? Facebook's 2011 plans: Hackers wanted Now, it's Facebook's turn. Facebook en perte de vitesse aux Etats-Unis ? La guerre de l’identité a commencé » Article » OWNI, Digital Journalism.

La guerre que se font Facebook et Google pour attirer de plus en plus d'utilisateurs bat son plein. Au bénéfice des internautes ?! Mon nouveau nom est Nostradarabanne. Il y a 3 ans, je prédisais la guerre Google / Yahoo / Microsoft. Il y a 2 ans, la guerre Myspace / Google / Facebook. Alors pourquoi cette guerre ? Prends ça, Google ! Tout a commencé en Aout, par la montée de la pression de Google / Verizon concernant la neutralité du net. Ensuite se sont multiplié les escarmouches de plus en plus violentes. Ces passes d’arme annonçaient la suite : le lancement en grande pompe de Facebook mail, outil de consultation d’e-mail sur FB. La guerre des carnets d’adresse est déclarée Est-ce une guerre idéologique ?

Google ne l’avait pas compris (ou ça ne l’intéressait pas). Et puis le 26 juin de cette année, il y a eu le tweet de Kevin Rose (le fondateur de Digg) qui annonçait un projet “Google Me“. La grande guerre mondo-digitale Tout d’abord les grands puissances : Le plan de Facebook pour conqu?rir le monde. Vos sites préférés sont désormais tous connectés à Facebook. Sur le site de streaming Pandora, quand vous écoutez une chanson, vous pouvez maintenant appuyer sur le bouton «j'aime» (ou like, en anglais), avertissant ainsi tous vos amis Facebook de votre dernière découverte musicale. Idem pour un film sur IMDb, un restau sur Yelp, un article sur CNN.com, des cosmétiques Sephora, un jeans Levi's, et des dizaines d'autres produits disponibles sur le Web, y compris tous les articles jamais publiés sur Slate.com[et aussi sur Slate.fr: regardez... au bas de cet article, NDLE]. Ces sympathiques petits boutons « j'aime » n'ont l'air de rien comme ça, mais ne vous y fiez surtout pas.

Ce sont en fait les prémices du nouveau super plan imparable de Facebook pour ficher la totalité du Web, et il y a de fortes chance pour que dans les années qui viennent, ils s'avèrent une aide précieuse pour aider le réseau social à remodeler le Web à son goût. Expérience personnalisée publicité Profilage volontaire. Pourquoi Facebook menace déjà Google - INTERNET FACEBOOK.

MySpace va mal ! Qui possède Facebook ? Mark Zuckerberg. Facebook's Complicated Ownership History Explained. Facebook's tangled founding story is about to get more complicated, thanks to a man named Paul Ceglia. Anyone who has seen The Social Network knows about Eduardo Saverin and the Winklevoss twins.

Facebook co-founder Saverin was forced out, sued Facebook and settled for a 5% stake of the company. Tyler and Cameron Winklevoss contracted Zuckerberg to build a Harvard-based social network for them, but when Mark Zuckerberg launched "TheFacebook.com" instead, the twins sued. That case was also settled, though the twins have been trying hard to rescind it in court. But there's more to Facebook's legacy of lawsuits than the movie mentioned.

Last year, Ceglia claimed he and Zuckerberg signed a contract giving Ceglia 50% of Facebook. Most legal experts dismissed Ceglia's lawsuit as outlandish, but it has resurfaced this week with evidence that promises to make this a messy affair. So what exactly happened at Harvard in 2003 and 2004? Eduardo Saverin Tyler and Cameron Winklevoss Next Steps.