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La distribution Linux de SUSE fait son entrée au sein de l’offre Dell Cloud. Vous êtes ici : Accueil / Infrastructure / La distribution Linux de SUSE fait son entrée au sein de l’offre Dell Cloud La SLES est dorénavant validée pour l’offre Dell Cloud. Un accord croisé qui permettra aux utilisateurs de disposer d’un support de premier ordre et d’un large catalogue de logiciels. Nouveau succès pour la SUSE Linux Enterprise Server (SLES), qui devient aujourd’hui la première distribution Linux à rejoindre l’offre de cloud computing de Dell « Dell Cloud permet aux clients de gérer leurs activités comme ils l’entendent : ils peuvent accéder aux matériels, aux applications et données dont ils ont besoin, quand ils en ont besoin, explique Ricky Santos, vice-président, cloud solutions, chez Dell.

Le partenariat que nous avons noué avec SUSE nous permet de fournir des performances et un support remarquables à nos clients qui ont besoin de disposer de services Linux évolutifs à la demande. » 8500 applications certifiées Cloud : Accélérateur de Business. Une équipe du MIT fabrique une puce simulant l'activité d'une synapse - Actu PC INpact. Un groupe de chercheurs du célèbre MIT (Massachusetts Institute of Technology) vient de créer une puce d’un genre très particulier. Signe distinctif ? Elle copie le fonctionnement d’une synapse, un élément crucial du cerveau, et pourrait paver la voie vers un ordinateur capable de calculer comme le ferait l’organe humain. Le cerveau, toujours un modèle Un processeur peut aujourd’hui embarquer des milliards de transistors, il ne peut prétendre rivaliser avec le cerveau pour certaines opérations.

Oui un processeur peut afficher des milliers de décimales de PI en un temps record, ce qu’aucun être humain ne peut faire. Mais d’autres opérations que nous considérons triviales, comme la reconnaissance visuelle, allant du visage à l’écriture, demande à un processeur de vastes quantités de calculs. Un groupe de chercheurs du MIT a réussi à faire d’une puce une copie numérique d’une synapse. L'immense fossé de la réalisation technique Malgré la difficulté, des efforts salués et des perspectives. Facebook : la mémoire cachée.

L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !»

Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social. Ce que personne ne semble savoir, en revanche, c'est que le monstre est dépourvu de système digestif. Il se contente de stocker les données, toujours plus de données, sans jamais en effacer aucune. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. . - Même son de cloche du côté des «événements». Un nouveau virus informatique a été détecté en Suisse: Multimédia - Loisirs. Comment détruire une puce RFID ?

Les puces RFID (Radio Frequency IDentification) sont des puces électroniques constituée d'une antenne et d'un microprocesseur. On peut y stocker pas mal d'informations, et contrairement aux cartes à puces (carte bancaire, téléphonique...etc), on peut lire ces informations et les mettre à jour sans inserer la puce dans un lecteur. Tout passe par l'antenne sur des fréquences plus ou moins haute. Actuellement, les puces RFID sont utilisées pour un tas de choses comme l'identification d'animaux, les controles d'acces par badge, l'ouverture de serrures (sur les voitures par exemple), la traçabilité des livres dans les bibliothèques, pour l'acheminement des marchandises, pour les péages automatiques et même la carte Navigo. C'est donc l'avenir en matière de traçabilité.

Une puce RFID dans toute sa splendeur Dans le futur, elles seront implantées dans les produits au supermarché, remplaçant ainsi les codes barres traditionnels. Facile, grâce au RFID Zapper ! A bon entendeur, salut. CRPE 2012 Propositions de corrigés des sujets de mathématiques des groupements 1 et 2 mis en ligne sur le site Primaths.

Des particules mesurées à une vitesse dépassant celle de la lumière. LE MONDE | • Mis à jour le | Par David Larousserie Ils ont attendu six mois avant de révéler leur secret à la communauté scientifique. Vendredi 23 septembre, Dario Autiero, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et membre de la collaboration Opera, devait en effet annoncer au Laboratoire européen pour la physique des particules (CERN), en Suisse, qu'après moult contrôles et calculs, lui et son équipe ont détecté des particules filant plus vite que la lumière. L'écart relatif, bien que faible, est significatif : quelque 0,002 % de plus.

Un des piliers de la physique, le caractère indépassable de la vitesse de la lumière (près de 300 000 kilomètres par seconde), serait donc ébranlé. "Nous avons beaucoup hésité à communiquer, mais nous ne pouvions pas accepter que la rumeur se répande. Il n'était pas prévu que cette expérience internationale ébranle les fondements de la physique actuelle. "Bien entendu, il faut confirmer ou infirmer ce résultat. Les technologies - Manifeste pour une école compétente. Le superordinateur japonais K au-delà des 10 pétaflops. K, le superordinateur fabriqué par Fujitsu, détenait déjà le record du monde... mais il n'était pas terminé ! Avec l'adjonction de 19.584 processeurs, K vient de faire mieux. Le supercalculateur K, le plus puissant du monde depuis le mois de juin, a pulvérisé ses propres performances, dépassant les 10 pétaflops (millions de milliards d'opérations par seconde), selon ses créateurs japonais, le groupe informatique Fujitsu et l'institut de recherche Riken.

K avait pris la première place du 37e classement mondial Top 500, lors de la conférence ISC'11 de juin 2011, à Hambourg, en Allemagne. L'ordinateur géant embarquait alors 68.544 processeurs. Encore un peu juste. En août, le dernier des 864 ensembles constitutifs de ce gigantesque calculateur a été livré et installé sur le site de Kobe (ouest du Japon), amenant le système à sa configuration finale. Il totalise désormais 88.128 processeurs travaillant de concert.

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