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Le commerce équitable vu par un Amérindien. Dans un village Quechua. © Alter Eco Le commerce équitable vu par un Amérindien - 2 Photos Ce vendredi 19 novembre, l’École supérieure du commerce de Paris (ESCP), il y avait foule : les Parisiens venaient rencontrer Haru, Matsini et Manuel, des « natifs » comme ils se présentent eux-mêmes.

Le commerce équitable vu par un Amérindien

Ces Amérindiens ont traversé l’océan au nom de leurs peuples. Haru et Mastini vivent au Brésil et représentent respectivement les Kuntanawa et les Yawanawa. Manuel vient du Pérou et appartient au peuple Quechua (ou Kechua). Ils sont surpris du nombre de personnes et, après s’être présentés en chantant, expliquent le sens de leur venue. Agriculture bio et vente la plus directe possible assurent des produits de qualité, des revenus plus stables et une plus grande liberté que le marché classique passant par de très grandes entreprises.

Haru Xynã, représentant du peuple Kuntanawa, chante. © Macathay, You Tube. En tout, 1.200 familles travaillent pour Oro Verde. La reforestation, c'est cela... Exploitation forestière au Congo : trop curieux, j'ai fini en prison. Pokola, c’est la vitrine du Congo et des coupeurs de bois, le triomphe de l’exploitation forestière industrielle « durable » sur la pauvreté. La Congolaise industrielle de bois (CIB) a même obtenu la certification FSC (Forest stewardhip council), le précieux sésame qui est censé garantir aux clients soucieux d’écologie que leur bois vient d’une forêt gérée de façon responsable et participe au développement des populations locales. La transparence est l’un des principaux critères pour obtenir le label. A Pokola, les journalistes et les ONG sont donc bienvenus.

Officiellement. Autorisé à filmer à l’intérieur de la plus grande concession forestière industrielle du bassin du Congo, aujourd’hui en crise, on m’a empêché, manu militari, de rencontrer les villageois. Les femmes plus écolos que les hommes ? Pas si vite. Non, Terra eco ne souhaite pas relancer la guerre (verte) des sexes !

Les femmes plus écolos que les hommes ? Pas si vite

Ni ramasser les poncifs à la pelle. L’idée tient dans une question simple -la femme est-elle plus verte que l’homme ? - qui appelle des réponses compliquées. Voire énervées... « Mais ça n’est pas une question pour magazine féminin », se crispe la cinéaste Coline Serreau qui, dans son dernier film « Solutions locales pour un désordre global », dénonce les ravages du patriarcat sur la planète. « C’est un problème politique ! A commencer par les premiers intéressés. Quand on parle techno -le chauffage alternatif-, c’est monsieur qui vire au vert. Les mères écolos pèsent lourd aux Etats-Unis Bruno Maresca, sociologue au Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc), met un point final aux bisbilles : « Sur de nombreux registres comme les économies d’énergie et d’eau, l’usage des transports en commun, la protection de la nature et des espèces, il n’y a pas de différence significative. »