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Droits d'auteur

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Unroll.me : se désabonner de toutes les newsletters en 1 clic. Les newsletters sont un outil très pratique tant pour le marketeur, que pour le client ou l’utilisateur. Elles permettent de se tenir au courant de l’actualité d’un site ou d’une marque. Sauf que certaines marques en abusent et en envoient des quantités astronomiques d’emails, ce qui s’apparente plus à du spam. Et quand on utilise une boîte mail depuis plusieurs années on est rapidement abonné à des centaines de newsletters. Ajoutons aussi qu’il est parfois quasiment impossible de se désabonner de certaines newsletters tant la procédure est complexe. Mais ça, c’était avant unroll.me, un outil franchement génial que vous allez adorer pour faire le ménage dans votre boîte mail. Le principe est incroyablement simple, vous indiquez sur la page d’accueil la boîte mail que vous voulez nettoyer.

Une fois l’accès autorisé, unroll.me va scanner votre boîte mail et détecter toutes les newsletters. Les licences « Creative Commons » Creative Commons (CC) est une organisation à but non lucratif basée à Mountain View, Californie, aux États-Unis. L’organisation a été créée en 2001 par le professeur Lawrence Lessig de la faculté de droit de Harvard. Le but de l’organisation est de permettre aux auteurs d’œuvres musicales, littéraires, et audiovisuelles entre autres de partager leurs créations sans passer par le droit de la propriété intellectuelle tel qu’on l’entend, tout en gardant la paternité de l’œuvre.

Cette idée est née de la volonté de développer l’accès à la culture en outrepassant les droits de propriété intellectuelle, souvent jugés trop restrictifs. Ces licences permettent de partager et de diffuser l’art de manière légale puisque les artistes choisissent eux-mêmes d’utiliser ces licences pour protéger leurs œuvres. La 1ère option concerne l’attribution. L’auteur peut également interdire l’utilisation de son œuvre à des fins commerciales en y apposant le pictogramme « Noncommercial ». Source des images : 20121128 licences libres. Copyright Exceptions in the Arab World. Aaron Swartz, les mystères d'un idéaliste. Le 4 janvier 2013, Aaron Swartz s’est réveillé d’excellente humeur. «Il s’est tourné vers moi», se rappelle sa petite amie Taren Stinebrickner-Kauffman, «et a déclaré de but en blanc: “Cette année va être géniale”.»

Swartz avait des raisons d’être optimiste. Depuis un an et demi, il était mis en examen pour fraude informatique, épreuve apparemment interminable qui avait épuisé ses ressources tant financières qu’émotionnelles. Mais il avait de nouveaux avocats, qui travaillaient dur pour trouver un terrain d’entente avec le gouvernement. Peut-être allaient-ils conclure un accord acceptable. Peut-être iraient-ils devant les tribunaux et gagneraient-ils. publicité «On va gagner, et je vais me remettre à travailler sur toutes les choses qui m’intéressent», avait confié Swartz à sa petite amie ce jour-là.

Cheerios sans rien et pizza au fromage Swartz et Stinebrickner-Kauffman avaient commencé 2013 par des vacances au ski dans le Vermont. La possibilité d’un mariage Des questions sans réponses. Coups de boutoir contre le lien hypertexte gratuit. Le droit d'auteur et le droit à l'image. Monopole sur les idées. La communauté du logiciel libre et son gourou Richard Stallman se mobilisent contre le projet de loi visant à unifier le système des brevets dans l'Union européenne.

Qui permettrait, quarante ans après son interdiction, le grand retour du brevet logiciel. Décryptage. Richard Stallman dans la rédaction d'Owni.fr le 1er octobre 2012 - (cc) Ophelia Noor Le brevet logiciel est un enjeu important pour les libertés numériques et l’économie mais malheureusement moins mobilisateur pour le grand public que la Hadopi ou Acta, en dépit du spectaculaire conflit qui oppose Apple et Samsung. C’est dans une relative indifférence que le projet est de retour au niveau européen, via un texte sur le brevet unitaire visant à unifier le système des brevets dans l’UE. Complexe, la question de la brevetabilité du logiciel divise encore. Le brevet logiciel, c’est une lutte des partisans du libre ? Chaque brevet est un monopole imposé sur l’utilisation d’une idée. [Il nous coupe] Privateur.

Avec qui ? Oui ! Non. Petit guide des Creative Commons. « Si une image, une vidéo ou autre média est sur Internet, pas besoin d’autorisation pour l’utiliser… ». Ceci est un mythe. En effet, les droits d’auteur sont valables également sur Internet. Mais pour beaucoup d’internautes, partager leurs créations est un aspect important et le cadre très strict de la loi ne facilite pas cette idée.

Les licences Creative Commons ont été créées afin d’aider les créateurs à conserver leurs droits tout en permettant au public de reproduire, distribuer ou modifier leurs réalisations. Grâce à elles, vous saurez si vous pouvez utiliser telle image ou pas dans votre site, votre blog, etc. comme bon vous semble. Voici la signification des icônes et abréviations : Chaque icône peut être associée à une autre : Pour en savoir plus: Creative Commons (site officiel) Creative Commons Search, un outil de recherche de contenu libre de droit (Sébastien Reinders, Pedago-TIC) Licence Creative Commons (Wikipédia) Tags: creative commons, guide, image, licence, média, video.

Qui comprend encore quoi que ce soit au droit d’auteur ? Quand, comme moi, vous n’êtes pas juriste mais que vous êtes appelé à vous intéresser aux questions de droit d’auteur, tout commence bien : le code de la propriété intellectuelle n’est pas bien gros si l’on s’en tient à la propriété littéraire et artistique. La jurisprudence un peu étrange parfois, mais globalement on s’y retrouve. Cela tombe bien car les questions de droit d’auteur sont centrales sur Wikipédia – plus encore sur Commons. Les projets Wikimédia sont – la plupart du temps – extrêmement légaliste, valeur provenant du monde du libre, ce qui se traduit par une application stricte du droit, qu’il faut connaître. Les choses se corsent néanmoins rapidement.La récente décision de la Cour suprême des Etats-Unis en est un témoignage. Expliquons en deux mots pour donner une idée au lecteur. Paradoxalement, les œuvres sont même protégées aux Etats-Unis quand elles ne le sont plus dans leur propre pays.

Situation absurde, parfois scandaleuse, mais simple, direz-vous ? Like this: