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Ensemble des 7 documents qui vont nous servir de support pour le CCF de documentations

Doc n°1: Péage urbain à Londres. Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 18/10/2018 22:40 Mis à jour le 18/10/2018 22:41 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par Le gouvernement va autoriser les péages urbains à l'entrée des villes de plus de 100 000 habitants. Les Londoniens (Royaume-Uni) ont pris l'habitude de payer 13 € par jour à chaque fois qu'ils prennent le volant. Le péage urbain a été mis en place en 2003 avec pour objectif de désengorger les routes. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager : Doc n°2: Vignette Crit’Air. La mesure n’est pas exceptionnelle en Europe. L’Allemagne, le Danemark, l’Autriche et bientôt la Tchéquie (voir green-zones.eu) ont déjà mis en place des vignettes environnementales. Plus largement, les limitations de circulation dans les agglomérations se sont multipliées depuis plusieurs années et la place de la voiture en ville diminue.

C’est une bonne nouvelle pour la santé des citoyens. La lutte contre la pollution est enfin devenue une priorité nationale et un enjeu de santé publique. Médecins, pneumologues, parents et simples citoyens s’expriment. Plus personne n’ose contester l’impact des particules fines et des oxydes d’azotes émis par le trafic routier sur la santé des citoyens, qu’ils soient piétons, automobilistes ou cyclistes.

L’objectif des Vignettes Crit’Air est de réduire la pollution de l’air en écartant des villes les véhicules les plus polluants. Financer les solutions plutôt que la pollution. Doc n°3: Se déplacer autrement. Les réserves d’énergie fossile s’épuisent, les rejets de gaz à effet de serre et la pollution augmente. Pourtant le nombre de voitures en circulation dans le monde ne cesse d’augmenter et, à ce rythme, le parc automobile mondial risque d’atteindre un milliard d’unités en 2030…Se déplacer autrement, c’est orienter ses choix vers des moyens de transport plus respectueux de l’environnement, et participer à la préservation des ressources naturelles, indispensables à notre bien-être.

C’est surtout accepter de changer nos comportements par rapport à la mobilité... Des impacts négatifs Aujourd’hui, les transports représentent en France 66 % de la consommation de produits pétroliers à usage énergétique et sont responsables de 35 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre (GES) contribuant au changement climatique (Sources ADEME). Les transports sont aussi de gros consommateurs d’espace. Se déplacer autrement Utiliser l’énergie humaine Partager un véhicule. Doc n°4: La voiture est une nécessité. De tous les Européens, les Français sont ceux qui passent le moins de temps à se déplacer du lundi au vendredi : 7h12, soit 2h23 de moins par semaine que la moyenne des Européens, selon les résultats de la première édition de l’Observatoire européen des mobilités publiée ce 26 avril.

Réalisée par Ipsos et le Boston Consulting Group auprès de 10.000 Européens dont 1.000 Français*, cette étude montre aussi qu’en France, plus qu’ailleurs, la voiture reste un moyen de transport incontournable, et ce, pour la quasi-totalité des trajets du quotidien. 67% des personnes interrogées disent l’utiliser pour aller au travail ou sur leur lieu d’études (contre 61% pour la moyenne des Européens), et 69% (contre 56% pour la moyenne européenne) pour emmener leurs enfants pour leurs activités quotidiennes.

Ils sont encore plus nombreux (86% contre 73% pour la moyenne européenne) à aller faire leurs courses alimentaires importantes en voiture. Sentiment de relégation Pas assez d'intermodalité. Doc n°5: Tourisme data gueule. Doc n°6: Le slow tourisme. Si le slow tourisme ou slow travel existe depuis une vingtaine d’années, il occupe aujourd’hui une place de choix dans les tendances touristiques. Son caractère disruptif englobe les formes de tourisme en vogue tels que le tourisme expérientiel, responsable, transformationnel, alternatif ou participatif.

Le slow tourisme répond à ce besoin omniprésent de déconnexion pour atteindre un état de pleine conscience. Il invite à décélérer, à voyager autrement, opposant la qualité à la quantité, le mieux au plus, la profondeur à la superficialité. Alors comment les territoires peuvent-ils modeler leur image et façonner leur offre pour profiter de cette nouvelle manière de voyager ? La philosophie du slow tourisme : un concept global Le phénomène du slow tourisme prend de l’ampleur face à l’évolution des comportements. La 1ère journée du Slow Tourisme dans le Gers C’est pourquoi la DGE a affiché des objectifs clairs lors de la journée du Slow Tourisme le 20 juin dernier à Samatan.

Slow Tourisme Lab. Doc n°7: La microaventure.