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France

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Le grand réinventaire | contributions politiques sensibles… Mouvement des Indignés: «En France, c'est chacun dans son coin» « Grande perdition » : seuls les « Indignés » ont la clé | Le Yéti, voyageur à domicile. La crise de la « Grande perdition » arrive à son dénouement. L’acte de décès du système relève de l’évidence cruelle. Au point, élément tout à fait nouveau, que les dirigeants qui s’en portaient jusqu’alors garants commencent à lâcher prise et à s’y résigner. Beaucoup moins de volontarisme dans leurs réunionnites : ainsi lors du mini-sommet de Strasbourg où Sarkozy parla sans trop de conviction de « compromis positif » quand Merkel retoquait sèchement la demande franco-italienne d’euro-bonds et d’intervention de la BCE. Ainsi encore de l’échec au 23 novembre des négociations entre républicains et démocrates américains au sein de la super commission antidéficit, qui fut accueilli avec une bien molle torpeur par les deux parties, Obama compris.

Plus d’échappatoire à l’intérieur du cadre Devant cette faillite généralisée, plus guère d’échappatoire pour nos maîtres du monde interloqués : Des forces disparates mais convergentes L’inertie des foules ? Un mouvement contraint et forcé Ils ont tort. Les Indignés selon Albert Ogien (1/3) Les Indignés selon Albert Ogien (2/3) Les Indignés selon Albert Ogien (3/3) Les « indignés », indignés par les médias (1) : en Espagne. Au cœur du mouvement des indignés en Espagne, une explosion de slogans et d’expressions graphiques dont le site OWNi propose une aperçu, sous le titre « La voix graphique de l’Espagne [1] Et parmi ces expressions graphiques, des critiques des médias. D’abord, bien sûr, un hommage (semblable à celui que nous lui avons rendu ici même) à Gil Scott-Heron décédé le 27 mai 2011 : Ensuite, cette critique acerbe du mépris imposé conjointement par les politiques et les médias : « Les politiques nous pissent dessus, les médias disent qu’il pleut ».

Enfin cette image, pour dire, mieux que de longs discours, grâce à l’entrelacs de l’anglais et des symboles de l’euro et du dollar que les fins (financières) justifient les médias. Henri Maler. Les « indignés », indignés par les médias (2) : aux États-Unis. Le mouvement d’occupation de Wall Street, débuté fin septembre, a rapidement pris de l’ampleur. Le 6 octobre, des campements ont vu le jour dans près de 146 villes états-uniennes. Ce mouvement s’est heurté au quasi-silence des grands médias américains, voire à la morgue et au mépris des plus conservateurs d’entre eux (et particulièrement de Fox News, du magnat Ruppert Murdoch).

Comme en juin dernier en Espagne, comme on peut le lire ici même, la critique des médias s’inscrit au cœur du mouvement… I. . (1) Face au silence médiatique (« black-out »), c’est une critique acerbe du rôle des grands médias (« Mainstream Media ») qui s’exprime, d’abord sur les pancartes de manifestants. . - « Ne faites pas confiance à l’industrie des médias »- « Les médias ne disent rien sur ce qui se passe ici, alors je suis venu voir par moi-même » « Silence médiatique sur la révolution globale. . « N’importe quel dictateur admirerait l’uniformité et la soumission des médias des Etats-Unis » II.